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Responsabilité du médecin

Résumé

Une synthèse du droit de la responsabilité médicale dans ses aspects à la fois civil, pénal et disciplinaire, abordant tour à tour les différentes hypothèses de mise en cause des médecins. Avec des exemples concrets tirés de la jurisprudence récente.


  • Éditeur(s)
  • Date
    • 2003
  • Notes
    • L'éd. précédente a paru sous le titre : "Responsabilité du médecin : risques et réalités judiciaires". - Notes bibliogr. Index
  • Langues
    • Français
  • Description matérielle
    • XI-346 p. ; 21cm
  • Collections
  • Sujet(s)
  • Lieu
  • ISBN
    • 2-7110-0274-8
  • Indice
    • 363.2 Droit médical et droit des professions paramédicales
  • Quatrième de couverture
    • L'habit ne fait plus le médecin. De l'homme en blanc, notable hors d'atteinte, le médecin est devenu un professionnel ordinaire, le patient un «consommateur de soins».

      L'évolution des techniques scientifiques et le souci de sécurité en matière de santé publique ont eu pour corollaire une exigence accrue de protection et d'indemnisation, qui s'est traduite par l'apparition d'un lourd contentieux de la responsabilité médicale.

      Science et conscience sont ici en jeu. La responsabilité des praticiens est de plus en plus susceptible d'être mise en cause en raison des manquements à la science médicale, aux devoirs de conscience - défaut d'information, omission de recueillir le consentement des patients -, ou encore en raison du non-respect de cette obligation particulière dite de sécurité.

      La loi du 4 mars 2002, relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé, a, tout à la fois, consacré et aménagé les principes dégagés par la jurisprudence et organisé la prise en charge par la solidarité nationale de l'indemnisation de l'aléa thérapeutique. Avec cette loi, un droit autonome de la responsabilité médicale voit le jour.

      Cet ouvrage fait la synthèse du droit de la responsabilité médicale dans ses aspects à la fois civils, pénaux, administratifs et disciplinaires, abordant, tour à tour, les différentes hypothèses de mise en cause des médecins et consacrant, à cet égard, de nombreux développements aux dispositions de la loi du 4 mars 2002.

      Se référant à de nombreux exemples concrets tirés de la jurisprudence la plus récente, le propos s'efforce également de fournir au lecteur juriste ou non, médecin ou patient, les éléments utiles à une réflexion critique sur l'évolution d'un droit en pleine mutation.


  • Tables des matières
      • Responsabilité du Médecin

      • Sylvie Welsch

      • Litec

      • Introduction (1 à 15)1
      • Préambule (16 à 18)
        9
      • Titre 1: Quatre juges pour une responsabilité13
      • Chapitre 1: La mise en oeuvre de la responsabilité disciplinaire du médecin (25 à 53) 17
      • Section 1: Principes et structures (26 à 45)
        18
      • Sous-section 1: Les textes (26) 18
      • Sous-section 2: Les professionnels concernés (27) 20
      • Sous-section 3: Organisation (28 à 45) 20
      • § 1. - Le conseil national (28)20
      • § 2. - Le conseil régional ou interrégional (29)20
      • § 3. - Le conseil départemental (30)21
      • § 4. - La chambre disciplinaire de première instance (31 à 39)21
      • § 5. - La chambre disciplinaire nationale (40)24
      • § 6. - La section des assurances sociales des chambres disciplinaires de première instance (41 à 45)24
      • Section 2: La prise en compte par les ordres de juridiction judiciaire et administratif de la norme déontologique comme règle de droit applicable (46 à 53)
        26
      • Sous-section 1: L'indépendance des décisions de la juridiction disciplinaire (46 à 48) 26
      • § 1. - Par rapport à la faute pénale (47)26
      • § 2. - Par rapport à la faute civile (48)27
      • Sous-section 2: La reconnaissance du code de déontologie médicale par les juridictions administratives et judiciaires (49 à 53)
        27
      • Chapitre 2: La mise en oeuvre de la responsabilité pénale du médecin (54 à 68) 31
      • Section 1: L'action civile devant les juridictions répressives (55 à 63)32
      • Sous-section 1: L'action de la victime (55 à 58) 32
      • Sous-section 2: Les conditions de recevabilité de l'action civile devant les juridictions répressives (59 à 62) 33
      • § 1. - L'existence d'une infraction pénalement punissable susceptible de justifier le déclenchement d'une action publique (60 à 61)33
      • § 2. - La maxime Electa una via non datur recursus in alteram (une fois que la voie est choisie, on ne peut revenir à l'autre (62)34
      • Sous-section 3: L'action des associations (63) 35
      • Sous-section 3: L'action des associations (63) 35
      • Section 2: Fautes civile et pénale (64 à 68)36
      • Sous-section 1: Problématique générale (64) 36
      • Sous-section 2: Les conséquences (65 à 68) 37
      • § 1. - L'option de la victime (65)37
      • § 2. - L'autorité de la chose jugée au pénal (66 à 68)38

