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Résumé : Edmond Charlot, né en Algérie en 1915, est élevé par un grand-père qui lui transmet le goût de la lecture. Plus tard, sous l'influence de Jean Grenier, son professeur de philosophie au lycée d'Alger, il ouvre en 1936 sans trop de moyens une libraire au centre-ville, "Les vraies richesses". Le local est minuscule mais à la vente s'ajoute bientôt une activité d'exposition, puis rapidement Charlot entreprend de publier : "Révolte dans les Asturies" en 1936, "L'envers et l'endroit",1937, et Noces" (en 1939) d'Albert Camus, "Rondeur des jours" de Giono, "Santa-Cruz" de Jean Grenier, des oeuvres de E. Roblès, Gabriel Audisio, Max - Pol Fouchet, Jules Roy [...] La librairie devient un lieu culturel qui attire amis et écrivains. Max Pol Fouchet a évoqué cette époque : "Vers six heures du soir, nous allions voir les derniers livres parus, que nous ne pouvions pas toujours acheter, car nous étions tous très démunis, puis nous allions boire ensemble l'anisette traditionnelle dans un proche bistrot. Charlot polarisait la vie intellectuelle d'Alger." Michel Vuillermet fait revivre l'éclat des "Vraies richesses" : Edmond Charlot, centenaire, relate ces moments où " l'amitié et la culture méditerrannéenne" faisaient vibrer ces jeunes intellectuels. Les scènes de la vie quotidienne à Alger, tirées d'images d'archives ou actuelles, accompagnent les lectures de textes (en voix off) de Camus, Audisio, Amrouche, Roblès, Jean Sénac ...

Résumé : "Langue sacrée, langue parlée" est le prolongement d'une réflexion sur la langue que, déjà, Nurith Aviv avait placée au centre de son précédent film : "D'une langue à l'autre" (2004), où neuf personnes - écrivains, poètes, musiciens - analysaient la relation conflictuelle entre la langue de leurs parents, langue de l'enfance, et l'hébreu, langue nationale. "Langue sacrée, langue parlée" est conçu selon la même structure, alternant entretiens et longs travellings en train (le prologue même est composé des images enregistrées en 1897 par Alexandre Promio de la ligne de chemin de fer Jérusalem-Jaffa). Treize personnes cette fois, natives d'Israël, aussi judicieusement choisies que magnifiquement cadrées, vont livrer, tour à tour, le témoignage passionnant de leur relation personnelle à l'hébreu, qui, pendant des siècles, fut langue sacrée pour les juifs de la diaspora, et qui, par volonté politique, est devenu, au XXème siècle, une langue parlée au quotidien. Avec : Haïm Gouri, poète, écrivain, journaliste et réalisateur; Michal Govrin, écrivain, poétesse et metteur en scène de théâtre; Victoria Hanna, chanteuse associant musique et théâtre; Ronit Matalon, écrivain, professeur de Lettres; Roy Greenwald, poète et traducteur; Etgar Keret, romancier, auteur de bandes dessinées et réalisateur ("Les Méduses", 2007); Yitzhak Laor, poète, écrivain, dramaturge et critique littéraire; Shimon Adaf, poète, écrivain et musicien; Haviva Pedaya, essayiste, chercheur et poétesse; Yehuda Ovadya Fetaya, chantre de la synagogue Min'hat Yehouda à Jérusalem; Zali Gurevitch, poète, traducteur et chercheur; Michal Naaman, artiste plasticienne et Orly Castel-Bloom, écrivain.

Résumé : 2008 est l'année du centenaire de la naissance de Simone de Beauvoir (9 janvier 1908), et à ce titre, l'occasion, pour l'auteur et le réalisateur de ce film, de lui rendre un hommage particulier à l'heure où la question de l'égalité politique entre les hommes et les femmes revêt, en France, une certaine actualité. "Je veux tout de la vie, être une femme et aussi un homme, avoir beaucoup d'amis, et aussi la solitude, travailler énormément, écrire de bons livres, et aussi voyager, m'amuser, être égoïste et aussi généreuse... " Simone de Beauvoir, "Le Deuxième sexe", 1949. Cette citation, comme toutes celles qui suivront, donne au film son tempo : un livre, "Le Deuxième sexe", oublié sur le guéridon d'un jardin public, est l'image récurrente qui permet de passer d'un interlocuteur à l'autre. Vont alors se succéder dans l'ordre de leur apparition à l'image : Michèle Perrot, Annie Ernaux Philippe Sollers, Danièle Sallenave, Dominique Desanti, Simone Veil, Nathalie Heinich, Sylvie Le Bon de Beauvoir, Marie-Jo Bonnet, Madeleine Gobeil, Yvette Roudy, Julia Kristeva . La structure du film repose sur trois ensembles distincts qui se conjuguent en alternance : les citations du "Deuxième sexe" et leur commentaire que chacun des intervenants (précités) lira et fera tour à tour, des archives photographiques et audiovisuelles illustrant les différents témoignages et permettant de les situer dans l'espace et dans le temps, des saynètes enjouées donnant une respiration à l'ensemble.

Résumé : Comment montrer l'Histoire ? Comment parler d'un souvenir aussi vibrant que la pellicule Super 8 sur lequel il est inscrit ? Lorsque la mère d'Olivier Py achète en 1961 une caméra Super 8, elle commence par filmer la mer puis tourne l'appareil sur sa famille. Ces êtres chers, elle les maintient toujours dans le cadre de l'objectif comme pour les préserver de l'Histoire qui se joue en hors-champ. Le réalisateur se souvient de son origine pied-noir, des affrontements, des voitures plastiquées, de la mer et cette "mère" également, douce et vaillante qui soutenait leur famille rattrapée par l'Histoire et les "événements d'Algérie". Exhumés après vingt-cinq ans, des films 8 millimètres donnent lieu à une méditation sur le destin d'une famille et d'une génération. Méditerranées est une autofiction, l'histoire d'un couple, d'une famille, qui se confond avec l'histoire de l'Algérie et de la France des années 1960. Le regard d'Olivier Py est à la fois lucide et nostalgique. Méditerranées est une magnifique ode qui insuffle aux images d'archives une nouvelle forme de poésie. Sur le film sensible, les années s'écoulent suivant le rythme du cliquetis de l'appareil de projection et du ressac de cette mer au centre de tout. Ici la guerre est en coulisse, mais qu'est-ce qu'une image de la guerre finalement ? Grand Prix, Festival Doc en courts, Lyon, 2012.

Résumé : "Out of Mind, Out of Sight est la suite du documentaire intitulé NCR : non criminellement responsable, un film sur le traitement réservé aux personnes ayant commis des crimes violents et déclarées non criminellement responsables (ou NCR) pour cause de maladie mentale. Dans Out of Mind, Out of Sight, Kastner entremêle les histoires intenses de quatre patients du centre de santé mentale de Brockville (en Ontario au Canada), qu'il a pu filmer sur une période de 18 mois grâce à un accès sans précédent à l'institution.Avec une étonnante franchise, le cinéaste suit le parcours de deux hommes et deux femmes qui mènent un dur combat pour reprendre leur vie en main, et pouvoir ainsi retourner dans une société où ils sont généralement craints et diabolisés. L'histoire principale porte sur Michael, un patient qui a assassiné un membre bien-aimé de sa famille lorsqu'il était dans un état psychotique et qui est maintenant rongé par la culpabilité. Carole et Sal, quant à eux, sont aux prises avec des hallucinations auditives - des voix qui les somment de faire des choses terribles - et qui, contre toute attente, sont tombés amoureux l'un de l'autre. Justine s'est liée d'amitié avec Ashley Smith, un cas désespéré, dont l'état mental est très semblable au sien. À la consternation du personnel soignant, Justine commence à suivre Ashley sur le chemin solitaire de l'autodestruction." (film-documentaire.fr)

