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Résumé : Cet autodidacte érudit qui rêvait de devenir fresquiste a subi très tôt les bouleversements de son époque. Traumatisé par la guerre de 14-18, vécue en première ligne et grièvement blessé au Chemin des Dames, André Masson (1896-1987) restera un écorché vif au tempérament impulsif, parfois violent, mais aussi un artiste indépendant et solitaire, rebelle à toute autorité. Il pouvait être "tendre, enjoué et gracieux" confient les amis qui se réunissaient dans son premier atelier, rue Blomet, tous unis par l'amitié, la littérature et la liberté créatrice. "Être peintre-poète était notre ambition" écrit-il de son voisin Joan Miró et de lui-même. À la demande d'André Breton, il rejoint dès 1924 le mouvement surréaliste auquel il participe de manière fervente mais orageuse. Parmi les peintres du groupe, il est le premier à explorer le domaine du rêve - dans le sillage de Freud et de Léonard de Vinci - afin de pratiquer un automatisme graphique. Ainsi est-il le précurseur de l'art surréaliste et, toujours en mouvement, d'une peinture gestuelle qui influencera, plus tard aux États-Unis, les artistes de l'action painting. Passionné de poésie et de toutes les musiques, comme de peinture et de philosophie orientale, Masson est le maître de la ligne errante. Aux côté de Max Ernst et de Miró, c'est l'un des très grands créateurs du xxe siècle, uniquement guidé par ses propres mots, "là où il n'y a plus ni "réalisme" ni "fantastique", il n'y a plus que l'illimité".

Contenu : CD 01 Enfants du paradis (Les) : Générique 1ère partie. Enfants du paradis (Les) : Generique 2ème parie. Enfants du paradis (Les) : Pantomime (La). Enfants du paradis (Les) : Générique. Visiteurs du soir (Les) : Démons et merveilles. Visiteurs du soir (Les) : Tendre et dangereux visage de l'amour (Le). Visiteurs du soir (Les) : Complainte de Gilles. Drôle de drame : Générique. Drôle de drame : Petits pigeons (Les) / Michel Simon. Quai des brumes : Générique. Quai des brumes : Scène. Quai des brumes : Largo. Quai des brumes : Java-Valse. Jour se lève (Le) : Générique. Jour se lève (Le) : Radio. Jour se lève (Le) : Candenza. Jour se lève (Le) : Nos légionnaires - tempo di marcia. Jour se lève (Le) : Drame. Jour se lève (Le) : Orgue de Barbarie. Jour se lève (Le) : Final. Portes de la nuit (Les) : Générique. Portes de la nuit (Les) : Enfants qui s'aiment (Les) / Juliette Gréco. Portes de la nuit (Les) : Feuilles mortes (Les) /Yves Montand. CD 02 Quand un facteur s'envole / Charles Trénet (Film Adieu Léonard). Générique (Film Souvenirs perdus). Compagnons des mauvais jours / Yves Montand (Film Souvenirs perdus). Tournesol / Yves Montand (Film Souvenirs perdus). Générique : La Chanson du voilier /Tino Rossi (Film Le Soleil a toujours raison). Le Chant du gardian / Tino Rossi (Film Le Soleil a toujours raison). Toi que mon coeur appelle / Tino Rossi (Film Le Soleil a toujours raison). Générique (Film Le Crime de Monsieur Lange). Au jour le jour, à la nuit, la nuit / Florelle (Film Le Crime de Monsieur Lange). Générique (Film Les Disparus de Saint-Agil). Fanfare des pensionnaires (Film Les Disparus de Saint-Agil). Générique (Film Remorques). Litanies (Film Remorques). Générique (Film Lumières d'été). Générique (Film Les Amants de Vérone). Générique (Film Notre-Dame de Paris). Danse (Film Notre-Dame de Paris). A Notre-Dame / Damia (Film Notre-Dame de Paris). Générique de fin (Film Notre-Dame de Paris)

Résumé : Les Presses Universitaires de France et Frémeaux & Associés proposent cette biographie de Napoléon III, analysée et expliquée par Xavier Mauduit, chroniqueur radio et docteur en histoire, spécialiste du Second Empire. Napoléon III, empereur des Français, est un personnage complexe dont la postérité est entachée par la violence de ses détracteurs ; « Napoléon le Petit », « nain immonde » viennent sous la plume de Victor Hugo marquer à jamais les esprits. Pourtant, à la tête d’un bonapartisme réfléchi et populaire, Louis-Napoléon conquiert le cœur des Français, et entame une politique forte de modernisation, de grands travaux et d’essor de la France sur la scène internationale. De la naissance princière aux exils, des ambitions de conquête à la victoire, Xavier Mauduit nous guide dans les contradictions apparentes d’un homme de pouvoir qui pendant près de vingt ans a modelé la France.

