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Livre

Peinture, pouvoir et mécénat : l'essor de l'artiste professionnel dans l'Italie de la Renaissance

Peintres et mécènes de la Renaissance italienne

Résumé

Retraçant l'histoire du mécénat, depuis les ordres mendiants et les cités-Etats, les familles de grands marchands, les princes et les ducs régnants, jusqu'aux papes Jules II, Pie II et Sixte IV, l'auteur nous emmène de Sienne à Florence, puis à Urbin, pour arriver aux grandes heures de la cour des pontifes romains et celle du duc Come de Médicis à Florence.


  • Contributeur(s)
  • Éditeur(s)
  • Date
    • 1997
  • Notes
    • Titre de couv. : "Peintres et mécènes de la Renaissance italienne"
    • Bibliogr. p. 325-344. Index
  • Langues
    • Français
    • , traduit de : Néerlandais, flamand
  • Description matérielle
    • 350 p.-[16] p. de pl. : couv. ill. en coul. ; 24 cm
  • Collections
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  • Sujet(s)
  • Epoque
  • Lieu
  • ISBN
    • 2-85226-525-7
  • Indice
    • 754.54 Peinture italienne de la Renaissance
  • Quatrième de couverture
    • La Renaissance italienne apparaît encore comme la référence suprême pour l'art d'Occident. On lui doit nombre des œuvres figuratives qui définissent pour nous la civilisation européenne ; et les idées de l'époque sur le rôle de l'art et des artistes au sein de la société ont eu une influence déterminante sur nos propres vues en ce domaine. Dans Peintres et mécènes de la Renaissance italienne, étude polémique et stimulante, Bram Kempers adopte un point de vue qui permet de considérer l'évolution artistique par une approche nouvelle et très subtile (en particulier, la mise en rapport du triple processus de «professionnalisation» des artistes, «formation de l'Etat» et «civilisation des mœurs»).

      Retraçant l'histoire du mécénat - depuis les ordres mendiants et les cités-Etats, les familles de grands marchands, les princes et ducs régnants, jusqu'aux papes Jules II, Pie II et Sixte IV - l'auteur nous emmène de Sienne à Florence, puis à Urbin, à la cour de Frédéric de Montefeltre, pour en arriver aux grandes heures de la cour des pontifes romains et de celle du duc Cosme de Médicis à Florence, témoin de la suprématie de Michel-Ange et berceau de l'illustre Académie.

      Bram Kempers démontre comment la créativité jusque-là sans exemple - et demeurée peut-être unique - de l'art de la Renaissance est issue de la dynamique du mécénat et de la concurrence professionnelle. Il en résulta un fructueux équilibre entre l'originalité des individus et les contraintes de la société ; l'alliance féconde de l'art et du pouvoir détermina l'épanouissement d'un moment exceptionnel de l'histoire artistique.

      Ce livre représente une contribution majeure pour notre appréhension des rapports entre l'art et la société. Il démontre, pour les spécialistes comme pour le profane, l'influence profonde en Occident, durant plus de cinq siècles, de la Renaissance italienne sur les idées dans le domaine de l'art.


  • Origine de la notice:
    • BN
  • Disponible - 754.54 KEM

    Niveau 3 - Arts