Résumé : Le portrait conçu par Jean Daniel et Joël Calmettes tente de déconstruire l’image négative, tragique ou, a contrario, « naïve » qui reste parfois accolée à ce grand nom de la littérature et de l'histoire politique de l’époque moderne. Essayer de s’approcher au plus près de « la joie de vivre de l’homme, tendre à faire passer ce bonheur simple qui l’habitait et qui coule dans ses phrases... un bonheur bien sûr entravé, blessé, bientôt perdu de vue », tels sont les objectifs et le fil conducteur du film. Au regard de cet axe, le parcours de Camus est découpé chronologiquement en trois phases. La première, consacrée à l’enfance et à la jeunesse, fait retour sur les lieux d’origine : la ville d’Alger et la terre algérienne. C’est avec l’écriture de "L'Étranger" et du "Mythe de Sisyphe" que s’ouvre le deuxième volet : « Un bonheur étouffé par la gloire, France, 1941 - 1952 ». La dernière partie substitue à la parole de « l' homme public » une figure plus intime qui apparaît dans la distance prise par rapport au cercle parisien et à l’idéologie communiste. Cette parole intime est mise en avant à travers la lecture d’écrits personnels, correspondances et journal. Avec des entretiens filmés ou enregistrés accordés par Albert Camus, des archives privées et les témoignages de Catherine Camus, sa fille, Edmond Charlot son premier éditeur, Jules Roy, Robert Gallimard, Catherine Sellers et le comédien Michel Bouquet. Le commentaire de Jean Daniel, marqué d’une dimension subjective explicite, est dit par Jean-Louis Trintignant.

Résumé : La carrière menée par Svjatoslav Richter, l'impact qu'il a eu sur le public aussi bien que sur ses collègues sont irréductibles à tout modèle classique. Durant son enfance à Odessa il apprend seul la musique. il débarque à Moscou en 1937, dans la classe de Heinrich Neuhaus, l'un des pianistes les plus réputés de l'époque. Refusant de se plier à la discipline collective, Richter est à trois reprises chassé du conservatoire mais à chaque fois réadmis. Prokofiev le remarque et lui demande de jouer sous sa direction son cinquième concerto... A partir de cette date, Richter sillonne l'Union Soviétique, étoffant progressivement son répertoire. Pour des raisons peu claires, il n'est pas autorisé à se rendre à l'extérieur du bloc socialiste. En 1961, il se rend enfin à l'Ouest avec une série de huit récitals à Carnegie Hall, ses concerts font sur le monde musical l'effet d'un tremblement de terre. Il crée un festival en France en 1964, puis un autre à Moscou, mais disparaît aussi parfois pendant des mois. Depuis le début des années 80, il ne se produit plus qu'avec partition sur le pupitre dans des salles à peu près obscures. A près de soixante-quinze ans, il quitte Moscou en voiture au mois de juillet, pour n'y revenir que six mois plus tard. Entre-temps, il aura couvert le trajet jusqu'à Vladivostok et retour et donné cent cinquante concerts dans les villes et bourgades les plus reculées de la Sibérie.

Résumé : Les déchets sont un point de cristallisation : peur pour les populations, doute, impuissance à trouver une solution acceptable pour les scientifiques, évitement pour les politiques. Oui, ils sont bien le cauchemar de l'industrie nucléaire. Cette enquête rigoureuse et d'envergure (huit mois sur trois continents) aborde le tabou des déchets non seulement par un biais historique en montrant les premières installations du Projet Manhattan aux Etats-Unis, mais aussi en ancrant son propos dans la réalité des sites de La Hague (usine de retraitement) et du centre d'études de Bure en Moselle qui prône un enfouissement. De plus le film révèle que 13% des déchets sont stockés à ciel ouvert sur le sol russe dans des villes secrètes comme Tomsk en Sibérie qui recueille des tonnes d'uranium enrichi tandis que l'hôpital voisin enregistre un taux de cancer anormalement élevé. Ainsi sommes-nous mis face à la "vérité sur les déchets", aux risques environnementaux, sanitaires que leur traitement et leur stockage génèrent ainsi qu'aux choix de l'humanité car le nucléaire exige de se projeter vers un avenir à 200.000 ans, 6000 générations. Accompagnés dans leur enquête par des militants de Greenpeace et des experts de la Criirad (Commission de Recherche et d'Information Indépendantes sur la Radioactivité), Eric Guéret et Laure Noualhat nous donnent à voir des images impressionnantes, des preuves de contamination données par des scientifiques et à entendre des discours émanant de points de vue différents (pro et anti-nucléaires).

Résumé : Cet autodidacte érudit qui rêvait de devenir fresquiste a subi très tôt les bouleversements de son époque. Traumatisé par la guerre de 14-18, vécue en première ligne et grièvement blessé au Chemin des Dames, André Masson (1896-1987) restera un écorché vif au tempérament impulsif, parfois violent, mais aussi un artiste indépendant et solitaire, rebelle à toute autorité. Il pouvait être "tendre, enjoué et gracieux" confient les amis qui se réunissaient dans son premier atelier, rue Blomet, tous unis par l'amitié, la littérature et la liberté créatrice. "Être peintre-poète était notre ambition" écrit-il de son voisin Joan Miró et de lui-même. À la demande d'André Breton, il rejoint dès 1924 le mouvement surréaliste auquel il participe de manière fervente mais orageuse. Parmi les peintres du groupe, il est le premier à explorer le domaine du rêve - dans le sillage de Freud et de Léonard de Vinci - afin de pratiquer un automatisme graphique. Ainsi est-il le précurseur de l'art surréaliste et, toujours en mouvement, d'une peinture gestuelle qui influencera, plus tard aux États-Unis, les artistes de l'action painting. Passionné de poésie et de toutes les musiques, comme de peinture et de philosophie orientale, Masson est le maître de la ligne errante. Aux côté de Max Ernst et de Miró, c'est l'un des très grands créateurs du xxe siècle, uniquement guidé par ses propres mots, "là où il n'y a plus ni "réalisme" ni "fantastique", il n'y a plus que l'illimité".

Contenu : CD 01 Enfants du paradis (Les) : Générique 1ère partie. Enfants du paradis (Les) : Generique 2ème parie. Enfants du paradis (Les) : Pantomime (La). Enfants du paradis (Les) : Générique. Visiteurs du soir (Les) : Démons et merveilles. Visiteurs du soir (Les) : Tendre et dangereux visage de l'amour (Le). Visiteurs du soir (Les) : Complainte de Gilles. Drôle de drame : Générique. Drôle de drame : Petits pigeons (Les) / Michel Simon. Quai des brumes : Générique. Quai des brumes : Scène. Quai des brumes : Largo. Quai des brumes : Java-Valse. Jour se lève (Le) : Générique. Jour se lève (Le) : Radio. Jour se lève (Le) : Candenza. Jour se lève (Le) : Nos légionnaires - tempo di marcia. Jour se lève (Le) : Drame. Jour se lève (Le) : Orgue de Barbarie. Jour se lève (Le) : Final. Portes de la nuit (Les) : Générique. Portes de la nuit (Les) : Enfants qui s'aiment (Les) / Juliette Gréco. Portes de la nuit (Les) : Feuilles mortes (Les) /Yves Montand. CD 02 Quand un facteur s'envole / Charles Trénet (Film Adieu Léonard). Générique (Film Souvenirs perdus). Compagnons des mauvais jours / Yves Montand (Film Souvenirs perdus). Tournesol / Yves Montand (Film Souvenirs perdus). Générique : La Chanson du voilier /Tino Rossi (Film Le Soleil a toujours raison). Le Chant du gardian / Tino Rossi (Film Le Soleil a toujours raison). Toi que mon coeur appelle / Tino Rossi (Film Le Soleil a toujours raison). Générique (Film Le Crime de Monsieur Lange). Au jour le jour, à la nuit, la nuit / Florelle (Film Le Crime de Monsieur Lange). Générique (Film Les Disparus de Saint-Agil). Fanfare des pensionnaires (Film Les Disparus de Saint-Agil). Générique (Film Remorques). Litanies (Film Remorques). Générique (Film Lumières d'été). Générique (Film Les Amants de Vérone). Générique (Film Notre-Dame de Paris). Danse (Film Notre-Dame de Paris). A Notre-Dame / Damia (Film Notre-Dame de Paris). Générique de fin (Film Notre-Dame de Paris)

