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Contenu : Ensemble de bases de données et livres électroniques sur tous les secteurs de l'art, des beaux arts à l'art décoratif et commercial, l'architecture et design. Publics divers, artistes et designers, professeurs spécialistes, étudiants, chercheurs généralistes.

Contenu : Oeuvres d'art européennes du 13ème au 18ème siècle

Résumé : Parmi les nombreux films avant-gardistes réalisés en Union Soviétique dans les années 1920, L’Homme à la Caméra (1929) constitue un véritable aboutissement formel. Opposé au cinéma de fiction réaliste, son auteur Dziga Vertov veut lui substituer l’art de « la vie même », enregistrée de façon brute, sans mise en scène délibérée risquant de la travestir. Le spectateur est prévenu d’emblée : il ne verra ni acteurs, ni scénario, ni décors, ni intertitres explicatifs. Mais quoi, alors ? Une sorte de « ciné-portrait », de l’aube au crépuscule, d’une grande ville soviétique (en fait, Moscou et Kiev), rythmé par une musique et des bruitages ajoutés ultérieurement. Dans cette ville recomposée, l’homme du titre promène son « œil-caméra » au bout d’un trépied afin de saisir la vérité sur le vif. Ni documentaire, ni fiction, l’étrange objet créé par Dziga Vertov a inspiré des générations de cinéastes, en raison de sa modernité et de son audace. Manifeste théorique et pratique pour un cinéma différent, il a l’incroyable ambition d’opérer une fusion entre la réalité filmée, le cinéma et le spectateur. Pour y parvenir, Vertov utilise le montage, procédé déjà manié avec virtuosité par Eisenstein, mais de manière sans doute moins radicale. Dans L’Homme à la Caméra, le montage est omnipotent, il devient le héros du film, voire le film lui-même… En bonus du DVD, l’analyse de Luc Lagier, rédacteur en chef du magazine Court-Circuit sur Arte, éclaire bien la construction et les enjeux du film. Le documentaire de Bernard Eisenschitz sur l’évolution du montage en URSS dans les années 20 se révèle également très instructif, et permet de mesurer l’ampleur du bouillonnement artistique de cette époque, avant que le régime stalinien n’écrase toute velléité créatrice indépendante.

Résumé : Le sommaire du dernier numéro est disponible en ligne. Un moteur de recherche interne permet de rechercher un article par titre, auteur, mot-clé, dans chacune des deux revues

Résumé : Depuis plus de trente ans, Sophie Calle est une artiste française qui a fait de sa propre vie le sujet central de son œuvre. Du Centre Pompidou à la Biennale de Venise en passant par New York et Berlin, ses œuvres mêlent de manière souvent spectaculaire voire provocante textes, photographies, vidéo et installations et elles ont été montrées avec succès dans le monde entier. Filatures d'inconnus, portraits de dormeurs, nuit blanche au sommet de la Tour Eiffel, mariage périlleux à Las Vegas, lettres de rupture amoureuse, filmage de la mort de sa mère : obéissant à une règle du jeu précise, chacune de ses entreprises est plus ou moins directement le fruit d'une expérience vécue et a une fonction thérapeutique autant qu'artistique. Elle est une manière de lutter contre l'absence, la solitude, la mort. Pour ce documentaire de la collection "Empreintes", Sophie Calle a choisi de raconter sa vie à Victoria Clay Mendoza, la réalisatrice, sous la forme d'une lettre lue à voix haute et de lui ouvrir en grand les portes de son atelier et les tiroirs de ses archives. Sur cette trame, se greffent de multiples séquences tournées dans les lieux cardinaux de l'univers personnel de l'artiste : sa maison de Camargue, où s'ancrent tous ses souvenirs d'enfance et ses cavalcades de jeunesse ; son atelier de Malakoff, où elle travaille et entrepose des centaines d'objets et de documents qui sont autant de traces de son existence intime et de matériaux de l'œuvre ; ou encore le petit cimetière de Californie, où elle a pris ses premières photographies et où elle a décidé de se faire enterrer. Pour Sophie Calle, artiste en quête permanente et inquiète de l'autre et de soi-même, l'art c'est la vie elle-même. Cet autoportrait original et drôle, kaléidoscopique, en est une démonstration supplémentaire

Contenu : Recherche dans les collections numérisées de la National Gallery of Art

Contenu : Répertoire d'oeuvres théâtrales de langue française : fiches descriptives par titres de pièces et auteurs ainsi que références d'ouvrages et de revues qui traitent du théâtre et des arts associés.

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