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Résumé : L'œuvre du Norvégien Knut Hamsun, prix Nobel de littérature en 1920, fut saluée par ses contemporains comme un des phares de la modernité littéraire. Elle connut cependant après la guerre une longue éclipse, due aux sympathies affichées de son auteur à l'égard de l'idéologie nazie. Ce portrait combine fiction et documents, analyse et témoignages pour tenter de comprendre la dérive d'un homme épris de liberté. A l'âge de 9 ans, Knut Pedersen est abandonné à son oncle, homme violent et tyrannique. Jeune homme, il découvre l'écriture et se lance dans une vie errante. Il exerce des petits métiers, essuie bien des revers, passe un terrible hiver à Christania (qui lui inspire son premier roman) et s'embarque pour l'Amérique. Livre sans antécédent, reconnu dès sa parution en 1890, "Faim" décrit les effets de la faim, son aptitude à transfigurer la réalité. L'incapacité d'adhérer au réel devient l'un des motifs centraux de l'oeuvre de Hamsun, avec la musique infernale de l'amour et une exaltation mystique de la nature.

Contenu : La sieste. Une miss s'immisce. Laisse-moi rêver. Vibrations. Partir quand même. Dilettante. Dire tout. Arrêtons. Je suis de trop ici. Avec toute ma sympathie. La vraie vie c'est où ?

Contenu : CD 1 : Vous y dansiez petite fille / Guillaume Apollinaire. Si je partais pour oublier / Françoise Bastenier. Ce fléau natif de Tournai / Charles Baudelaire. Je n’aurai jamais le temps de lire tous les poèmes du monde / Julos Beaucarne. J’aimerais garder ma vie telle qu’elle est ainsi / Henri Bertrand. Par-dessus Terre : Ce n’est plus le temps des lilas / Roger Bodart. Lettre à des amis perdus / René Guy Cadou. Il pleut / Francis Carco. L’eau passe / Maurice Carême. Complainte du lézard amoureux / René Char. Le temps a fui / Paul Claudel. Moi je vis la vie à côté / Charles Cros. La figue et le paresseux / Alphonse Daudet. Vous aviez mon cœur / Marceline Desbordes-Valmore. Le pélican / Robert Desnos. Tel un moineau / Blaga Dimitrova. La libération de l’homme et de la femme / Raoul Duguay. Le jardinier / Max Elskamp. Je fis un feu / Paul Éluard. Ève / Pierre Faulx. Que reste-t-il ? / Benjamin Fondane. Non, je suis un homme… / Michel de Ghelderode. La mort / Camille Goemans. Cette année-là / Marcel Havrenne. À vous mes beaux messieurs / Nazim Hikmet. Je ne songeais pas à Rose / Victor Hugo. Le vent triste / Francis Jammes. Lorsque nous étions réunis à table / Félix Leclerc. C’est une peinture ancienne / Madeleine Ley. Elle est venue vers le palais / Maurice Maeterlinck. Chez nous le ciel est bas / Marcel Mariën. J’ai vu l’eau / Henri Michaux. Jeune fille plus belle que toutes nos légendes / Gaston Miron. CD 2 : Donne-moi la main / Gabriella Mistral. Beau chevalier / Alfred de Musset. Si la Garonne elle avait voulu / Gustave Nadaud. Ah comme la neige a neigé / Emile Nelligan. Voici venu le froid radieux de septembre / Anna de Noailles. Antoinette et moi / René de Obaldia. Quand nous aurons joué nos derniers personnages / Charles Péguy. Je t’offre un verre d’eau glacé / Odilon-Jean Périer. La Provence / Peire Vidal. La vieille Marie / Henri Pourrat. Les petits bergers / Charles-Ferdinand Ramuz. Souvenir vague ou les parenthèses / Edmond Rostand. Car à l’instant même du désastre / Antoine de Saint-Exupéry. Quand reverrai-je mon pays / Léopold Sédar Senghor. L’hiver / William Shakespeare. Nuit tiède du Mozambique / Noémia de Souza. L’enfant de la haute mer / Jules Supervielle. J’étais allé mendiant / Rabindranâth Tagore. La fête / Jean Tardieu. Toi qui pâlis au nom de Vancouver / Marcel Thiry. Sympathies errantes / Charles Van Lerberghe. Je me souviens / Ben Vautier. Joie de vivre / Émile Verhaeren. N’est-ce pas / Paul Verlaine. Un enfant veut répondre / Paul Vincensini. C’est le premier jour / Liliane Wouters. Nous sommes 180 millions de francophones / Julos Beaucarne

Résumé : La réalisatrice a véritablement su établir une relation confiante avec Françoise Sagan, dont François Mauriac soulignait, lors de la parution de "Bonjour Tristesse", en 1954, le mérite littéraire indiscutable. Un montage d’archives filmées, commenté par Sagan elle-même, évoque la légende : nuits blanches à Saint-Tropez et à Saint-Germain-des Prés, l’alcool, les copains, le casino, la célébrité, l’argent vite gagné et encore plus vite dépensé. D'autres entretiens ont lieu dans le Lot, à Cajarc, pays de ses racines et de son enfance, où elle retourne souvent, et dans sa maison de Honfleur. Elle parle de sa passion pour la vitesse, le jeu, du théâtre, du cinéma et de ses rencontres essentielles : Billie Holiday, Tennessee Williams, Carson Mac Cullers, Ava Gardner, Orson Welles, Jean-Paul Sartre, Mouloudji. Des extraits de "Bonjour Tristesse", "Et toute ma sympathie", "La Chamade", "Répliques", "Avec mon meilleur souvenir" sont dits par Jeanne Moreau.

Résumé : Le réalisateur Daniel Coche nous convie à une vraie rencontre avec le poète et écrivain alsacien André Weckmann, né en 1924 à Steinbourg près de Saverne, et à la découverte d'une œuvre poétique et romanesque écrite en trois langues : l'alsacien, l'allemand et le français. Filmé chez lui ou au cours de ses randonnées dans la campagne, André Weckmann évoque ses proches, son père illettré et secret, sa mère énergique, sa vie ordinaire d'enfant alsacien, l'école, les trois langues qu'il pratique, l'écriture et la poésie "une alchimie mystérieuse qui vient tout simplement". Quand apparaît à l'écran la photo saisissante du jeune Weckmann en uniforme allemand combattant en Ukraine, nous sommes déjà pénétrés de sa poésie - qu'il dit le plus souvent lui-même en alsacien - et en sympathie avec l'homme, sa sensibilité et sa profonde humanité. Le film est loin d'être achevé, mais le face à face est déjà abouti, et le spectateur comprend à quel point l'horreur "qui marque pour la vie", et sur laquelle André Weckmann ne s'attarde pas, relève elle aussi d'une alchimie qui lui échappe. La lecture d'une vingtaine de poèmes restitue la musique de la langue et parfois la brutalité de l'écriture. L'écrivain évoque enfin sa passion pour les langues et la littérature des autres pays. Bien que la fureur collective - sportive ou politique - éveille en lui de mauvais souvenirs, il reste un homme engagé, rebelle, habité par la colère et tourné vers l'avenir.

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