      • Chapitre 3: La dualité des régimes privé et public (69 à 82) 41
      • Section 1: La coexistence de deux systèmes (69 à 74)41
      • Section 2: Les exceptions à la compétence administrative (75 à 77)44
      • Section 3: Les hypothèses de cumul possible de compétences (78 à 82)46
      • Titre 2: Conscience49
      • Chapitre 1: Le devoir de s'assurer du consentement (84 à 90) 51
      • Section 1: Fondement (84 à 85)
        51
      • Sous-section 1: Le droit au respect de l'intégrité corporelle de la personne a pour corollaire la nécessaire recherche du consentement du patient (84)
        51
      • Sous-section 2: La nécessaire recherche du consentement du patient: obligation légale et obligation déontologique (85) 52
      • Section 2: Recherche du consentement (86 à 90)53
      • Sous-section 1: Les soins à l'enfant (87 à 88) 53
      • Sous-section 2: Les soins au majeur sous tutelle (89) 55
      • Sous-section 3: Les soins au malade mental (90)55
      • Chapitre 2: Le devoir d'information (91 à 169) 57
      • Section 1: Les fondements de l'obligation d'information (92 à 103)58
      • Sous-section 1: Le corollaire du consentement (92 à 93) 58
      • Sous-section 2: Déontologie médicale et fondement légal (94 à 100) 59
      • § 1. - L'information a priori (avant l'acte médical) (94 à 96)59
      • § 2. - L'information a posteriori (après l'acte médical) (97 à 100)60
      • Sous-section 3: Fondement constitutionnel (101) 61
      • Sous-section 4: Fondement jurisprudentiel (102 à 103) 61
      • Section 2: La charge de la preuve de l'information (104 à 117)
        62
      • Sous-section 1: Avant 1997 (104 à 108) 62