Résumé : Les Presses Universitaires de France et Frémeaux & Associés proposent cette biographie de Napoléon III, analysée et expliquée par Xavier Mauduit, chroniqueur radio et docteur en histoire, spécialiste du Second Empire. Napoléon III, empereur des Français, est un personnage complexe dont la postérité est entachée par la violence de ses détracteurs ; « Napoléon le Petit », « nain immonde » viennent sous la plume de Victor Hugo marquer à jamais les esprits. Pourtant, à la tête d’un bonapartisme réfléchi et populaire, Louis-Napoléon conquiert le cœur des Français, et entame une politique forte de modernisation, de grands travaux et d’essor de la France sur la scène internationale. De la naissance princière aux exils, des ambitions de conquête à la victoire, Xavier Mauduit nous guide dans les contradictions apparentes d’un homme de pouvoir qui pendant près de vingt ans a modelé la France.

Contenu : Depuis 2005, Simon Whetham utilise des sons environnementaux, qu’il travaille à l’aide de techniques variées afin de révéler des phénomènes sonores souvent imperceptibles ou dissimulés. Lors de ses performances et installations, le lieu et les objets qui s’y trouvent deviennent des instruments dont il joue. Ses recherches artistiques l’ont amené à travailler de plus en plus sur des projets multidisciplinaires, donnant à son travail un aspect plus visuel et tangible. Il explore actuellement différentes manières de conserver des traces physiques du son. Il collabore régulièrement avec des danseurs, performers, peintres et vidéastes, ainsi que des musiciens et artistes sonores, parmi lesquels Tarab, Scanner, Derek Piotr, Iris Garrelfs, Alan Courtis, Kate Carr, Rhodri Davies… Il a publié de nombreux enregistrements sur des labels comme Entr’acte, Gruenrekorder, Mystery Sea, Impulsive Habitat, Unfathomless, Dragon’s Eye Recordings, Line, Crónica, Helen Scarsdale Agency, Flaming Pines, Glistening Examples…Simon Whetham a présenté son travail dans de nombreux pays d’Europe, d’Amérique du Sud et d’Asie, dans le cadre de performances et d’installations, mais aussi d’ateliers autour de la pratique du field recording et de l’écoute active. Depuis 2013, certains de ses ateliers s’adressant plus particulièrement aux enfants et aux adolescents ont eu lieu en Colombie, en Norvège, en Australie, ou encore à Munich auprès de mineurs non accompagnés vivant dans un centre d’accueil pour réfugiés. (site des Instants Chavirés). “Active Crossover” is a project initiated by Simon Whetham during a residency at the Polymer Factory Culturehouse, Tallinn, Estonia in 2009. During the residency he met and worked with many artists who were all working with sound and music in different and interesting ways, prompting him to exhibit theiI work he composed alongside work created by those he met and worked with throughout his time in Estonia and Latvia. (Simon Whetham, Jan 2012)

Résumé : "Pour la suite du monde" : Au printemps de 1962, les habitants de l'île aux Coudres reprennent, avec la technique ancienne, la pêche aux marsouins qu'ils avaient abandonnée depuis 37 ans.Le film raconte cette pêche dans ses diverses étapes et entrecoupe le récit de séquences explorant quelques points de la vie et des coutumes locales.Les auteurs, Pierre Perrault particulièrement, ont suscité le projet de cette pêche. En cela, le film s'inscrit dans la tradition de Flaherty qui provoque des événements, qu'il filme ensuite de l'intérieur, accordant sa mise en scène à l'essence même de son sujet.Le film n'en constitue pas moins un inventaire de tout un monde traditionnel du Québec.Le film "Les raquetteurs" est considéré comme un des films précurseurs du "cinéma direct" : il capte les rites festivaliers entourant un congrès annuel de raquetteurs à Sherbrooke (Québec).Le film "La lutte" (La Lotta, Wrestling, Le Catch) poursuit l'expérience de "cinéma direct" des Raquetteurs en ne comportant aucun commentaire : plus qu'un reportage sur la lutte, il s'inscrit dans ce grand courant de films sur les sports à travers lesquels plusieurs cinéastes veulent faire de la sociologie culturelle, en essayant de rendre compte de la relation public-combat.Le nom de Roland Barthes au générique invite à faire le lien avec son étude "Mythologies" où un chapitre sur le catch compare l'emphase de ce sport-spectacle à celle du theâtre antique.Le film "Québec-USA" s'interesse au regard que portent les habitants de la ville de Québec sur les touristes américains qui viennent les voir, en 1962.

Résumé : Pendant trois mois Vincent Boujon a recueilli des témoignages dans le Centre de Dépistage du Sida Anonyme et Gratuit de l'Hôtel Dieu à Lyon. Dans la salle d'attente, avant de connaître les résultats du test, des patients se confient livrant leur appréhensions et leurs doutes quant au diagnostic. Le film tente ainsi une approche des peurs et des comportements contradictoires face à la maladie : pratiques sexuelles à risques, ambivalences du recours au préservatif, lassitude de son emploi, "relapse". Construit en 7 parties où alternent témoignages et gestes médicaux du dépistage, "Test" donne à écouter les paroles d'anonymes dont les silhouettes sont floutées dans un décor tracé au crayon. Cette mise en scène de l'intime à l'hôpital éloigne la réalité de ce lieu médical sans la gommer. Ainsi un peu de la vérité de chacun (hommes, femmes, seuls ou en couples) affleure-t-elle dans la relation à la sexualité, au corps, au respect de soi, à la vie, à la mort, à l'impossible confiance en l'autre generée par l'apparition du virus. Par ailleurs la force du désir, sa vitalité face à la tristesse du latex, transgresse le "safer sex"/ la sexualité "plus sûre", protégée. Le discours que le film met en place repose sur les contradictions (puissance du désir / achoppement de la raison) comme sur la résolution du dilemne (se protéger, "mettre une capote c'est aussi faire attention, à soi... c'est inquiétant de ne pas faire attention à soi..."). Les protagonistes insistent sur la vigilance ; l'expérience du dépistage vécue comme une épreuve est une leçon pour l'avenir.

