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Résumé : Les zones bleues désignent les lieux où le nombre de nonagénaires et de centenaires en excellente santé est élevé. Les auteurs ont enquêté dans ces endroits particuliers pour découvrir les secrets de la longévité, de la Sardaigne au Costa Rica en passant par la Grèce et le Japon. Ouvrage conçu à partir de la série de documentaires diffusés sur France 5. ©Electre 2019

Résumé : Un essai sur la confrontation à la mort et à la souffrance dans une société qui a tendance à mettre ces notions à distance, à les oublier. Partant de son expérience, le sociologue dénonce un monde aseptisé et dévoile sa vérité abrupte sur la condition des mortels. ©Electre 2017

Résumé : Médecin légiste et anthropologue, l'auteur livre les résultats de recherches menées en Haïti auprès de sorciers vaudou et de fidèles pour tenter de définir à quoi correspondent les personnes considérées comme des zombis, ainsi que leur rôle social, moral et politique. ©Electre 2023

Résumé : Un virus transforme la population européenne en zombies, jetant des milliers de personnes sur les routes, morts comme vivants. A Paris, Charles est garde du corps du président. Il est en plein dilemme avec sa fonction car il doit choisir entre sauver sa vie ou celle d'un homme qui ne mérite pas son titre de chef d'Etat.

Résumé : Le parcours de Z. Gbeuly, fin tacticien, figure de l'opposition à la colonisation, adepte de l'action commune et défenseur de l'égalité entre les hommes. Déporté en 1911, il meurt en exil à Zuenoula en 1912. Après avoir retracé le contexte historique, les auteurs évoquent son influence, son héritage et ses qualités morales avant de dresser le bilan politique de son oeuvre. ©Electre 2020

Résumé : Depuis près de trente ans, Zoe Leonard jouit d’une reconnaissance internationale pour son œuvre qui, ancrée dans la photographie, prend également la forme d’installations et de sculptures. Son travail est avant tout le fruit d’une démarche d’observation dans laquelle se conjuguent une conception documentaire de la photographie et l’acte physique, corporel, du regard. Les migrations et les déplacements, le genre et la sexualité, le deuil et la perte, l’histoire culturelle ou encore les tensions entre monde naturel et environnement construit sont autant de thèmes récurrents dans son œuvre. L’exposition au Mudam présente pour la première fois Al río / To the River, un vaste projet photographique initié en 2016 qui a pour sujet le Rio Grande (le nom du fleuve aux États Unis) ou Río Bravo (son nom mexicain). Plusieurs années durant, l’artiste a photographié le fleuve le long des 2 000 kilomètres où il marque la frontière entre les États-Unis mexicains et les États-Unis d’Amérique, suivant son cours depuis les villes frontalières de Ciudad Juárez au Mexique et d’El Paso au Texas jusqu’au golfe du Mexique. Œuvre épique de par son envergure, Al río / To the River est le fruit d’une observation attentive de l’environnement bâti et naturel du fleuve, de ses paysages désertiques et montagneux jusqu’aux villes et villages qui le bordent, où la vie quotidienne se déroule en parallèle des activités liées à l’agriculture, au commerce, à l’industrie, et à la surveillance de la frontière. Les photographies de Zoe Leonard se concentrent notamment sur l’accumulation des infrastructures aménagées le long du fleuve pour contrôler le débit de l’eau et réguler le passage des marchandises et la circulation des personnes : barrages, digues, routes, canaux d’irrigation, ponts, pipelines, clôtures, postes de contrôle.« La nature changeante du fleuve – qui déborde périodiquement, change de cours et creuse de nouveaux sillons –, va à l’encontre de la fonction politique qu’il est censé remplir », commente l’artiste. Al río / To the River est structurée en trois parties, dont un Prologue et une Coda. Chacune d’entre elles engage une réflexion sur le langage photographique, passant, de manière fluide, de l’abstraction à l’image documentaire, puis aux images numériques de caméras de surveillance. Travaillant avec un appareil argentique tenu à la main, Zoe Leonard assume une position physique par rapport au fleuve. Bien que toujours subjectif, le regard qu’elle porte sur lui n’est jamais figé. Passant fréquemment d’un côté à l’autre du cours d’eau (et donc d’un pays à l’autre), l’artiste évite d’adopter un point de vue unilatéral au profit d’une suite de perspectives mobiles et changeantes. Dans Al río / To the River, Zoe Leonard va à l’encontre des images réductrices de la frontière véhiculées par les médias. Elle rend au contraire tangible la multiplicité des forces et des influences qui traversent le fleuve, qu’il s’agisse des intérêts commerciaux et industriels, des histoires culturelles, ou des liens familiaux qui se tissent par-delà la frontière. Elle s’intéresse aussi aux animaux et aux plantes de la région, qui subissent une pression accrue en raison de la sécheresse et du changement climatique, mais aussi des conceptions humaines souvent contradictoires appréhendant le fleuve tout à la fois comme un cours d’eau « sauvage et pittoresque », un réservoir d’eau et une frontière politique.

Résumé : Un ouvrage richement illustré consacré à l'art historique des trois principales cultures du Zimbabwe, shona, ndebele et tonga. L'auteur revient sur mille ans d'histoire du symbolisme dans le pays et explique en quoi l'art fait partie intégrante de la vie de ses habitants, se retrouvant dans les objets sacrés et fonctionnels, la mode, les gestes personnels ou les événements ordinaires. ©Electre 2020

Résumé : Inspirée par le tour du monde en vélo de l'auteur, une réflexion sur l'universalité de la bicyclette comme mode de transport mais également en tant que sport, outil de voyage ou de commerce. ©Electre 2017

Résumé : Cet artiste, l'un des plus illustres représentants de l'abstraction, puise son inspiration dans les paysages et les techniques traditionnelles de la Chine, la poétique et l'ambition plastique de l'Occident (l'autre monde du peintre), ses travaux personnels réalisés pour des amis poètes.

Résumé : Eclairage sur cette expérience qui fut l'une des plus surprenantes de l'histoire du cinéma français. Réalisés autour de mai 1968 par un groupe d'une douzaine de personnes dirigé par Philippe Garrel, les films Zanzibar sont l'expression d'une innocence sauvage qui frappe par sa violence et sa lucidité.

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