      • § 1. - Jusqu'au revirement jurisprudentiel de 1997, la charge de la preuve incombait à celui qui invoquait l'inexécution de l'obligation d'information (104)62
      • § 2. - Cette affirmation apparaissait comme la conséquence logique de l'obligation contractuelle de moyens du médecin (105 à 106)62
      • § 3. - Cette affirmation apparaissait aussi comme la traduction des règles générales de droit processuel (107)63
      • § 4. - Toujours avant le revirement jurisprudentiel de 1997, la jurisprudence a tenté de pallier les éventuelles difficultés de preuve des patients (108)64
      • Sous-section 2: Le revirement de la jurisprudence: l'arrêt du 25 février 1997 (109 à 113) 64
      • § 1. - Il s'agit d'un principe général de renversement de la charge de la preuve applicable à tous les professionnels tenus d'une obligation légale ou contractuelle d'information (110)65
      • § 2. - L'application particulière aux médecins (111)65
      • § 3. - Ce faisant, la Cour de cassation a procédé à un recours artificiel à l'article 1315, alinéa 2, du Code civil qui n'est pas sans conséquence (112 à 113)66
      • Sous-section 3: La jurisprudence administrative (114 à 115) 66
      • Sous-section 4: La confirmation par la loi du 4 mars 2002 (116 à 117) 67
      • Section 3: Les moyens de preuve de l'information (118 à 125)67
      • Section 4: Le contenu de l'information (126 à 152)71
      • Sous-section 1: L'information a priori (127 à 147)71
      • § 1. - La construction jurisprudentielle (127 à 143)71
      • § 2. - L'apport de la loi du 4 mars 2002 (144 à 147)82
      • Sous-section 2: L'information a posteriori (148 à 152)85
      • Section 5: Les limites de l'obligation d'information (153 à 154)87
      • Section 6: L'étendue dans le temps de l'obligation d'information (155)89
      • Section 7: Le débiteur de l'information (156 à 158)91
      • Section 8: Le destinataire de l'information (159 à 162)93
      • Section 9: La réparation du défaut d'information (163 à 169)94
      • Sous-section 1: La technique de l'indemnisation globale du préjudice (164) 95
      • Sous-section 2: La technique d'indemnisation d'un préjudice distinct lié à la perte de chance (165 à 169)
        95
      • Chapitre 3: Le devoir de respecter le refus de soins par le patient (170 à 179) 101
      • Section 1: Les principes (170 à 171)101
      • Section 2: Les conséquences jurisprudentielles sur la réparation (172 à 174)102
      • Section 3: Les limites au refus de soins par le patient (175 à 179)
        104
      • Chapitre 4: Le devoir d'assistance (180 à 188) 109
      • Section 1: Le devoir d'admission du patient en cas d'urgence (181 à 184)109
      • Section 2: Le délit d'omission délictueuse et de non-assistance à personne en péril (185 à 000)
        111
      • Sous-section 1: Sur l'élément matériel du délit (186 à 187) 111
      • § 1. - L'existence d'un péril auquel une personne est exposée (186)111
      • § 2. - Sur l'assistance requise (187)112
      • Sous-section 2: Sur l'élément moral de l'infraction: l'absention volontaire (188)
        114
      • Chapitre 5: Les autres infractions pénales qui relèvent du devoir de conscience du médecin: les violences volontaires (189 à 225) 117
      • Section 1: Les infractions spécifiques (193 à 198)
        119
      • Sous-section 1: L'interruption illégale de grossesse (193 à 195) 119
      • Sous-section 2: L'empoisonnement (196 à 198) 123
      • § 1. - Sur l'élément matériel de l'infraction (197)123
      • § 2. - Sur l'élément moral de l'infraction (198)124
      • Section 2: Les infractions de droit commun (199 à 225)
        125
      • Sous-section 1: La stérilisation et la chirurgie du transsexualisme (199 à 203) 125
      • § 1. - La stérilisation (200 à 202)126
      • § 2. - La chirurgie du transsexualisme (203)129
      • Sous-section 2: La question de l'euthanasie, de l'acharnement thérapeutique et des soins palliatifs (204 à 214) 130
      • § 1. - L'euthanasie (205 à 211)130
      • § 2. - L'acharnement thérapeutique (212 à 213)135
      • § 3. - Les soins palliatifs (214)136
      • Sous-section 3: La mise en danger d'autrui (215 à 218) 137