Résumé : Dans les années 60 Philippe Grauer s'est impliqué dans l'introduction en France de psychosociologie et de la psychologie humaniste américaine (Carl Rogers). Il suit les enseignements structuralistes de Barthes et Greimas, introduit Le Mouvement du potentiel humain, propage la psychologie humaniste, achève une psychanalyse en 1992, devient psychanalyste indépendant. Il participe à l'établissement de la profession de psychothérapeute, crée en 1985 le CIFPR (Centre Interdisciplinaire de Formation à la Psychothérapie Relationnelle. il définit la multiréférentialité "comme la prise en compte de la diversité des modèles et disciplines en sciences humaines cliniques, comme l'art d'articuler des systèmes en respectant leurs aspects contradictoires dont aucun n'acquiert por autant ni le statut de tiers eclu, ni de terme hégémonique.... Ma psychopratique, autrement dit ma clinique, consiste à me laisser surprendre par ce qui dans l'entre-deux relationnel psychothérapique survient ou surgit, souvent furtivement, en moi, à le saisir et remettre dans le commerce, le commerce des hommes comme on disait au XVIIIème siècle, à le faire tenir tenir dans le circuit dialogual en cours, afin de tâcher ensemble de voir en quoi et comment cela peut éclairer la situation et alimenter le processus de subjectivation...Mes valeurs se situent du côté de l'humanisme, d'un éco-humanisme respectueux de la nature, du respect de la diversité des écoles et doctrines, dont aucune ne sombrerait dans l'arrogance ou le désir d'hégémonie. Mes valeurs résident dans l'exigence de formations variées, critiques, longues et rigoureuses, et de références aux organismes historiquement repérables capables de cautionner de façon responsable la pratique de la psychothérapie relationnelle." (Philippe Grauer)

Résumé : "Un unique terrain pour plus de six cents garçons, des vestiaires vétustes, mais une arrière-salle qui déborde de trophées… Le club de foot la Jeunesse d'Aubervilliers (l'ASJA) maintient son niveau d’excellence malgré des moyens dérisoires. Dans ce club comme partout en banlieue parisienne, les jeunes espèrent taper dans l'œil des recruteurs que les clubs de l'élite dépêchent chaque week-end dans les stades de la région. À l'image de Jonathan, Glen et Anas qui n'ont qu'une idée en tête : "passer pro". Mais même pour les plus talentueux le temps presse. Bientôt, ils seront trop âgés pour intégrer un centre de formation. Alors lorsque des recruteurs du SC Bastia proposent à certains un essai, il s'agit de saisir la chance de sa vie. Matchs, entraînements, déplacements, détections… : pendant plus d'un an, Xabi et Agnès Molia ont suivi les différentes équipes de l'ASJ Aubervilliers et leurs entraîneurs. Réussissant à faire oublier leur présence, les documentaristes sont parvenus à filmer l'intimité de ce club de quartier, devenu un acteur social incontournable dans l'une des communes les plus pauvres de France. Ateliers de soutien scolaire, sermons, conseils d'éducateurs à la bienveillance paternelle… : les abords du terrain font office d'ultime refuge pour des adolescents en échec scolaire et parfois en rupture avec leur famille. Le football est une école de la vie, mais représente aussi la principale perspective d'ascension sociale. Malgré les mises en garde des éducateurs face aux mirages du foot business, aucun n'envisage une autre carrière que celle de star du ballon rond." (film-documentaire.fr)

Résumé : Pendant plusieurs mois, la réalisatrice Stéphanie Molez a posé ses caméras dans le restaurant kebab Le Mogador, en plein cœur du centre historique de Rouen. Ici, tout le monde a table ouverte : l’étudiant comme le chômeur, l’immigré comme le français, le parent divorcé comme la famille recomposée, les nantis comme les exclus. L’Autre comme soi-même. C’est la nouvelle formule de ces kebabs apparus en France au milieu des années 90 : ils ne sont plus des commerces étrangers, folkloriques, halals ou ethniques, mais des lieux de rencontres urbains autour de sandwiches qui n’ont plus de grecs que le nom. Le chaleureux patron du Mogador s’appelle Youssef, il est d’origine marocaine, il règne sur son petit monde et son parcours de vie éclaire les chemins chaotiques de l’exil. Chez lui, oubliez le cliché sur les communautés à couteaux tirés. Le lien social a des visages, des noms, des accents, des goûts, des idées, des conflits, des échanges... La France s’y révèle et s’y déguste dans sa complexité, sa diversité comme dans sa vitalité. Loin des pessimismes qui nous bouffent, et des idéologies qui nous classent. Le sport ou le manque d’argent, le racisme ou les gilets jaunes : tout est nourriture à l’échange, tout est propice à raconter un peu de soi. Et dans ces tranches de vie, ces brèves de kebab, se révèlent la chronique au quotidien d’une nouvelle société française. Un film pour alimenter le débat sur l’altérité, nourrir la réflexion sur l’intégration, et digérer bien des idées reçues... (jaquette)

Contenu : Honi soit qui mal y pense. Evidemment. Rue de la Croix-Nivert. La vérité augmentée / avec Tess. L'arpeggiator. À supposer. Sur la photo. Des si des mais / avec Patricia Petitbon. Lady's fingers / avec Laurie Mayer. Ye souis. Moi si j'étais vous / avec Kumisolo. Belmondo. Pour ne pas dire. Élodie

Résumé : "A 190 miles au sud-est de Los Angeles et 120 pieds en dessous du niveau de la mer, près de Salton Sea, en plein désert, sur le site désaffecté d'une ancienne base militaire et à proximité d'un centre de tirs aériens, s'étend Slab City, vaste camp de caravanes, de tentes, de mobil-homes, d'autobus déglingués, de pick-up et de quelques cabanes. Là vit une communauté de marginaux sans eau ni électricité, c'est à dire sans police ni gouvernement. Ces hommes et ces femmes sont venus chercher dans le désert une paix intérieure que la société leur refusait. Ils ne sont pas venus en quête d'un autre monde, mais du désert lui-même. La solitude est le terme de leur voyage. The Doctor, Cindy, Insane Wayne, Water Guy, Bulletproof, les personnages du film de Gianfranco Rosi n'ont pas de noms, juste des surnoms. Si le nom renvoie chacun à une histoire familiale et sociale avec laquelle il est en rupture, le surnom fait table rase de ce passé. Mais il suffit de quelques photos, d'un portable, d'un mot malheureux pour que, par bribes, entre beaucoup de silences, quelques verres, quelques morceaux de guitare et de poésie, ce passé enfoui ressurgisse, que la douleur afflue de nouveau. Du coup, l'image de Slab City s'inverse. Ce n'est plus un monde en rupture avec le nôtre, mais une image ultime de notre monde, l'image de sa fin, tel qu'il abandonne chacun à soi-même, dans une décharge au coeur d'une nature devenue désert, sous le contrôle permanent d'engins militaires volants." (Yann Lardeau, extrait du catalogue Cinéma du réel 2009)

Résumé : Shaïma et Hossein s'aiment depuis l'enfance. Mais Hossein, poussé par la misère et non par conviction, s'est engagé dans la guerre aux côtés des talibans. Une explosion le laisse paralysé des deux jambes, ce qui le maintient, semble-t-il définitivement, dans la pauvreté. Le père de Shaïma force alors sa fille à se marier avec un homme riche, mais polygame. Les deux amants se voient en cachette, sous la menace, en cas de dénonciation, du châtiment que réservent, en ces circonstances, les impitoyables règles tribales locales. Mais le film va bien au-delà de cette histoire d'amour. Hors-champ, la réalisatrice et son interprète afghane ont si bien réussi à établir des relations authentiques avec les filmés, qu'elles évoluent, semble-t-il, en toute liberté et confiance au sein des deux familles. Et la parole des uns comme des autres fuse, révélant en profondeur et sur le vif l'organisation patriarcale régissant les relations entre les hommes et les femmes, au centre de laquelle règne l'argent. Les femmes, qui n'ont pas leur mot à dire sur leur sort, n'ont pas un statut différent de celui du bétail. Le père de Shaïma explique que du fait de la dureté du temps, il ne tire ses revenus que de la vente en mariage de ses filles, y compris sa petite de 13 ans, vendue dernièrement au Pakistan, comme ose le lui reprocher amèrement son épouse.C'est ainsi que , contre sa volonté, Shaïma est la 4ème épouse de son mari. Hossein dévoile aussi le rôle de l'argent dans les alliances politiques, qui changent avec la première offre pécuniaire plus avantageuse. S'interessant , en profondeur, aux rouages de la société afghane traditionnelle, ce film, porté par une réalisation de qualité, s'avère particulièrement précieux.