Contenu : Depuis 2005, Simon Whetham utilise des sons environnementaux, qu’il travaille à l’aide de techniques variées afin de révéler des phénomènes sonores souvent imperceptibles ou dissimulés. Lors de ses performances et installations, le lieu et les objets qui s’y trouvent deviennent des instruments dont il joue. Ses recherches artistiques l’ont amené à travailler de plus en plus sur des projets multidisciplinaires, donnant à son travail un aspect plus visuel et tangible. Il explore actuellement différentes manières de conserver des traces physiques du son. Il collabore régulièrement avec des danseurs, performers, peintres et vidéastes, ainsi que des musiciens et artistes sonores, parmi lesquels Tarab, Scanner, Derek Piotr, Iris Garrelfs, Alan Courtis, Kate Carr, Rhodri Davies… Il a publié de nombreux enregistrements sur des labels comme Entr’acte, Gruenrekorder, Mystery Sea, Impulsive Habitat, Unfathomless, Dragon’s Eye Recordings, Line, Crónica, Helen Scarsdale Agency, Flaming Pines, Glistening Examples…Simon Whetham a présenté son travail dans de nombreux pays d’Europe, d’Amérique du Sud et d’Asie, dans le cadre de performances et d’installations, mais aussi d’ateliers autour de la pratique du field recording et de l’écoute active. Depuis 2013, certains de ses ateliers s’adressant plus particulièrement aux enfants et aux adolescents ont eu lieu en Colombie, en Norvège, en Australie, ou encore à Munich auprès de mineurs non accompagnés vivant dans un centre d’accueil pour réfugiés. (site des Instants Chavirés). “Active Crossover” is a project initiated by Simon Whetham during a residency at the Polymer Factory Culturehouse, Tallinn, Estonia in 2009. During the residency he met and worked with many artists who were all working with sound and music in different and interesting ways, prompting him to exhibit theiI work he composed alongside work created by those he met and worked with throughout his time in Estonia and Latvia. (Simon Whetham, Jan 2012)

Résumé : "Pour la suite du monde" : Au printemps de 1962, les habitants de l'île aux Coudres reprennent, avec la technique ancienne, la pêche aux marsouins qu'ils avaient abandonnée depuis 37 ans.Le film raconte cette pêche dans ses diverses étapes et entrecoupe le récit de séquences explorant quelques points de la vie et des coutumes locales.Les auteurs, Pierre Perrault particulièrement, ont suscité le projet de cette pêche. En cela, le film s'inscrit dans la tradition de Flaherty qui provoque des événements, qu'il filme ensuite de l'intérieur, accordant sa mise en scène à l'essence même de son sujet.Le film n'en constitue pas moins un inventaire de tout un monde traditionnel du Québec.Le film "Les raquetteurs" est considéré comme un des films précurseurs du "cinéma direct" : il capte les rites festivaliers entourant un congrès annuel de raquetteurs à Sherbrooke (Québec).Le film "La lutte" (La Lotta, Wrestling, Le Catch) poursuit l'expérience de "cinéma direct" des Raquetteurs en ne comportant aucun commentaire : plus qu'un reportage sur la lutte, il s'inscrit dans ce grand courant de films sur les sports à travers lesquels plusieurs cinéastes veulent faire de la sociologie culturelle, en essayant de rendre compte de la relation public-combat.Le nom de Roland Barthes au générique invite à faire le lien avec son étude "Mythologies" où un chapitre sur le catch compare l'emphase de ce sport-spectacle à celle du theâtre antique.Le film "Québec-USA" s'interesse au regard que portent les habitants de la ville de Québec sur les touristes américains qui viennent les voir, en 1962.

Résumé : Pendant trois mois Vincent Boujon a recueilli des témoignages dans le Centre de Dépistage du Sida Anonyme et Gratuit de l'Hôtel Dieu à Lyon. Dans la salle d'attente, avant de connaître les résultats du test, des patients se confient livrant leur appréhensions et leurs doutes quant au diagnostic. Le film tente ainsi une approche des peurs et des comportements contradictoires face à la maladie : pratiques sexuelles à risques, ambivalences du recours au préservatif, lassitude de son emploi, "relapse". Construit en 7 parties où alternent témoignages et gestes médicaux du dépistage, "Test" donne à écouter les paroles d'anonymes dont les silhouettes sont floutées dans un décor tracé au crayon. Cette mise en scène de l'intime à l'hôpital éloigne la réalité de ce lieu médical sans la gommer. Ainsi un peu de la vérité de chacun (hommes, femmes, seuls ou en couples) affleure-t-elle dans la relation à la sexualité, au corps, au respect de soi, à la vie, à la mort, à l'impossible confiance en l'autre generée par l'apparition du virus. Par ailleurs la force du désir, sa vitalité face à la tristesse du latex, transgresse le "safer sex"/ la sexualité "plus sûre", protégée. Le discours que le film met en place repose sur les contradictions (puissance du désir / achoppement de la raison) comme sur la résolution du dilemne (se protéger, "mettre une capote c'est aussi faire attention, à soi... c'est inquiétant de ne pas faire attention à soi..."). Les protagonistes insistent sur la vigilance ; l'expérience du dépistage vécue comme une épreuve est une leçon pour l'avenir.