      • § 1. - Sur l'élément matériel de l'infraction (216 à 217)138
      • § 2. - Sur l'élément intentionnel de l'infraction (218)140
      • Sous-section 4: Les faux certificats et les ordonnances de complaisance (219 à 225) 140
      • § 1. - Les faux certificats (C. pén., art. 441-7) (220 à 222)141
      • § 2. - Le délit de corruption active ou passive en vue de la délivrance de faux certificats (C. pén., art. 441-8) (223 à 225)
        143
      • Chapitre 6: Le devoir de secret professionnel (226 à 242) 147
      • Section 1: L'affirmation du devoir de secret (227 à 235)
        149
      • Sous-section 1: Le contenu (227 à 229) 149
      • Sous-section 2: Les personnes tenues par le devoir de secret médical (230 à 235) 152
      • § 1. - Le secret partagé (231)153
      • § 2. - La situation des médecins intervenant pour des administrations dites de contrôle (232)153
      • § 3. - La situation des médecins d'assurance (233)154
      • § 4. - La situation des médecins experts près les tribunaux et cours d'appel (234 à 235)157
      • Section 2: Les dérogations et exceptions au devoir de secret (236 à 242)158
      • Sous-section 1: Les exceptions prévues par la loi (236 à 237) 158
      • Sous-section 2: L'exercice des droits de la défense (238 à 239) 159
      • Sous-section 3: Le secret médical n'existe pas à l'égard des patients (240 à 242)
        161
      • Titre 3: Science165
      • Chapitre 1: La faute civile du médecin libéral (248 à 338) 167
      • Section 1: L'appréciation de la faute médicale (248 à 251)167
      • Sous-section 1: Appréciation in abstracto (248)167
      • Sous-section 2: Le recours à l'expertise (249 à 250) 168
      • § 1. - L'expertise judiciaire (249)168
      • § 2. - L'expertise amiable de la loi du 4 mars 2002 (250)169
      • Sous-section 3: Les conférences de consensus (251) 170
      • Section 2: Les fautes retenues (252 à 291)171
      • Sous-section 1: La faute de diagnostic (253 à 266) 172
      • § 1. - La distinction entre l'erreur et la faute de diagnostic (254 à 257)172
      • § 2. - Les fautes de diagnostic retenues (258 à 266)174
      • Sous-section 2: La faute dans le traitement (267 à 289) 177
      • § 1. - Le choix du traitement (267 à 276)177
      • § 2. - La mise en oeuvre du traitement (277 à 289)184
      • Sous-section 3: La surveillance post-opératoire (290 à 291) 190
      • Section 3: L'auteur de la faute (292 à 303)193
      • Sous-section 1: L'exercice succesif de différentes spécialités (293 à 294) 194
      • Sous-section 2: L'exercice en «équipe médicale» (295 à 302) 195
      • § 1. - Responsabilité du chef d'équipe (296 à 299)195
      • § 2. - Responsabilité des membres de l'équipe (300 à 301)197
      • § 3. - L'action du patient (302)199
      • Sous-section 3: Responsabilité dans le cadre des sociétés d'exercice (303) 199
      • Section 4: Le lien de causalité (304 à 307)200
      • Section 5: La réparation (308 à 324)202
      • Sous-section 1: Les préjudices traditionnellement pris en compte (309 à 311) 203
      • § 1. - Les préjudices économiques patrimoniaux (309 à 310)203
      • § 2. - Les préjudices extrapatrimoniaux attachés à la personne (311)204
      • Sous-section 2: Le cas particulier de contrôle des naissances (312) 204
      • Sous-section 3: La réparation du préjudice né de la perte de chance (313 à 324) 205
      • § 1. - Le principe de la perte de chance (313 à 317)205
      • § 2. - L'indemnisation de la perte de chance (318)206
      • § 3. - Le cas particulier de la naissance d'un enfant handicapé (319 à 324)207
      • Section 6: La responsabilité des cliniques (325 à 338)216
      • Sous-section 1: Le contrat d'hôtellerie ou d'hébergement (326) 216
      • Sous-section 2: Le contrat de soins (327 à 330) 217
      • § 1. - Fourniture de matériel et de produits sans défaut (328)217
      • § 2. - Mise à disposition d'un personnel qualifié (329)218
      • § 3. - Surveillance (330)219
      • Sous-section 3: La responsabilité des médecins exerçant en clinique (331 à 388) 222
      • § 1. - Exercice salarié (335 à 336)223
      • § 2. - Exercice libéral (337 à 338)225