Résumé : S'appuyant sur le destin du chantier naval Dubigeon de Nantes, déjà en difficulté lors de l'arrivée de la gauche au pouvoir en 1981ce film, bien que centré sur la région Nantes-Saint-Nazaire, élargit peu à peu son propos à tout le secteur de l'industrie de la construction navale française, exemplaire de l'état actuel, handicapant pour une gestion économique saine du pays, de la désindustrialistation de la France. La force du film, qui n'est pas un nième film sur une usine qui ferme, réside d'abord dans son montage très réussi d'alternances , judicieusement réglées, d'images d'archives, d'interventions d'acteurs de l'époque et d'aujourd'hui : patrons de l'industrie navale, hommes et femmes politiques successivement en charge du portefeuille ministériel de l'Industrie (notamment Edith Cresson), ouvriers et syndicats: chacun explicitant ses décisions, pour les uns, obligations pour les autres, ou raisons de lutter contre la perte de son emploi, donc de ses moyens de vivre, pour les ouvriers et les syndicats, interventions aussi de chercheurs dont l'objet d'études est l'industrie, le travail, ou les mouvements sociaux (Robert Castel, à la fin du film). De ce montage émerge une enquête solide, grâce à la grande qualité de tous les intervenants. Elle fait apparaître l'antagonisme, difficilement soluble, entre la finalité d'une économie capitaliste dérégulée (toujours plus de profits, quite à piétiner les droits de L'Homme travailleur et l'économie de toute une région , voire d'un pays) et la conduite d'une politique nationale de gauche, économiquement équilibrée et dirigée par l'exigence de justice sociale, le tout dans un contexte "mondialisé". Le film est, à cet égard, une réussite.

Résumé : "Etre là" rend compte du quotidien du service de psychiatrie de la prison des Baumettes à Marseille (le SMPR, Service médico-psychiatrique régional). Le tournage concentré en trois semaines s'est construit sur un travail préparatoire d'une année environ. Essentiellement composé de femmes le SMPR est un lieu de soin et d'écoute où le sujet est au centre du dispositif thérapeutique qui repose sur une prise en charge pluridisciplinaire. Le film s'articule autour de deux mouvements entrecroisés : la parole de Sophie, psychiatre et les entretiens avec les patients incarcérés. Le témoignage de Sophie, médecin psychiatre, qui décrit et analyse son rapport à son métier dans l'institution ; le maître-mot est "Résistance", résistance pour préserver l'espace du soin face à l'univers carcéral qui a tendance à tout phagocyter, résistance à soi, au repli, à la tentation du retrait qui taraudent le soignant. Cette réflexion cohabite avec les entretiens avec les patients menés par Sophie et d'autres psychiatres de l'équipe, le travail des infirmières et des séances avec l'ergothérapeute. Sans jamais montrer le visage des prisonniers / patients, "Etre là" met au premier plan le récit, l'écoute active et l'éthique en marche de chaque instant à l'oeuvre parmi tous les membres de ce service où l'on soigne, aide, rétablit du lien social comme la relation soignants/soignés. Le choix du noir et blanc permet une mise à distance de la réalité filmée tout en la rendant plus expressive. Régis Sauder fait non seulement la chronique d'un service de psychiatrie dans une prison dont fut révélée récemment la vétusté, la saleté et la surpopulation mais permet aussi et surtout une interrogation sur la place du soin, de l'écoute et de la psychiatrie dans notre société.

Résumé : Depuis plus de trente ans, Sophie Calle est une artiste française qui a fait de sa propre vie le sujet central de son œuvre. Du Centre Pompidou à la Biennale de Venise en passant par New York et Berlin, ses œuvres mêlent de manière souvent spectaculaire voire provocante textes, photographies, vidéo et installations et elles ont été montrées avec succès dans le monde entier. Filatures d'inconnus, portraits de dormeurs, nuit blanche au sommet de la Tour Eiffel, mariage périlleux à Las Vegas, lettres de rupture amoureuse, filmage de la mort de sa mère : obéissant à une règle du jeu précise, chacune de ses entreprises est plus ou moins directement le fruit d'une expérience vécue et a une fonction thérapeutique autant qu'artistique. Elle est une manière de lutter contre l'absence, la solitude, la mort. Pour ce documentaire de la collection "Empreintes", Sophie Calle a choisi de raconter sa vie à Victoria Clay Mendoza, la réalisatrice, sous la forme d'une lettre lue à voix haute et de lui ouvrir en grand les portes de son atelier et les tiroirs de ses archives. Sur cette trame, se greffent de multiples séquences tournées dans les lieux cardinaux de l'univers personnel de l'artiste : sa maison de Camargue, où s'ancrent tous ses souvenirs d'enfance et ses cavalcades de jeunesse ; son atelier de Malakoff, où elle travaille et entrepose des centaines d'objets et de documents qui sont autant de traces de son existence intime et de matériaux de l'œuvre ; ou encore le petit cimetière de Californie, où elle a pris ses premières photographies et où elle a décidé de se faire enterrer. Pour Sophie Calle, artiste en quête permanente et inquiète de l'autre et de soi-même, l'art c'est la vie elle-même. Cet autoportrait original et drôle, kaléidoscopique, en est une démonstration supplémentaire

Contenu : Welcome. Petite rivière. How much for your soul. Un manouche dans New York. Gitano marinero. Des coquelicots dans les bleuets. Black is the colour of my true love's hair

Contenu : Jour se lève (Le). Funambule. Vertigo. Hors du temps. Couleur et la forme (La). Mrs J #1. Mrs J #2. Anonymous. Ne le dis à personne

Contenu : Born on the bayou. Green river. Ninety-nine and a half. Bootleg. Commotion. Bad moon rising. Proud mary. I put a spell on you. The night time is the right time. Keep on chooglin'. Suzie q

Contenu : CD 04 Popp songs 1 : Musique mécanique / Juliette Gréco. Grand-papa laboureur / Catherine Sauvage. La pendule / Les Frères Jacques. Les lavandières du Portugal / Jacqeline François. Pour bien la chanter / Catherine Sauvage. La rue s'allume / Cora Vaucaire. Chimère / Catherine Sauvage et Pierre Brasseur. La complainte du téléphone / Juliette Gréco. De fil en aiguille / Bourvil. De Pantin à Pékin / Juliette Gréco. Tique taque / Pia Colombo. Tom Pillibi / Jacqueline Boyer. Oui mon capitaine / Patachou. Kilimandjaro / Bourvil. Depuis qu'on est deux / Luis Mariano. Ping-pong / Marcel Amont. Les chants de l'été / Petula Clark. C'est ça l'rugby / Les Frères Jacques. Ma bohème / Isabelle Aubret. La rue s'allume / Barbara. Le chant de Mallory / Rachel. Les rubans et la fleur / France Gall. L'amour est bleu / Viky Léandros. Le coeur trop tendre / Nana Mouskouri. Manchester et liverpool / Marie Laforêt. Deux oiseaux / France Gall. CD 05 Popp songs 2 : Mon amour mon ami / Marie Laforêt. Je danse donc je suis / Brigitte Bardot. Portuguese washerwoman / Astrud Gilberto. Le lit de Lola / Marie Laforêt. I can sing a rainbow ; love is blue / the Dells. Years may come years may go / Herman's Hermits. Le coeur en fête / Les Compagnons de la chanson. Les jardins de Marmara / Dalida. Love maestro please / Sheila. Le temps de mon père / Dalida. Song for Anna (chanson d'Anna) / Herb Ohta. They never will leave you / Marianne Faithfull. My chérie Jane / Jane Birkin. L'amour c'est comme les bateaux / Sylvie Vartan. Le garçon que j'aimais / Nicole Croisille. El amor toca el violin / Jeannette. David / Nicole Croisille. La solitude c'est après / Claude François. Les oiseaux du bonheur / Céline Dion. Los tiempos de mi papa / Jeannette. L'amour dans les volubilis / Marie-Paule Belle. Du soleil au coeur / Céline Dion. Musique mécanique / Leticia Caura. CD 06 Piccolo, Saxo et compagnie forever : Piccolo saxo et compagnie (la petite histoire d'un grand orchestre). Passeport pour Piccolo, Saxo et compagnie. Piccolo, Saxo et le cirque Jolibois. Piccolo Saxo à Music city. Piccolo, Saxo - la symphonie écologique

