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Résumé : Beppie a 10 ans. Issue d'un milieu ouvrier, c'est une vraie gamine d'Amsterdam, drôle, pleine d'esprit. Spontanée, elle raconte pendant plusieurs mois ses aventures au cinéaste qui la suit dans sa vie quotidienne. vocation de la vie, de la mort, de la télévision, de l'amour, de l'argent...

Résumé : La caméra de Mariana Otero filme des moments de vie au Courtil, Institut Médico Pédagogique à la frontière franco-belge hors du commun, où depuis 1984, Alexandre Stevens, psychiatre et psychanalyste forme des intervenants et des cliniciens soucieux de la singularité subjective. L'accompagnement des enfants psychotiques se fait au jour le jour selon une éthique qui vise non à contraindre les enfants mais à aider chacun d'eux à trouver une place dans le monde et dans le langage en étant à chaque seconde à l'écoute de ce qui le constitue comme sujet. Cette éthique en action et en propositions essaie pour chacun d'eux de trouver des solutions particulières, singulières qui pourront aider Allysson, Amina, Evanne, Jean-Philippe, Mattéo... à vivre plus apaisés. S'intéressant aux enfants comme aux thérapeutes Mariana Otero, avec ce film qui semble progresser du tâtonnement vers une sorte de lumière, réussit à ouvrir une brèche dans l'énigme vivante qu'est chaque enfant psychotique et par là-même nous aide à comprendre un peu ce qu'est la folie.

Résumé : Une histoire du cinéma américain qui reflète l'itinéraire intellectuel d'un enfant de New-York, ébloui par le cinéma au point de devenir un réalisateur de premier plan. Il ne faut pas chercher ici une information précise sur les films, mais se laisser porter par le flot des images commentées par Marty de sa voix inimitable.

Résumé : L'écran est noir. Au son, une berceuse.Puis vient l'image : des enfants courant dans la forêt, passant un gué... une image ambiguë; est-ce encore un jeu ou juste une bande d'enfants rentrant chez eux après le travail? Car dans tout le reste du film, hormis la dernière séquence, qui montre une danse rituelle de masques, il ne sera question que d'enfants au travail. Où qu'on soit : à Guerrero,Nayarit,Oaxaca, Sinaloa, Puebla, Veracruz [Mexique]... Partout la scène est la même: des enfants qui emboîtent le pas aux adultes pour faucher le maïs, conduire le bétail au pré, récolter les poivrons, les tomates, les haricots dans les grandes plantations, porter le bois, sculpter des figurines pour le tourisme, semer, tisser avec la mère...Entre les adultes et les enfants, pas de différence, la charge de travail est la même. Quand Eugenio Polgovsky associe des adultes à des enfants, il ne reconstitue pas l'image d'une famille, il montre à tous les degrés de la vie un même asservissement au travail, à la lutte contre la faim et la misère, une destinée immuable. La petite fille aux genoux écorchés et la grand-mère brisée en deux qui moulent côte à côte des tortillas ne sont pas deux personnes distinctes, c'est la même personne à deux âges différents de son existence. Seul le moule a changé. La jolie berceuse du début résonne alors différemment : on comprend pourquoi cette mère ne tient pas à ce que son enfant se réveille. Ce serait sortir aussitôt de l'enfance. (Catalogue Cinéma du réel 2009)

Résumé : Quelle perception a un enfant aveugle de la réalité ? Johan van der Keuken a passé deux mois dans un institut spécialisé au Pays-Bas pour approcher ce mystère. "L'enfant aveugle" révèle un monde difficile à imaginer : la lutte continue de l'homme sans regard pour rester en contact avec la réalité. Pour rendre compte d'un tel handicap au quotidien, Johan van der Keuken trouve des équivalences formelles, soutenues par une bande son inventive. Une approche sensible qui refuse le pathos et nous reste en mémoire.

Résumé : Le film, dont le titre est emprunté à une comptine, présente des jeux traditionnels d'enfants anglais, en 1956.

Résumé : Le soir de son bal d'été, tout le village est au rendez-vous. De la tombée du jour à l'aube, la musique déploie ses rocks et ses tangos, ses slows et ses valses. La nuit révèle les couples de danseurs jeunes ou vieux, les amours naissantes, les timides, les buveurs, les bagarreurs, les enfants qui rient et courent partout...

Résumé : Jeux d'enfants et comptines en Grande-Bretagne, en 1951.

Résumé : Un petit garçon en vacances à la mer fait la connaissance d'une fillette invisible qui l'entraîne dans son monde. "Le parti-pris de départ est la possibilité qu'offre le cinéma d'animation de projeter une image à la fois objective et subjective, avec aisance. Je pense à l'archétype du personnage qui passe au-dessus d'un précipice et qui n'y tombe que parce qu'il s'en aperçoit. Ca, c'est l'âge d'or du dessin animé, celui des années 30, inventif et qui, en plus, faisait rire [...] Tout le monde a compris qu'il fallait faire ça. Mais seul le dessin animé peut le faire." (André Lindon, in Les Cahiers du cinéma, septembre 1985)

Résumé : Octobre 1998, Johan van der Keuken apprend que son cancer de la prostate ne lui laisse que quelques années à vivre. Caméra à l'épaule, il part en compagnie de sa femme pour un dernier voyage, dont il fera son dernier film. De Noël 1998 à l'été 1999, il sillonne les pistes du Mali, les contreforts himalayens du Bhoutan, les rues de Rio de Janeiro, les aéroports américains... Partout, il filme des êtres dans leur quotidien : le rituel des ablutions et la prière des bonzes ; la misère des favelas de Rio ; des Africains encore épargnés par la culture de la consommation qui corrompt le rapport au monde ; des enfants maliens défilant dans une innocence grave... Et puis un jour, à New York, l'espoir renaît : le médicament miracle existe...

