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Livre

Rousseau ou La conscience sociale des Lumières

Résumé

S'étonnant de l'importance que Rousseau accorde au thème de l'involontaire, E. Martin-Hoog procède à une relecture de l'ensemble de son oeuvre et confronte le sens spinoziste et le sens rousseauiste du terme. Elle tente d'éclairer la conscience morale comme une conscience sociale et de cerner la singularité philosophique de Rousseau au sein des Lumières.


  • Éditeur(s)
  • Date
    • 2009
  • Notes
    • Bibliogr. p. 367-373. Index
  • Langues
    • Français
  • Description matérielle
    • 1 vol. (382 p.) ; 24 cm
  • Collections
  • Sujet(s)
  • Epoque
  • ISBN
    • 978-2-7453-1868-8
  • Indice
  • Quatrième de couverture
    • Cet ouvrage part d'un étonnement envers l'importance que Rousseau accorde au thème de « l'involontaire ». Aussi tente-t-il d'opérer une relecture de l'ensemble de l'oeuvre. Il s'agit de cesser d'opposer Jean-Jacques et Rousseau, et de confronter le sens spinoziste et le sens rousseauiste de l'involontaire. Enfin et sur tout, nous proposons de comprendre la « conscience morale » comme une conscience sociale, ce qui permet de cerner la singularité philosophique de Rousseau au sein des Lumières. Dans l'Encyclopédie, à l'article « Social », on peut lire qu'il s'agit là d'un « mot nouveau » : Rousseau a su tirer le meilleur parti conceptuel de ce mot.

      Nous invitons donc le lecteur à découvrir un philosophe qui renouvelle simultanément la définition de la pensée et les valeurs auxquelles cette pensée doit se soumettre. Rousseau conçoit en effet le passage du politique au social ou le devenir-social tant de la pensée que de la cité.


  • Origine de la notice:
    • BNF
  • Disponible - 1"3" ROUS 2

    Niveau 2 - Philosophie