Résumé : "Je tenais à faire un film personnel sur George Sand qui, bien qu'ayant vécu à un autre siècle, me semble très contemporaine. Pour évoquer la pertinence de ses idées aujourd'hui, il me fallait trouver une écriture qui me permette de la rendre proche et vivante. J'ai choisi d'explorer un de ses romans méconnus, "Le Péché de Monsieur Antoine", qui expose ses idées politiques et polémiques, ainsi que sa proposition utopique d'un monde meilleur. Sand y préfigure les conséquences de l'explosion industrielle sur le monde rural. Elle décrit le capitalisme naissant dans un conflit qui oppose un père et son fils concernant l'installation d'une usine importante sur la rivière, rivière que le père entend dompter à son profit, et nous parle avant l'heure d'écologie. Elle analyse la bourgeoisie naissante, sa puissance corruptrice ainsi que sa morale étriquée dont les femmes sont les premières victimes. La dureté de la vie paysanne conduit l'écrivain et ses personnages à l'espoir utopique d'une société plus harmonieuse et juste, ne fonctionnant ni sur les profits, ni sur les capitaux. Elle imagine une commune, un monde meilleur où les hommes vivraient égaux et libres dans le partage de la terre, loin du monde des profits et de la concurrence. Dans ce monde règneraient le beau, le bon, la grâce...De Nohant, le lieu d'écriture, à Gargilesse, le décor du roman (dans l'Indre), en passant par la petite usine dans le monde rural de Dun-le-Palestel (dans la Creuse) - où les ouvrières se remettent difficilement du conflit qui les a opposées à la direction du groupe Barbara -, je vais à la rencontre d'amis d'origines sociales très diverses et qui ont tous lu "Le Péché de Monsieur Antoine". Ils mettent en résonance des propos venus du XIXème siècle dans la réalité d'aujourd'hui." Anne Lainé

Résumé : Robert Castel, sociologue, directeur d'études à l'EHESS, directeur du centre d'études des mouvements sociaux, fait le point, en 2000, sur la propriété sociale. "La question sociale moderne s'est posée à partir de l'existence d'une "classe non-propriétaire", comme on commence à l'appeler à la fin du XVIIIème siècle, constituée essentiellement d'une masse croissante de travailleurs qui n'ont que leur travail pour vivre. Ils paraissent condamnés à la misère et à l'insécurité sociale permanente. Menacés de tomber à chaque instant dans la déchéance, ils portent en même temps une menace de subversion complète de l'ordre social : classes travailleuses=classes dangereuses. La propriété sociale est la réponse qui a été élaborée à partir de la fin du XIXème siècle pour faire face à ce défi. Elle consiste,comme le dit Alfred Fouillée, à procurer "comme un minimum de propriété" à tous ceux qui sont en dehors de la propriété privée. C'est une propriété pour la sécurité qui assure contre les principaux risques sociaux et donne à chacun un minimum de ressources pour conjurer les aléas de l'existence. Il s'agit au premier chef du développement de la protection sociale et de la mise en place de services publics permettant la participation des non-propriétaires à la richesse sociale. On suivra le déploiement des différentes réalisations de cette propriété sociale qui paraissait en voie de réaliser le programme d'une sécurité sociale généralisée dans le cadre d'une "société assurentielle". On dessinera aussi le mouvement inverse d'ébranlement de cette propriété sociale qui parait s'accentuer depuis le début des années 1970 avec la crise de la société salariale : privatisations, contestation du service public, remise en cause du caractère universaliste des protections sociales. La protection sociale a été l'instrument principal de la réhabilitation sociale des non-propriétaires sous l'égide de l'Etat-Providence."

Résumé : "Comparés à l'immensité du cosmos les problèmes des Chiliens pourraient paraître insignifiants. Mais si on posait ces problèmes sur une table, ce serait une galaxie de problèmes. En faisant ce film, en me tournant vers le passé, j'ai retrouvé dans ces billes l'innocence du Chili de mon enfance. A cette époque chacun de nous pouvait garder au fond de sa poche l'univers entier. Je suis convaincu que la mémoire a une force de gravité. Elle nous attire toujours. Ceux qui ont une mémoire peuvent vivre dans le fragile temps présent. Ceux qui n'en ont pas ne vivent nulle part. Chaque nuit, lentement, impassible, le centre de la galaxie passe au-dessus de Santiago." Ainsi s'achève "Nostalgie de la lumière" où Patricio Guzmán arpente encore et encore le passé dévasté de son pays, sa mémoire, celle des femmes qui tamise le désert d'Atacama pour y retrouver les restes des disparus, torturés et tués de la dictature de Pinochet. L'Atacama, par la clarté de son ciel est un site exceptionnel pour les astronomes avec ses observatoires grandioses et par sa sécheresse le lieu de conservation de traces humaines ( momies précolombiennes, explorateurs, mineurs, prisonniers/disparus de la dictature). Le réalisateur dans une oeuvre poétique et cosmique à la fois provoque la rencontre entre les corps célestes, les planètes et les corps qui se souviennnet (témoins et victimes de la dictature) et ceux que leurs proches tentent de retrouver par morceaux, par fragments (les disparus) soulignant le paradoxe d'une meilleure connaissance des traces précolombiennes que celles des disparus de la dictature et par là-même l'étrange rapport des chiliens avec leur mémoire récente. Au croisement de tous ces regards sur le cosmos l'histoire personnelle et collective, la souffrance de l'origine et la douleur de(s) origine (s) que la lumière toujours passée provenant de l'espace englobe telle "un courant, une énergie, une matière qui se recycle."

Contenu : CD : 1 Barbara. L'entrecôte. Complainte mécanique. La gavotte des batons blancs. Le général castagnetas. Si tu t'imagines. Compagnons des mauvais jours. Les halles de Paris. Tournesol. En ce temps-là. Papa peint dans les bois. Barbarie. Chanson pour un jour de pluie. Jour de colère. La queue du chat. La saint Médard. Monsieur William. Page d'écriture. Voila les footballeurs. Général à vendre. CD : 2 Les vieux messieurs du Luxembourg. Ode. C'était un mérovingien. Tchin pon pon. Buffalo bar. Qu'avez-vous à déclarer ?. Totor têtu. Faut bien qu'on vive. Chanson pour les enfants l'hiver. La Marie-Joseph. La violoncelliste. La voix du sang. Le cirque. Le complexe de la truite. Les boîtes à musique. Place de la Concorde. Quelqu'un. Chanson de l'oiseleur. Chasse à l'enfant. Deux escargots s'en vont à l'enterrement. CD : 3 En sortant de l'école. Et la fête continue. Inventaire. L'orgue de Barbarie. La demoiselle de bas étage. La fête. La pêche à la baleine. Le cauchemar du chauffeur de taxi. Le gardien de phare. Le miroir brisé. Vas-y papa. La belle Arabelle. Au bal des gens de maison. Des souris et des chats. Dolly 25. Enfance. Eugenie de Beaulieu. Faut tout ça. La femme du monde. Le poinçonneur des Lilas. CD : 4 Le tango interminable des perceurs de coffres-forts. Shah shah shah persan. Chanson mécanisée. L'homme-sandwich. La marquise a dit. La vierge éponine. Le petit homard. Les bonnes. Les catcheurs. Petite fable sans morgue complainte des petits cabinets. Stanislas. Le concours Lépine. Adelaïde. La rue des blancs-manteaux. Le moucheur de chandelles. Le twist agricole. Les barbouzes. Les don Juan. Un amour en Italie. Le corbeau et le renard. CD : 5 Les quatre jupons. Fleur d'atelier. Le moineau de Paris. Tu finiras sur les planches. Béton armé. L'étrange concert. Marie scandale. Ah si mon moine voulait danser. C'est ça l'rugby. C'que c'est beau la photographie. Chanson sans calcium. La fontaine profonde. La lune est morte. Le fric. Le loup de mer. Mon père y m'a marié. Nos quatre cents coups. La confiture. La ceinture. La chasse aux papillons