Résumé : Commande de la Gaumont, pour ses 100 ans fêtés au Moma. Le film se compose d'extraits filmés par Godard qui se filme lui-même dans une sorte de journal intime avec une petite caméra DV comme celles utilisées alors par Lars von Trier. La neige au bord du Leman lance le film. Image forte de Godard enfant aux contrastes approfondis. Cette image répond à un article d'Alain Bergala, "Godard a-t-il été petit ?" s'interrogenat pour savoir si Godard avait eu une vie hors du cinéma à un moment où il n'existait aucune photo connue du cinéaste avant l'adolescence. Le film prend acte de la défaite de la civilisation et de l'Europe. Sarajevo rappelle à Godard la seconde guerre, vécue à dix ans et lui procure un sentiment proche d'une mélancolie de l'histoire. Pourtant rien de sombre, ni de mortuaire ici, malgré les apparences. Quelque chose de presque serein traverse même cet autoportrait peuplé de fantômes. JLG ouvre un livre puis un autre : Le crève-cœur d'Aragon, De la Certitude de Wittgenstein, La lettre sur les aveugles de Diderot-. Bandes-son de Rossellini, Rozier, Ray, Barnet. Dimension Shakespearienne "Kingdom of France", Heidegger avec Sein und Zeit. " Car il y a la règle et il y a l'exception. Il y a la culture qui est la règle, et il y l'exception, qui est de l'art. Tous disent la règle, ordinateur, T-shirts, télévision, personne ne dit l'exception, cela ne se dit pas. Cela s'écrit, Flaubert, Dostoïevski, cela se compose, Gershwin, Mozart, cela se peint, Cézanne, Vermeer, cela s'enregistre, Antonioni, Vigo. Ou cela se vit, et c'est alors l'art de vivre, Srebrenica, Mostar, Sarajevo. Il est de la règle de vouloir la mort de l'exception, il sera donc de la règle de l'Europe de la culture d'organiser la mort de l'art de vivre qui fleurit encore à nos pieds. Quand il faudra fermer le livre, ce sera sans regretter rien. J'ai vu tant de gens si mal vivre, et tant de gens mourir si bien."

Résumé : Deux de la vague est l'histoire d'une amitié. Jean-Luc Godard est né en 1930, François Truffaut deux ans plus tard, et ils se rencontrent par amour du cinéma. Ils écrivent dans les mêmes revues, Les Cahiers du cinéma et Arts. Quand le cadet devient cinéaste, avec Les Quatre Cents Coups, qui triomphent à Cannes en 1959, il aide son aîné à passer à la réalisation, lui offrant son scénario déjà intitulé A bout de souffle. Tout au long des années 1960, ils se serrent les coudes. C'est l'histoire et la politique qui les séparent, en 68 et après, quand Godard s'engage dans la révolution et Truffaut continue comme avant. Entre eux, Jean-Pierre Léaud est comme un enfant déchiré. Cette amitié et cette rupture forment un roman incarné du cinéma français.En revisitant les archives et les films des deux cinéastes, en feuilletant la presse contemporaine, Deux de la Vague fait revivre une prodigieuse décade dont l'influence allait irriguer le monde entier.

Résumé : La volonté de Mekas de réaliser et de montrer ce qui sera connu comme un "journal filmé" et sa décision de faire, tout seul, un film encore plus long qu'un long métrage sont un défi non seulement aux codes d'Hollywood mais aussi aux traditions corporatistes du cinéma aussi bien américain qu'européen. Walden est dédié à Lumière à l'innocence d'une première fois face au monde avec le cinématographe. Dans Walden, Mekas met en relief des personnalités importantes de la scène artistique new-yorkaise des années 60 mais il s'agit avant tout de mettre en avant un regard sur un lieu en se réclamant de la tradition poétique de Henry David Thoreau (1817-1862). Le poète philosophe publia Walden en 1854. Le livre oscille entre l'essai et le récit autobiographique d'une expérience mené par l'écrivain qui, pendant deux années a vécu retiré du monde dans une cabane qu'il a lui-même construite près de l'étang de Walden dans le Massachusetts.

Résumé : Magicienne des papiers découpés, l'Allemande Lotte Reiniger applique au dessin animé l'ancestrale technique des ombres chinoises. Pour ce long métrage, un des premiers de l'histoire du cinéma d'animation, elle puise son inspiration dans les contes pour enfants et la musique classique, donnant vie à des personnages et décors d'une exquise délicatesse.

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