Recherche simple :

  •    Tous les mots : cendre
  • Aide
  • Eurêkoi Eurêkoi

Documents en ligne : 36190

Voir tous les résultats les documents en ligne

Contenu : Les Fêtes D'Hébé, RCT 41, La Danse, Scène VII: Musette Et Tambourin En Rondeau Pour Terpsichore. Zoroastre, RCT 62, Acte III, Scène VII: Gavotte En Rondeau. Les Boréades, RCT 31, Acte IV, Scène IV: Entrée Pour Les Muses, Les Zéphyres, Les Saisons, Les Heures Et Les Arts. Les Indes Galantes, RCT 44, Nouvelle Entrée, Les Sauvages, Scène VI: Chaconne. Les Indes Galantes, RCT 44, Troisième Entrée, Les Fleurs, Scène VIII: Ballet Des Fleurs - Orage. Zoroastre, RCT 62, Act I, Scène III: Air Tendre En Rendeau. Platée, RCT 53, Acte I, Scène VI: Orage. Les Indes Galantes, RCT 44, Nouvelle Entrée, Les Sauvages, Scène VI: Rondeau - Duo Et Choeur "Forêts Paisibles". Six Concerts Transcrits En Sextuor, Sixième Concert: La Poule. Platée, RCT 53, Acte II, Scène IV: Récitativ "Essayons Du Brillant" - Ariette "Aux Langueurs D'Apollon". Nais, RCT 49, Prologue, Scène V: Premier Rigaudon - Deuxième Rigaudon. Zoroastre, RCT 62: Ouverture. Hippolyte Et Aricie, RCT 43, Acte I, Scène I: Prélude - Air Accompagné "Temple Sacré, Séjour Tranquille". Nais, RCT 49: Ouverture. Les Boréades, RCT 31, Acte I, Scène IV: Première Contredanse En Rondeau Pour Les Peuples Boréades Travestis En Plaisirs Et Grâces - Deuxième Contredanse En Rondeau Pour Les Peuples Boréades Travestis En Plaisirs Et Grâces. Les Indes Galantes, RCT 44, Première Entrée, Le Turc Généreux, Scène VI: Air Pour Les Esclaves Africains. Dardanus, RCT 35, Prologue, Scène II: Premier Tambourin Pour Les Peuples De Différentes Nations - Deuxième Tambourin Pour Les Peuples De Différentes Nations. Castor Et Pollux, RCT 32, Acte I, Scène III: Prélude - Air Accompagné "Tristes Apprêts"

Résumé : Edmond Charlot, né en Algérie en 1915, est élevé par un grand-père qui lui transmet le goût de la lecture. Plus tard, sous l'influence de Jean Grenier, son professeur de philosophie au lycée d'Alger, il ouvre en 1936 sans trop de moyens une libraire au centre-ville, "Les vraies richesses". Le local est minuscule mais à la vente s'ajoute bientôt une activité d'exposition, puis rapidement Charlot entreprend de publier : "Révolte dans les Asturies" en 1936, "L'envers et l'endroit",1937, et Noces" (en 1939) d'Albert Camus, "Rondeur des jours" de Giono, "Santa-Cruz" de Jean Grenier, des oeuvres de E. Roblès, Gabriel Audisio, Max - Pol Fouchet, Jules Roy [...] La librairie devient un lieu culturel qui attire amis et écrivains. Max Pol Fouchet a évoqué cette époque : "Vers six heures du soir, nous allions voir les derniers livres parus, que nous ne pouvions pas toujours acheter, car nous étions tous très démunis, puis nous allions boire ensemble l'anisette traditionnelle dans un proche bistrot. Charlot polarisait la vie intellectuelle d'Alger." Michel Vuillermet fait revivre l'éclat des "Vraies richesses" : Edmond Charlot, centenaire, relate ces moments où " l'amitié et la culture méditerrannéenne" faisaient vibrer ces jeunes intellectuels. Les scènes de la vie quotidienne à Alger, tirées d'images d'archives ou actuelles, accompagnent les lectures de textes (en voix off) de Camus, Audisio, Amrouche, Roblès, Jean Sénac ...