Résumé : Vingt ans après avoir réalisé un premier film sur François Bourgeon, l’un des auteurs majeurs de la bande dessinée française, le réalisateur, Christian Lejalé lui consacre un nouveau documentaire, plus riche, un portrait passionnant…L’artiste vit en Bretagne, en accord avec la nature environnante ; au cours de leurs rencontres, il parle de sa façon de travailler, des ses sources d’inspiration ; il raconte comment il crée et anime ses personnages. Les rapports que le dessinateur noue avec eux se rapprochent étroitement de la création littéraire : ainsi, son imaginaire les projette-t-ils dans le réel ou inversement se nourrit de celui-ci.La première partie est située en 1985. François Bourgeon est à la fois scénariste et dessinateur. "Les Passagers du vent", sa première série, signée en solitaire allie un graphisme remarquable à un récit à la fois populaire et très documenté avec de multiples références historiques. « Je n’ai pas envie de faire un beau dessin mais que le dessin raconte » dit-il. Il veut rendre l’Histoire attrayante et préfère les personnages féminins : il invente donc celui de la belle Isa, héroïne de cet album, aux aventures maritimes et rocambolesques se déroulant au dix-huitième siècle. D’un coup de crayon, François Bourgeon ébauche un mouvement, esquisse une scène ; avec les couleurs, il recrée une atmosphère. Le film fait alterner des images poétiques de ciels bretons tourmentés, de vagues océanes, de plages infinies avec des planches d’album. Dans la deuxième partie, vingt ans plus tard, nous retrouvons l’artiste au travail, dans son atelier, avec les cheveux gris…Il retrace son parcours professionnel, aborde avec une plus grande précision la gestation des "Passagers du vent". Il lit des centaines d’ouvrages, se documente au Musée de la Marine, fabrique une maquette de bateau, prend des photographies. Il est minutieux dans le moindre détail. Aimant le Moyen-âge, monde d’images, il fera une série sur la Guerre de Cent ans. Avec "Le Cycle de Cyann" réalisé en collaboration avec Claude Lacroix, F. Bourgeon crée un univers totalement fictif. Singulier, le dessinateur a élaboré une œuvre puissante et originale. En outre, l’écriture du film s’accorde parfaitement avec l’art et l’imaginaire de Christian Bourgeon.

Résumé : Les Presses Universitaires de France et Frémeaux & Associés proposent cette biographie de François Premier, analysée et expliquée par Pascal Brioist, professeur des universités, spécialiste de l’histoire intellectuelle et scientifique de la Renaissance. L’évocation de François Ier éveille en nous les souvenirs scolaires des portraits de Clouet ou du Titien, de la bataille de Marignan ou du séjour de Léonard de Vinci au Clos Lucé. Mais au-delà des images convenues, qui était précisément ce roi mécène ? Quelles furent ses entreprises politiques ? Pascal Brioist détaille par le menu la biographie du grand homme, son éducation, sa formation, ses pratiques du pouvoir et son inclination pour les arts. Un destin qui prend forme sur fond de construction nationale (l’unification linguistique de la France), d’évènements européens (les guerres d’Italie, les débuts de la Réforme, la rivalité avec les Habsbourg) et d’histoire mondiale (la course au Nouveau Monde).

Résumé : En un récit tendu qui agit comme un véritable compte à rebours, Brigitte Giraud tente de comprendre ce qui a conduit à l'accident de moto qui a coûté la vie à son mari le 22 juin 1999. Vingt ans après, elle fait pour ainsi dire le tour du propriétaire et sonde une dernière fois les questions restées sans réponse. Hasard, destin, coïncidences ? Elle revient sur ces journées qui s'étaient emballées en une suite de dérèglements imprévisibles jusqu'à produire l'inéluctable. À ce point électrisé par la perspective du déménagement, à ce point pressé de commencer les travaux de rénovation, le couple en avait oublié que vivre était dangereux

Contenu : CD1 : Embrasse-moi / Florelle (1934). La chasse à l'enfant / Marianne Oswald (1936). Toute seule / Marianne Oswald (1936). La grasse matinée / Marianne Oswald (1937). Les bruits de la nuit / Marianne Oswald (1937). Familiale / Gilles & Julien (1937). Embrasse-moi / Edith Piaf (1940). Deux escargots vont à l'enterrement / Lys Gauty (1941). Tu étais le plus belle Tino Rossi (1941). Démons et merveilles - deux ballades mediévales /Jacques Jansen (1943). Le tendre et dangereux visage de l'amour / Jacques Jansen (1943). Les visiteurs du soir : Complainte de Gilles / Jacques Jansen (1943). Les portes de la nuit : Les feuilles mortes / Cora Vaucaire (1948). Deux escargots vont à l'enterrement / Cora Vaucaire (1953). Les enfants qui s'aiment / Yves Montand (1949). Les cireurs de souliers de Broadway / Yves Montand (1949). Les portes de la nuit : Les feuilles mortes / Yves Montand (1949). Et la fête continue / Yves Montand (1949). Le gardien de phare aime trop les oiseaux / Les Frères Jacques (1949). Le miroir brisé / Les Frères Jacques (1949). Et la fête continue / Les Frères Jacques (1949). En sortant de l'école / Les Frères Jacques (1949). L'orgue de Barbarie / Les Frères Jacques (1949). Barbara / Les Frères Jacques (1949). Inventaire / Les Frères Jacques (1949). Embrasse-moi / Marianne Oswald (1936). Barbara / Yves Montand (1949). Les peintres, la pomme et Picasso / Yves Montand (1949).. CD2 : Deux escargots s'en vont à l'enterrement / Les Frères Jacques (1950). La pêche à la baleine / Les Frères Jacques (1950). Quelqu'un / Les Frères Jacques (1950). Compagnons des mauvais jours / Les Frères Jacques (1950). Tournesol / Les Frères Jacques (1950). En sortant de l'école / Germaine Montero (1950). Les enfants qui s'aiment / Germaine Montero (1950). Chanson pour les enfants l'hiver / Germaine Montero (1950). Et la fête continue / Germaine Montero (1950). Et puis après / Germaine Montero (1950). Chanson des enfants d'Aubervilliers / Claire Leclerc (1950). Autumn leaves / Edith Piaf (1950). Les enfants qui s'aiment / Tino Rossi (1950). Barbara / Mouloudji (1951). La belle vie / Juliette Gréco (1951). Embrasse-moi / Juliette Gréco (1951). Je suis comme je suis / Juliette Gréco (1951). A la belle étoile / Juliette Gréco (1951). Les enfants qui s'aiment / Juliette Gréco (1951). Les portes de la nuit : Les feuilles mortes / Juliette Gréco (1951). La pêche à la baleine / Agnès Capri (1952). Le ruisseau / Germaine Montero (1952). On frappe Germaine Montero (1952). Adrien / Germaine Montero (1952). L'addition / Fabien Loris (1952). Coeur de docker / Fabien Loris (1953). Autumn leaves / Jo Strafford(1950).. CD3 : Quand tu dors / Cora Vaucaire (1953). La chanson des geôliers / Cora Vaucaire (1953). Cet amour / Cora Vaucaire (1953). Le noël des ramasseurs de neige / Eric Amado (1953). Barbara / Eric Amado (1953). Immense et rouge / Eric Amado (1953). Page d'écriture / Les Frères Jacques (1953). Sanguine / Yves Montand (1954). Pour toi mon amour / Moune De Rivel (1954). Chanson de l'oiseleur / Denise Benoît (1954). Fable / Denise Benoît (1954). Page d'écriture / Denise Benoît (1954). Paris at night / André Dassary (1955). Chanson de la lune. Les animaux ont des ennuis. Pour faire le portrait d'un oiseau. Fable. Plan de Paris. Rue de Seine. Simple comme bonjour. L'amour qui m'a faite. Voulez-vous danser avec moi ?. Coeur de rubis. Cri du coeur. Tumbleweed. Chanson. Déjeuner du matin. La chanson de Prévert