      • Chapitre 2: La faute en pratique hospitalière publique (339 à 370) 227
      • Section 1: De la faute lourde à la faute simple (340 à 341)227
      • Section 2: Les fautes retenues (342 à 355)228
      • Sous-section 1: La faute dans l'organisation du service (343 à 346) 228
      • Sous-section 2: La faute de nature purement médicale (347 à 352) 230
      • § 1. - La référence aux données acquises de la science et aux règles de l'art (348)230
      • § 2. - La faute de diagnostic (349 à 351)231
      • Sous-section 3: La faute dans le choix et la mise en oeuvre du traitement (352 à 355) 232
      • Section 3: Le lien de causalité et la réparation (356 à 360)234
      • Sous-section 1: La recherche du lien de causalité (357 à 358) 234
      • Sous-section 2: La réparation (359 à 360) 235
      • Section 4: La responsabilité sans faute (361 à 370)237
      • Sous-section 1: L'intervention du législateur (362) 237
      • Sous-section 2: L'intervention de la jurisprudence: le cas particulier de la contamination post-transfusionnelle du receveur (363 à 370) 238
      • § 1. - En matière de contamination par le virus de l'immunodéfience humaine (VIH) (364 à 366)239
      • § 2. - En matière de contamination par le virus de l'hépatite C (367 à 369)240
      • § 3. - En matière de contamination par le virus de l'hépatite B (370)242
      • Chapitre 3: Les infractions issues de manquements à la science médicale: les atteintes involontaires à la vie ou à l'intégrité physique des patients (371 à 401) 243
      • Section 1: Le dommage (373 à 374)244
      • Section 2: Le lien de causalité (375 à 385)246
      • Section 3: La faute (386 à 401)253
      • Sous-section 1: En cas de causalité directe (387 à 396) 254
      • § 1. - Les fautes de diagnostic (389)255
      • § 2. - La faute dans le traitement (390 à 394)256
      • § 3. - La surveillance post-opératoire (395 à 396)259
      • Sous-section 2: Les exigences posées par l'article 121-3 alinéa 4 du code pénal en cas de causalité indirecte (397 à 401) 261
      • Chapitre 4: L'obligation d'assurance (402 à 404) 267
      • Titre 4: Résultat et sécurité271
      • Chapitre 1: Les cas traditionnels d'obligation de résultat (407 à 421) 273
      • Section 1: La responsabilité délictuelle du fait des choses (411 à 412)274
      • Section 2: La responsabilité contractuelle du fait des choses génératrice d'une obligation de sécurité résultat (413 à 421)275
      • Sous-section 1: La conception de la prothèse ou de l'appareillage (415) 276
      • Sous-section 2: La fourniture et l'utilisation du matériel ou produit, appareillage ou prothèses (416 à 418) 277
      • Sous-section 3: La place de la responsabilité du fait des produits issue de la directive CEE du 25 juillet 1985 (419 à 420) 281
      • Sous-section 4: La pose et l'adaptation de la prothèse ou appareil (421) 282
      • Chapitre 2: Les infections nosocomiales (422 à 444) 285
      • Section 1: La notion d'infection nosocomiale et les textes existants (423 à 425)285
      • Section 2: Évolution de la jurisprudence (426 à 436)288
      • Sous-section 1: L'appréciation de la faute d'asepsie (427 à 428) 289
      • Sous-section 2: Le passage de l'obligation de moyens simple à l'obligation de moyens renforcée (présomption de responsabilité) (429 à 431) 291
      • Sous-section 3: Passage de l'obligation de moyens renforcée ou présomption de responsabilité à l'obligation pure et simple de résultat (432 à 436) 292
      • Section 3: L'apport de la loi du 4 mars 2002 et de la loi du 30 décembre 2002 (437 à 444)296
      • Chapitre 3: L'obligation de sécurité résultat dans l'acte médical (445 à 477) 301
      • Section 1: Les prémices de l'évolution (446 à 456)301
      • Section 2: L'obligation médicale de sécurité-résultat (457 à 462)308
      • Section 3: Le relais de solidarité nationale sur les accidents médicaux (463 à 466)314
      • Section 4: La nouvelle procédure de règlement amiable (467 à 477)318
      • Conclusion générale325
      • Index alphabétique329
      • Table des matières339

  • Origine de la notice:
    • Electre
  • Disponible - 363.2 WEL

    Niveau 3 - Droit