Résumé : "Langue sacrée, langue parlée" est le prolongement d'une réflexion sur la langue que, déjà, Nurith Aviv avait placée au centre de son précédent film : "D'une langue à l'autre" (2004), où neuf personnes - écrivains, poètes, musiciens - analysaient la relation conflictuelle entre la langue de leurs parents, langue de l'enfance, et l'hébreu, langue nationale. "Langue sacrée, langue parlée" est conçu selon la même structure, alternant entretiens et longs travellings en train (le prologue même est composé des images enregistrées en 1897 par Alexandre Promio de la ligne de chemin de fer Jérusalem-Jaffa). Treize personnes cette fois, natives d'Israël, aussi judicieusement choisies que magnifiquement cadrées, vont livrer, tour à tour, le témoignage passionnant de leur relation personnelle à l'hébreu, qui, pendant des siècles, fut langue sacrée pour les juifs de la diaspora, et qui, par volonté politique, est devenu, au XXème siècle, une langue parlée au quotidien. Avec : Haïm Gouri, poète, écrivain, journaliste et réalisateur; Michal Govrin, écrivain, poétesse et metteur en scène de théâtre; Victoria Hanna, chanteuse associant musique et théâtre; Ronit Matalon, écrivain, professeur de Lettres; Roy Greenwald, poète et traducteur; Etgar Keret, romancier, auteur de bandes dessinées et réalisateur ("Les Méduses", 2007); Yitzhak Laor, poète, écrivain, dramaturge et critique littéraire; Shimon Adaf, poète, écrivain et musicien; Haviva Pedaya, essayiste, chercheur et poétesse; Yehuda Ovadya Fetaya, chantre de la synagogue Min'hat Yehouda à Jérusalem; Zali Gurevitch, poète, traducteur et chercheur; Michal Naaman, artiste plasticienne et Orly Castel-Bloom, écrivain.

Résumé : 2008 est l'année du centenaire de la naissance de Simone de Beauvoir (9 janvier 1908), et à ce titre, l'occasion, pour l'auteur et le réalisateur de ce film, de lui rendre un hommage particulier à l'heure où la question de l'égalité politique entre les hommes et les femmes revêt, en France, une certaine actualité. "Je veux tout de la vie, être une femme et aussi un homme, avoir beaucoup d'amis, et aussi la solitude, travailler énormément, écrire de bons livres, et aussi voyager, m'amuser, être égoïste et aussi généreuse... " Simone de Beauvoir, "Le Deuxième sexe", 1949. Cette citation, comme toutes celles qui suivront, donne au film son tempo : un livre, "Le Deuxième sexe", oublié sur le guéridon d'un jardin public, est l'image récurrente qui permet de passer d'un interlocuteur à l'autre. Vont alors se succéder dans l'ordre de leur apparition à l'image : Michèle Perrot, Annie Ernaux Philippe Sollers, Danièle Sallenave, Dominique Desanti, Simone Veil, Nathalie Heinich, Sylvie Le Bon de Beauvoir, Marie-Jo Bonnet, Madeleine Gobeil, Yvette Roudy, Julia Kristeva . La structure du film repose sur trois ensembles distincts qui se conjuguent en alternance : les citations du "Deuxième sexe" et leur commentaire que chacun des intervenants (précités) lira et fera tour à tour, des archives photographiques et audiovisuelles illustrant les différents témoignages et permettant de les situer dans l'espace et dans le temps, des saynètes enjouées donnant une respiration à l'ensemble.

Résumé : Comment montrer l'Histoire ? Comment parler d'un souvenir aussi vibrant que la pellicule Super 8 sur lequel il est inscrit ? Lorsque la mère d'Olivier Py achète en 1961 une caméra Super 8, elle commence par filmer la mer puis tourne l'appareil sur sa famille. Ces êtres chers, elle les maintient toujours dans le cadre de l'objectif comme pour les préserver de l'Histoire qui se joue en hors-champ. Le réalisateur se souvient de son origine pied-noir, des affrontements, des voitures plastiquées, de la mer et cette "mère" également, douce et vaillante qui soutenait leur famille rattrapée par l'Histoire et les "événements d'Algérie". Exhumés après vingt-cinq ans, des films 8 millimètres donnent lieu à une méditation sur le destin d'une famille et d'une génération. Méditerranées est une autofiction, l'histoire d'un couple, d'une famille, qui se confond avec l'histoire de l'Algérie et de la France des années 1960. Le regard d'Olivier Py est à la fois lucide et nostalgique. Méditerranées est une magnifique ode qui insuffle aux images d'archives une nouvelle forme de poésie. Sur le film sensible, les années s'écoulent suivant le rythme du cliquetis de l'appareil de projection et du ressac de cette mer au centre de tout. Ici la guerre est en coulisse, mais qu'est-ce qu'une image de la guerre finalement ? Grand Prix, Festival Doc en courts, Lyon, 2012.

Résumé : "Out of Mind, Out of Sight est la suite du documentaire intitulé NCR : non criminellement responsable, un film sur le traitement réservé aux personnes ayant commis des crimes violents et déclarées non criminellement responsables (ou NCR) pour cause de maladie mentale. Dans Out of Mind, Out of Sight, Kastner entremêle les histoires intenses de quatre patients du centre de santé mentale de Brockville (en Ontario au Canada), qu'il a pu filmer sur une période de 18 mois grâce à un accès sans précédent à l'institution.Avec une étonnante franchise, le cinéaste suit le parcours de deux hommes et deux femmes qui mènent un dur combat pour reprendre leur vie en main, et pouvoir ainsi retourner dans une société où ils sont généralement craints et diabolisés. L'histoire principale porte sur Michael, un patient qui a assassiné un membre bien-aimé de sa famille lorsqu'il était dans un état psychotique et qui est maintenant rongé par la culpabilité. Carole et Sal, quant à eux, sont aux prises avec des hallucinations auditives - des voix qui les somment de faire des choses terribles - et qui, contre toute attente, sont tombés amoureux l'un de l'autre. Justine s'est liée d'amitié avec Ashley Smith, un cas désespéré, dont l'état mental est très semblable au sien. À la consternation du personnel soignant, Justine commence à suivre Ashley sur le chemin solitaire de l'autodestruction." (film-documentaire.fr)