Résumé : Qu’est-ce que l’art ? Comment s’est-il constitué et défini à travers l’histoire ? Quels rapports entretient-il avec la philosophie ? Pour la première fois, l’éditeur de savoir les Presses Universitaires de France et la maison de disques culturels de référence Frémeaux & Associés s’associent pour proposer des cours particuliers sur l’histoire philosophique des arts et des discours sur l’art, conçus et présentés par Carole Talon-Hugon, spécialiste française de l’approche philosophique de l’histoire de l’art.

Contenu : CD1 Du Mali à Madagascar : Mali : N'doondo / Garbaare. Burkina Faso : Binkontina (danse des grands initiés partie 1). Sénégal : Yenniljio (chant de mariage). Bénin : Irikpe wanreyou. Niger : Chant destiné au maïdawa. Cameroun : Zavan (Mil mûr). Gabon : Chant du culte du Bwiti Dissumba. Centrafrique : Divito (chant de Pygmés Aka). République démocratique du Congo : Viki. Tanzanie : Cimdolobwa. Kenya : La femme abadonnée. Burundi : Chant à voix chuchotée et cithare inanga. Zimbabwe : Muroro (musique rituelle shona). Ile de la Réunion : Dimanche grand matin / Viry. Madagascar : Raha misy potraka = Si quelque'un tombe.. CD2 Du Maroc à la Mongolie : Maroc : Dhikr / Confrérie des Aïssawa. Algérie : Khlaç / Fergani. Egypte : Taqsîm qânûn-layâlî-mawwâl / Aïcha Redouane. Machreq : Si son nom est cité (Fa in dhukirat) / Aïcha Redouane. Arabie Saoudite : Ayyuhâ al-zabyu ma'sûl al-lamâ (Ô gazelle à la salive de miel) / Mohammed Amân. Yémen : Huma al-hobb fa-slam bi-l-hashâ / Mohammed Isma'Il Al-Khamisi. Irak : Taqsîm en maqâm Awj / Munir Bashir. Turquie : Dem Nefesi (cérémonie de Djem Bektashi). Turquie : Uç güzel oturmus (Makam eviç) / Talip Ozkan. Azerbaïdjan : Däramäd, Bardasht, Maye / Alim Qasimov. Azerbaïdjan : Goycha golu / Edalat Nasibov, luth, saz. Iran : Bayât-e 'Ajam, tahrir-e bahr-e nur, Qaratch, Ravani, tahrir-e Mobarqa' / Mozafar Shafil. Ouzbekistan : Zikr (chants spirituels et soufis). Ouzbekistan : Aylading / Monajat Yultchieva. Tadjikistan : Biraqsam / Abduvali Abdurashidov, sato. Chine : Nuskhä märghul - muqam Nava (musique ouïghoure) / Abdukerim Osman Chimani et son ensemble. Mongolie : Uyahan Zambuu -Tiviin Naran.. CD3 Pakistan - Inde - Bangladesh : Pakistan : Manaqib Khawaja Mueenuddin Chishti (Louange au maître des maîtres) / Nusrat Fateh Ali Khan. Inde du Nord : Man pasand (dhun) / Ravi Shankar. Inde du Nord : Maalaniya Bandhanavara (Raga Darbari kanhada, drut tîntal) / Lalith Rao. Inde du Nord : Raga Marwa - Alap / Kushal Das. Inde du Nord : Raga Desh - Dhamar / Partho Sarothy, Prabhu Edouard. Inde du Nord : Raga Madhuvanti - Jhaptal / Ram Narayan, sarangi. Inde du sud : Kriti Paramatmudu (Raga Vagadhiswari, Tala Adi) / Aruna Sairam. Bangladesh : Pare loye jao amay / Farida Parveen.. CD4 Du Laos au Japon : Laos : Khangdeuk / Nouthong Phimvilayphone, orgue à bouche khène. Viêt-nam : Dao ngu cung / Ensemble Nguyen Vinh Bao. Indonésie - Java : Ujung Laut, gamelan degung et flûte. Indonésie - Java : Pangapungan, pamapag ibu, badud rengkong (extrait). Indonésie - Bali : Candra kanta. Tibet : Libation dorée. Chine : Dao yi (battre les vêtements). Chine : Xigong ci (poème du Palais de l'Ouest) / Chen Zhong. Corée : Ilgagi. Corée : Jajinmori (chant lyrique Gagok) / Kim Hae-Sook. Japon : Gion shôja. Japon-Okinawa : Ashibi shongane bushi.. CD5 De la Norvège à l'Espagne : Norvège : Sorg aldri du min pike / Kristin Gulbrandsen. Norvège : Halling etter Gabriel Reed (violon). Suède : A moll polska de Rödön. Suède : Polska efter Janne Martensson. Russie : Tel tu étais... / Svetlana. Estonie : Jaani, Jaani Jaanokene (chant seto). Irlande : The moutain road, old concertina reel / Frankie Gavin, violon, flûte. Chanson yiddish : Hulyet. République tchèque : Dolû Ublem. Slovaquie : Valaské spod Pol'any (chant de berger). Hongrie : Harmas tancdal. Géorgie : Adilei (chant de voyage). Suisse : Yodel naturel - Höimaitli. Albanie : Dale himariote dale !. Grèce : Se kainourgia varka mpika / En Chordais. Crète : Quatre versions de l'Erotokritos. Italie (Sardaigne) : Disisperada / Demuru. Italie (Sicile) : Tarantella. France (Centre-Bretagne) : Jean-Louis ha Marivon / Erik Marchand, Thierry Robin. France (Pays Basque) : Mendiaren deia. France (Pays Basque) : Txorittua noat hoa ?. France (Corse) : Terzetti Rusinchi. France (Corse) : Cerca. Portugal (Coimbra) : Fado das andorinhas. Espagne : U (València, "Cant d'Estil"). Espagne : Tangos / Fernanda et Bernarda de Utrera, chant.. CD6 Des Etats-Unis à l'Argentine : Etats-Unis : Don't let the devil ride / Flora Molton, chanteuse évangélique. Mexique : Las dos Huastecas. Honduras : Dügü. Cuba : El misterio de tus ojos / Familia Valera Miranda. Cuba : Francisquito. France (Martinique) : Séramik épi potri. France (Guadeloupe) : Pantalon - Jardin (quadrille). Venezuela : Sangueo. Venezuela : El diablo suelto. Venezuela : Zumba que zumba. Colombie : Matilde Lina. Colombie : Marili. Colombie : La que se pega / Sixto Silgado Paito. Brésil : Tikankginghü. Brésil : Uakamimbütaka. Paraguay : Wyrakamyta mi. Bolivie : Aiwisku. Pérou : Color color Punchituchay / Julio Benavente Diaz. Argentine : Mi Buenos Aires querido / Haydée Alba. Argentine : Canto a mi terruno (musique de Corrientes).

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