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Résumé : Aujourd'hui reconnu comme l'un des grands compositeurs de musique de film ("37,2 le matin", "l'Amant", "le Patient anglais"...) Gabriel Yared a connu un parcours atypique. il parle dans ce documentaire de son enfance au Liban, de l'influence de ses séjours au Brésil, de son travail d'orchestrateur pour toutes les vedettes des années 1970 (Françoise Hardy, Sylvie Vartan...). C'est Jean-Luc Godard qui le premier fera appel à lui pour la bande originale de l'un de ses films.

Résumé : "60 ans de carrière couronnée de succès, 200 musiques de films(Lawrence d'Arabie et Le Docteur Jivago de David Lean , Paris brûle-t-il ? de René Clément, Le Cercle des Poètes Disparus de Peter Weir, Le Tambour de Volker Schlöndorff ...) , 70 ans de théâtre… Des plus belles heures du Théâtre National Populaire aux Oscars de Lawrence d’Arabie ou de Docteur Jivago, Maurice Jarre est une légende du cinéma. Il nous convie à un entretien intime et privilégié au coeur de son univers créatif. Avec les témoignages de George Miller, Jean Rochefort, Omar Sharif, Peter Weir, Volker Schlöndorff, Jean-Pierre Mocky etc....

Résumé : Ce documentaire est un portrait surprenant de Gabriel Yared..compositeur de musique de film : 37,2 le matin, L'Amant, Le Patient anglais, Sauve qui peut la vie... Nous le suivons dans son travail comme dans son intimité, sur les lieux qui furent des sources d'inspiration pour sa musique..

Résumé : Le flûtiste Pierre-Yves Artaud fait répéter à ses élèves "Syrinx", de Claude Debussy, "Synchronie" et "Maya", de Yoshihisa Taïra, "Cassandra's dream song", de Brian Ferneyhough. Il joue enfin "Unity Capsule", autre oeuvre de Ferneyhough.

Résumé : La carrière menée par Svjatoslav Richter, l'impact qu'il a eu sur le public aussi bien que sur ses collègues sont irréductibles à tout modèle classique. Durant son enfance à Odessa il apprend seul la musique. il débarque à Moscou en 1937, dans la classe de Heinrich Neuhaus, l'un des pianistes les plus réputés de l'époque. Refusant de se plier à la discipline collective, Richter est à trois reprises chassé du conservatoire mais à chaque fois réadmis. Prokofiev le remarque et lui demande de jouer sous sa direction son cinquième concerto... A partir de cette date, Richter sillonne l'Union Soviétique, étoffant progressivement son répertoire. Pour des raisons peu claires, il n'est pas autorisé à se rendre à l'extérieur du bloc socialiste. En 1961, il se rend enfin à l'Ouest avec une série de huit récitals à Carnegie Hall, ses concerts font sur le monde musical l'effet d'un tremblement de terre. Il crée un festival en France en 1964, puis un autre à Moscou, mais disparaît aussi parfois pendant des mois. Depuis le début des années 80, il ne se produit plus qu'avec partition sur le pupitre dans des salles à peu près obscures. A près de soixante-quinze ans, il quitte Moscou en voiture au mois de juillet, pour n'y revenir que six mois plus tard. Entre-temps, il aura couvert le trajet jusqu'à Vladivostok et retour et donné cent cinquante concerts dans les villes et bourgades les plus reculées de la Sibérie.

Résumé : Dans ce film, le réalisateur utilise ses propres images d'archives (il a filmé le groupe depuis 1975), mais aussi des images d'actualité, images de télévision et extraits de la pièce "Richard III", dans un montage trépidant. Il retrace ainsi la carrière fulgurante (26 mois) de l'un des groupes les plus scandaleux de l'histoire de la scène Punk londonienne.

Résumé : Le film retrace la préparation et le concert exceptionnel du "King" au Las Vegas International Hotel en 1970

Résumé : Réunis dans ce film, les moments les plus exceptionnels de la carrière du guitariste, incluant ses apparitions aux festivals de Woodstock et de l'île de Wright. Témoignages de de Pete Towshend et Eric Clapton.

Résumé : Le concert mythique du Madison Square Garden agrémenté du portrait des musiciens. John Bonham, Jimmy Page Robert Plant et John Paul Jones ont imaginé des scènes de fiction pour illustrer certains passages du concert.

Résumé : "Initialement, nous avons pensé à trois épisodes. Après reflexion, nous décidâmes finalement de le structurer en quatre parties, dont l'une serait traitée à la manière d'un film de fiction plutôt que d'un documentaire. En d'autres termes, ce n'était pas tant la réalité brute que sa reconstruction qui nous intéressait. Pour le deuxième épisode, celui qui consistait à mettre en scène une séance d'enregistrement, nous allâmes même jusqu'à prévoir quelle fausse note Glenn devrait s'appliquer à faire dans la Bourrée de la première Suite anglaise de Bach, de façon à rendre plausible la séquence (...). En revanche, et contrairement à ce qui a été écrit ici ou là, nos dialogues seraient improvisés et totalement spontanés, tout en suivant une trame dramatique parfaitement précise." Bruno Monsaingeon

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