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  •    Sujet : politique de la littérature
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Résumé : Ce volume témoigne des relations du poétique au politique et des mutations que la poésie a connues au cours des 20 dernières années. Divers auteurs, parmi lesquels C. Hanna, H. Jallon ou encore M. Joseph, ont été amenés à interroger leur propre pratique, les dispositifs mis en place, les matériaux discursifs avec lesquels ils travaillent ainsi que les enjeux qui sous-tendent leur activité.

Résumé : Cet ouvrage critique analyse les rapports entre roman et politique, à travers plusieurs axes : l'auteur (engagement, censure), le lecteur (réception, traduction), les sous-genres romanesques (roman historique, roman d'éducation), l'histoire, etc.

Résumé : Consacrées à l'interprétation politique des oeuvres littéraires, ces études font l'inventaire de ce chantier, avec ses lumières, les esthétiques résistantes d'Adorno, Lukacs ou Sartre, et ses ombres, telles les appropriations fascistes de la tradition ou la panthéonisation de certains auteurs. Elles montrent que le potentiel politique des oeuvres n'est pas en contradiction avec leur autonomie.

Résumé : Issues d'une réflexion amorcée par le colloque de Lyon en mai 2010, ces études se penchent sur le rôle joué par la littérature du XXe siècle face au langage politique, aux idées reçues et aux discours totalitaires. Une analyse de la littérature comme lieu de la libre expression, de la subversion face au discours idéologique.

Résumé : En proclamant les romanciers du monde entier "citoyens de la nation nommée Roman", C. Fuentes dit la volonté, commune à tant d'écrivains depuis 1960, d'en finir avec les définitions nationales de la littérature. L'universel en littérature est ici questionné : s'il est un projet, ce sont pourtant les remous des histoires nationales qui modèlent ces romanciers écrivant contre elles.

Résumé : Cet ouvrage propose de donner une définition du XVIIe siècle dans la littérature en lui attribuant l'adjectif de classico-baroque. Ainsi, la littérature s'inscrit comme une activité civile propre à interroger et à symboliser les déchirures, à transcrire les actes et les passions intraitables. Corneille, La Rochefoucauld, Retz sont ici interrogés de différents points de vue.

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