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Contenu : À bout de souffle : La mort. À bout de souffle : New York herald tribune. À bout de souffle : duo. Une femme est une femme : Angela, Strasbourg Saint Denis. Une femme est une femme : Chanson d'Angela / par Anna Karina. Vivre sa vie : Vivre sa vie. Le mépris : Ouverture. Le mépris : Camille. Le mépris : Générique. Les plus belles escroqueries du monde : Ballade pour un escroc. Alphaville : Valse triste. Alphaville : Thème d'amour. Pierrot le fou : Mic et mac. Pierrot le fou : Ferdinand. Pierrot le fou : Pierrot. Pierrot le fou : Ma ligne de chance / par Anna Karina. Le plus vieux métier du monde : Anticipation. Week end : Elle et lui. La chinoise : Mao mao / par Claude Channes. Sauve qui peut (la vie) : Le commerce. Sauve qui peut (la vie) : L'imaginaire. Ferdinand (titre bonus) / par Sporto Kantès

Résumé : "La réalisatrice Jacqueline Caux nous invite ici à un voyage initiatique qui remonte aux sources de la musique noire américaine et dresse un portrait humaniste de la ville de Detroit. Traversant, aux côté de Carl Craig, la ville de part en part au son de la musique d’Underground Resistance et de Juan Atkins, elle visite studios, clubs, églises, ateliers, immeubles abandonnés et terrains en friche, tout en évoquant ses racines blues et gospel, les événements sociaux et politiques qui ont marqué son histoire, sans oublier la grande époque du label Motown et bien sûr la naissance de la techno moderne.Une visite guidée par la voix de deux légendes de la ville, celle de Mad Mike, fondateur d’UR qui, fidèle à sa légende, apparaît en ombre chinoise. Et puis surtout celle du charismatique Charles Johnson, mieux connu sous le nom de The Electrifying Mojo, un animateur radio des années 1970 et 80 qui a initié tous les futurs pionniers techno de Detroit, à la musique électronique." texte J. Y. Leloup et J. Ghosn

Résumé : Montages d'archives sonores et d'archives filmées, d'extraits de films ("Le Testament d'Orphée", "La Villa Santo Sospir", "La Belle et la Bête"," Le Sang d'un poète"), à la quête de Jean Cocteau, du poète, du peintre, de l'homme de théâtre et de cinéma, du baladin à la fois public et secret. Diaghilev, Nijinsky, Stravinsky, Picasso, Erik Satie, Jean Renoir, Coco Chanel, Jean Marais, Yul Brynner, Daniel Gélin, Radiguet, la galerie de portraits des fidèles amis et compagnons de route ; l'exposition des dessins et fresques murales : l'énorme travail du montage d'Edgardo Cozarinsky vise moins à montrer les multiples faces de la personnalité de Jean Cocteau qu'à trouver par synthèse et réduction, un dénominateur commun, une expression commune, qui correspondrait au personnage mystérieux, à la force mystérieuse qui, selon Cocteau, habite le poète quand il écrit. Ce faisant, Edgardo Cozarinsky reprend à son compte le propos de Jean Cocteau lorsqu'il réalise "La villa Santo Sospir" : "Ce film sera une espèce d'ombre chinoise de ma vie... J'ai décidé de m'enfoncer en moi-même, dans ce trou terrible". Cozarinsky fait le pari que cette vérité de l'homme se trouve non pas dans une extension infinie de l'enregistrement audiovisuel, dans un défilement continu du film, mais entre les images déjà filmées, entre les paroles déjà enregistrées, entre les dessins, les peintures et les extraits de films, entre les souvenirs, qu'il suffit de rapprocher. Dans le dédale de cette vie extrêmement riche, Jean Cocteau nous guide, entre le rêve et la réalité, comme à travers un labyrinthe de glaces aux miroirs anamorphosants et brisés... D'un miroir à l'autre, il nous ouvre littéralement les portes de son monde, un monde entièrement redessiné et recomposé par lui, dont peintures, films et mythologie fixent les règles et les proportions.

Résumé : Transition énergétique, dérèglement climatique, finitude des ressources, sobriété ... Quels choix industriels ? Il y a aujourd?hui une nécessité absolue de transition énergétique, de production décarbonée et de prise en compte de la finitude des ressources indispensables à nos convertisseurs d?énergie, dans un contexte de dépendance de nos sociétés. En outre, nous devrons l?accomplir sous la pression d?accidents climatiques récurrents, de disparition accélérée de la biodiversité et de risques d?effondrements. Au terme de tout un parcours, interrogeant le rôle de la consommation d?énergie dans l?histoire, du paléolithique à la révolution industrielle en passant par les Grecs, pour en arriver à nos sociétés contemporaines, on constate que nous avons le choix entre des dispositifs industriels lourds en matériaux, écologiquement couteux. Nous devrons ainsi apprendre à conjuguer bien-être et sobriété. Pour faire nation et planète, il nous faut encore réapprendre à coopérer afin de conserver ces biens communs que sont le climat, la biodiversité et les ressources qui permettent à la vie de s?épanouir. Claude Colombini Frémeaux & Patrick Frémeaux

Résumé : En 1964, le jury de la Biennale de Venise décerna pour la première fois son Grand Prix à un artiste américain, Robert Rauschenberg. Une initiative que l'on interpréta communément comme une reconnaissance définitive de la migration de la scène artistique mondiale, de Paris vers New York. Néanmoins, s'il est indéniable qu'à partir des années soixante les artistes d'Outre-Atlantique triomphèrent, les créateurs européens ne furent pas en reste. Pour preuve, la pléthore de mouvements dont ils se révélèrent aux fondements : le Nouveau Réalisme, l'Abstraction lyrique, la Figuration narrative, la Nouvelle Figuration... Dix-neuf artistes majeurs, d'Adami à Zao Wou-Ki, en passant par Arman, Buren, Corneille ou Combas, témoignent ici pour nous et élucident le sens de leurs pratiques respectives. Réalisé à partir du fonds de l'Encyclopédie audiovisuelle de l'art contemporain (Imago), Michel Onfray a souhaité que la Galerie et les Éditions Frémeaux & Associés éditent ce document sonore incontournable sur l'histoire de l'art contemporain

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