Résumé : Le portrait conçu par Jean Daniel et Joël Calmettes tente de déconstruire l’image négative, tragique ou, a contrario, « naïve » qui reste parfois accolée à ce grand nom de la littérature et de l'histoire politique de l’époque moderne. Essayer de s’approcher au plus près de « la joie de vivre de l’homme, tendre à faire passer ce bonheur simple qui l’habitait et qui coule dans ses phrases... un bonheur bien sûr entravé, blessé, bientôt perdu de vue », tels sont les objectifs et le fil conducteur du film. Au regard de cet axe, le parcours de Camus est découpé chronologiquement en trois phases. La première, consacrée à l’enfance et à la jeunesse, fait retour sur les lieux d’origine : la ville d’Alger et la terre algérienne. C’est avec l’écriture de "L'Étranger" et du "Mythe de Sisyphe" que s’ouvre le deuxième volet : « Un bonheur étouffé par la gloire, France, 1941 - 1952 ». La dernière partie substitue à la parole de « l' homme public » une figure plus intime qui apparaît dans la distance prise par rapport au cercle parisien et à l’idéologie communiste. Cette parole intime est mise en avant à travers la lecture d’écrits personnels, correspondances et journal. Avec des entretiens filmés ou enregistrés accordés par Albert Camus, des archives privées et les témoignages de Catherine Camus, sa fille, Edmond Charlot son premier éditeur, Jules Roy, Robert Gallimard, Catherine Sellers et le comédien Michel Bouquet. Le commentaire de Jean Daniel, marqué d’une dimension subjective explicite, est dit par Jean-Louis Trintignant.

Résumé : La carrière menée par Svjatoslav Richter, l'impact qu'il a eu sur le public aussi bien que sur ses collègues sont irréductibles à tout modèle classique. Durant son enfance à Odessa il apprend seul la musique. il débarque à Moscou en 1937, dans la classe de Heinrich Neuhaus, l'un des pianistes les plus réputés de l'époque. Refusant de se plier à la discipline collective, Richter est à trois reprises chassé du conservatoire mais à chaque fois réadmis. Prokofiev le remarque et lui demande de jouer sous sa direction son cinquième concerto... A partir de cette date, Richter sillonne l'Union Soviétique, étoffant progressivement son répertoire. Pour des raisons peu claires, il n'est pas autorisé à se rendre à l'extérieur du bloc socialiste. En 1961, il se rend enfin à l'Ouest avec une série de huit récitals à Carnegie Hall, ses concerts font sur le monde musical l'effet d'un tremblement de terre. Il crée un festival en France en 1964, puis un autre à Moscou, mais disparaît aussi parfois pendant des mois. Depuis le début des années 80, il ne se produit plus qu'avec partition sur le pupitre dans des salles à peu près obscures. A près de soixante-quinze ans, il quitte Moscou en voiture au mois de juillet, pour n'y revenir que six mois plus tard. Entre-temps, il aura couvert le trajet jusqu'à Vladivostok et retour et donné cent cinquante concerts dans les villes et bourgades les plus reculées de la Sibérie.

Résumé : Les déchets sont un point de cristallisation : peur pour les populations, doute, impuissance à trouver une solution acceptable pour les scientifiques, évitement pour les politiques. Oui, ils sont bien le cauchemar de l'industrie nucléaire. Cette enquête rigoureuse et d'envergure (huit mois sur trois continents) aborde le tabou des déchets non seulement par un biais historique en montrant les premières installations du Projet Manhattan aux Etats-Unis, mais aussi en ancrant son propos dans la réalité des sites de La Hague (usine de retraitement) et du centre d'études de Bure en Moselle qui prône un enfouissement. De plus le film révèle que 13% des déchets sont stockés à ciel ouvert sur le sol russe dans des villes secrètes comme Tomsk en Sibérie qui recueille des tonnes d'uranium enrichi tandis que l'hôpital voisin enregistre un taux de cancer anormalement élevé. Ainsi sommes-nous mis face à la "vérité sur les déchets", aux risques environnementaux, sanitaires que leur traitement et leur stockage génèrent ainsi qu'aux choix de l'humanité car le nucléaire exige de se projeter vers un avenir à 200.000 ans, 6000 générations. Accompagnés dans leur enquête par des militants de Greenpeace et des experts de la Criirad (Commission de Recherche et d'Information Indépendantes sur la Radioactivité), Eric Guéret et Laure Noualhat nous donnent à voir des images impressionnantes, des preuves de contamination données par des scientifiques et à entendre des discours émanant de points de vue différents (pro et anti-nucléaires).

Explorer les sujets liés :