Résumé : Dans les années 60 Philippe Grauer s'est impliqué dans l'introduction en France de psychosociologie et de la psychologie humaniste américaine (Carl Rogers). Il suit les enseignements structuralistes de Barthes et Greimas, introduit Le Mouvement du potentiel humain, propage la psychologie humaniste, achève une psychanalyse en 1992, devient psychanalyste indépendant. Il participe à l'établissement de la profession de psychothérapeute, crée en 1985 le CIFPR (Centre Interdisciplinaire de Formation à la Psychothérapie Relationnelle. il définit la multiréférentialité "comme la prise en compte de la diversité des modèles et disciplines en sciences humaines cliniques, comme l'art d'articuler des systèmes en respectant leurs aspects contradictoires dont aucun n'acquiert por autant ni le statut de tiers eclu, ni de terme hégémonique.... Ma psychopratique, autrement dit ma clinique, consiste à me laisser surprendre par ce qui dans l'entre-deux relationnel psychothérapique survient ou surgit, souvent furtivement, en moi, à le saisir et remettre dans le commerce, le commerce des hommes comme on disait au XVIIIème siècle, à le faire tenir tenir dans le circuit dialogual en cours, afin de tâcher ensemble de voir en quoi et comment cela peut éclairer la situation et alimenter le processus de subjectivation...Mes valeurs se situent du côté de l'humanisme, d'un éco-humanisme respectueux de la nature, du respect de la diversité des écoles et doctrines, dont aucune ne sombrerait dans l'arrogance ou le désir d'hégémonie. Mes valeurs résident dans l'exigence de formations variées, critiques, longues et rigoureuses, et de références aux organismes historiquement repérables capables de cautionner de façon responsable la pratique de la psychothérapie relationnelle." (Philippe Grauer)

Résumé : "Un unique terrain pour plus de six cents garçons, des vestiaires vétustes, mais une arrière-salle qui déborde de trophées… Le club de foot la Jeunesse d'Aubervilliers (l'ASJA) maintient son niveau d’excellence malgré des moyens dérisoires. Dans ce club comme partout en banlieue parisienne, les jeunes espèrent taper dans l'œil des recruteurs que les clubs de l'élite dépêchent chaque week-end dans les stades de la région. À l'image de Jonathan, Glen et Anas qui n'ont qu'une idée en tête : "passer pro". Mais même pour les plus talentueux le temps presse. Bientôt, ils seront trop âgés pour intégrer un centre de formation. Alors lorsque des recruteurs du SC Bastia proposent à certains un essai, il s'agit de saisir la chance de sa vie. Matchs, entraînements, déplacements, détections… : pendant plus d'un an, Xabi et Agnès Molia ont suivi les différentes équipes de l'ASJ Aubervilliers et leurs entraîneurs. Réussissant à faire oublier leur présence, les documentaristes sont parvenus à filmer l'intimité de ce club de quartier, devenu un acteur social incontournable dans l'une des communes les plus pauvres de France. Ateliers de soutien scolaire, sermons, conseils d'éducateurs à la bienveillance paternelle… : les abords du terrain font office d'ultime refuge pour des adolescents en échec scolaire et parfois en rupture avec leur famille. Le football est une école de la vie, mais représente aussi la principale perspective d'ascension sociale. Malgré les mises en garde des éducateurs face aux mirages du foot business, aucun n'envisage une autre carrière que celle de star du ballon rond." (film-documentaire.fr)

Résumé : Pendant plusieurs mois, la réalisatrice Stéphanie Molez a posé ses caméras dans le restaurant kebab Le Mogador, en plein cœur du centre historique de Rouen. Ici, tout le monde a table ouverte : l’étudiant comme le chômeur, l’immigré comme le français, le parent divorcé comme la famille recomposée, les nantis comme les exclus. L’Autre comme soi-même. C’est la nouvelle formule de ces kebabs apparus en France au milieu des années 90 : ils ne sont plus des commerces étrangers, folkloriques, halals ou ethniques, mais des lieux de rencontres urbains autour de sandwiches qui n’ont plus de grecs que le nom. Le chaleureux patron du Mogador s’appelle Youssef, il est d’origine marocaine, il règne sur son petit monde et son parcours de vie éclaire les chemins chaotiques de l’exil. Chez lui, oubliez le cliché sur les communautés à couteaux tirés. Le lien social a des visages, des noms, des accents, des goûts, des idées, des conflits, des échanges... La France s’y révèle et s’y déguste dans sa complexité, sa diversité comme dans sa vitalité. Loin des pessimismes qui nous bouffent, et des idéologies qui nous classent. Le sport ou le manque d’argent, le racisme ou les gilets jaunes : tout est nourriture à l’échange, tout est propice à raconter un peu de soi. Et dans ces tranches de vie, ces brèves de kebab, se révèlent la chronique au quotidien d’une nouvelle société française. Un film pour alimenter le débat sur l’altérité, nourrir la réflexion sur l’intégration, et digérer bien des idées reçues... (jaquette)

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