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Résumé : Le cinéma Saint-André-des-Arts ouvre les portes de ses deux salles le 27 octobre 1971 au coeur du Quartier latin, sous l'impulsion de Roger Diamantis. L'auteur retrace le parcours de cet ancien restaurateur devenu la figure combative des exploitants indépendants malmenés par la puissance des grands circuits et du système de distribution des films. ©Electre 2021

Résumé : La société Potemkine a développé une approche visionnaire du DVD en faisant cohabiter dans son catalogue des réalisateurs de divers horizons tels qu'A. Tarkovski, L. Von Trier ou N. Roeg. En se fondant sur des propos d'acteurs de l'édition indépendante en France et de cinéastes, l'auteur interroge le lien entre cinéphile, mémoire et objet, tout en questionnant la tradition onirique au cinéma. ©Electre 2020

Résumé : Dossier consacré au cinéaste américain indépendant Lionel Rogosin (1924-2000). De On the Bowery (1955-1956), consacré à un bas quartier de New York, à Arab Israeli dialogue (1973), qui fait dialoguer un intellectuel palestinien et un intellectuel israélien en passant par Come back, Africa (1959), sur l'apartheid en Afrique du Sud, ses films témoignent d'un fort engagement personnel. ©Electre 2018

Résumé : L'auteur regroupe ici ses réflexions, notes, entretiens, correspondances... avec des personnalités des arts ou amis journalistes. Tous rappellent spectacles et expositions des cinquante dernières années. Il présente aussi "Positif" ou "Premier plan", les ciné-clubs, les congrès internationaux du cinéma indépendant, etc., ainsi que la Fondation nationale de la photographie. Quelques conclusions désabusées s'imposent d'elles-mêmes. Ainsi se dessine un autoportrait de l'auteur confronté à ces institutions de la vie culturelle.

Résumé : Né en octobre 1890 dans le Périgord, Louis Delluc, inventeur du premier ciné-club, éditeur du "Journal du ciné-club" et de "Cinéa", marque le cinéma français avec sept films, dont La femme de nulle part, Fièvre et L'inondation, son dernier. L'avant-garde des années 20, d'Abel Gance à René Char, lui doit beaucoup. Il meurt de tuberculose en mars 1924.

Résumé : Une visite au domicile de Stephen Dwoskin, cinéaste indépendant américain né en 1939, installé à Londres, auteur d’une œuvre prolifique débutée en 1961. Cinéma "personnel" plus qu’expérimental dont il retrace la genèse : tenu à l’écart par la maladie qui invalide ses jambes, Stephen Dwoskin interroge le rapport à l’autre à travers l’œil de la caméra, instrument d’un échange amoureux entre le cinéaste et son modèle.La question de savoir si le handicap de Stephen Dwoskin détermine sa vision d’artiste pourrait être balayée au nom d’une empathie condescendante, jugeant que "cela n’a pas d’importance". La chaise roulante vaut certes comme métaphore de la différence de l’artiste, comme les ailes de l’albatros pour Baudelaire. Mais c’est bien à partir de cette position dans le monde que s’est constituée l’œuvre qui est la sienne, c’est à partir de ce point de vue "hors du monde" et désirant le monde (et, au sein du monde, les femmes) que se composent ses films. De cette distance et de ce désir exacerbés naît une observation minutieuse des formes de l’affectivité. Le spectateur fait alors l’expérience sensible de ce que son regard, par pudeur, ne saurait soutenir et que la caméra enregistre : sur le visage du modèle passent mille nuances, variant de l’abandon à la crainte, du désir à l’inquiétude. Revient alors à la surface, chez celui qui regarde, le souvenir partagé de sentiments imperçus.

Résumé : Le cinéaste français, spécialisé dans les films fantastiques et la comédie horrifique, retrace son parcours. Ses réalisations (une dizaine de longs métrages, des fictions sur Internet, des documentaires, des publicités, des clips, etc.) se démarquent par la technique du "direct to video", consistant à filmer directement en vidéo, par leur petit budget et par leur production indépendante. ©Electre 2015

Résumé : Une analyse de l'oeuvre cinématographique à destination des élèves de terminale L préparant l'option cinéma au baccalauréat. Parmi les thèmes abordés : le jeu des motifs culturels universels, le langage visuel ainsi que les singularités du cinéma indépendant. ©Electre 2019

Résumé : L'auteure replace les premiers documentaires indépendants chinois dans la continuité des oeuvres et des théories qui les ont générés. Elle montre comment, en seulement deux décennies, les cinéastes indépendants ont bâti non seulement un corpus de films conséquent mais également des espaces et des modes de partage spécifiques. Elle analyse la diversité des styles au sein de ce mouvement. ©Electre 2015

Résumé : Does Hong Kong have a significant tradition in documentary filmmaking? Until recently, many film scholars believed not. Yet, when Ian Aitken and Michael Ingham challenged this assumption, they discovered a rich cinematic tradition, dating back to the 1890s. Under-researched and often forgotten, documentary film-making in Hong Kong includes a thriving independent documentary film movement, a large archive of documentaries made by the colonial film units, and a number of classic British Official Films. Case studies from all three categories are examined in this book, including The battle of Shanghai, The sea and the sky, Rising sun, The Hong Kong case, In-depth discussion and analysis of more recent Hong Kong independent documentaries focuses on works such as Cheung King-wai's KJ: A life in Music and films by Tammy Cheung and Evans Chan. With a particular focus on how these films address the historico-political dimension of their time, this book introduces students and scholars to this fascinating and largely unexplored cinematic tradition. (4è de couv.)

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