Contribution à l'étude des pouvoirs budgétaires du Parlement en France
Éclairage historique et perspectives d'évolution
Aurélien Baudu
Dalloz
Principales abréviations utilisées
VII
Remerciements
IX
Liste des personnalités rencontrées
XI
Préface
XV
Introduction générale
1
Première partie Le détournement des pouvoirs budgétaires
du Parlement (1815-1958)33
Titre premier Le détournement du pouvoir
de décision budgétaire par le Parlement37
Chapitre I. Une interprétation extensive du principe
du consentement de l'impôt
39
Section I. La consécration du principe
du consentement de l'impôt42
§ I. La naissance du principe
dans les démocraties étrangères42
A. Le modèle anglais et le mythe fondateur
du parlementarisme français42
B. L'influence des autres régimes démocratiques45
§ II. La consécration tardive du principe
du consentement de l'impôt en france47
A. Une absence de mise en oeuvre du principe jusqu'au XXe siècle47
B. Une clef de voûte du régime parlementaire français51
1. Une inscription constitutionnelle continue du principe
depuis le XIXe siècle
52
2. Une mise entre parenthèses du principe sous le régime de Vichy
55
Section II. La lecture extensive du principe
du consentement de l'impôt59
§ I. Du consentement de l'impôt au vote du budget60
A. Le droit du parlement de voter le budget60
1. Le droit du Parlement de voter les dépenses publiques
61
2. Le droit du Parlement de voter le budget
70
B. Le droit du Parlement de refuser le budget77
1. Le refus du budget par le Parlement, une arme politique
77
2. Les exemples de refus du budget par le Parlement
81
§ II. La confiscation de la préparation
du budget par le parlement85
A. La préparation du budget,
une compétence normalement dévolue au pouvoir exécutif85
1. La suprématie budgétaire de l'exécutif en Angleterre
86
2. Le ministre des Finances,
«promoteur» historique du budget en France
89
B. La préparation du budget, une compétence confisquée
par les commissions des finances du Parlement93
1. La montée en puissance politique des commissions des finances
du Parlement
96
2. Les empiètements budgétaires de la commission des finances
de la Chambre des députés sur les attributions du gouvernement
103
Chapitre II. La mainmise de la chambre populaire du Parlement
sur le pouvoir de décision budgétaire
113
Section I. Le «monopole budgétaire»
de la chambre populaire en france114
§ I. La genèse du principe de l'inégalité
des pouvoirs budgétaires entre les deux chambres
à l'étranger114
A. Les démocraties favorables à l'égalité
des pouvoirs budgétaires entre les deux chambres115
B. Les démocraties favorables au renforcement
des pouvoirs budgétaires de la chambre populaire117
§ II. La mise en place d'un «monopole budgétaire»
au profit de la chambre des députés en france120
A. La consécration du principe de l'inégalité
des pouvoirs budgétaires entre les deux chambres françaises120
1. La réaffirmation systématique du droit de priorité budgétaire
de la Chambre des députés depuis 1815
121
2. La reconnaissance du principe de l'inégalité
des pouvoirs budgétaires
entre les deux chambres françaises en 1875
125
B. Le principe de la libre utilisation du droit d'amendement
en matière budgétaire à la Chambre des députés129
1. Un principe de droit constitutionnel,
issu de la pratique parlementaire
130
2. L'absence de volonté politique des députés de remettre
en cause ce principe
133
Section II. La remise en cause des pouvoirs budgétaires
de la chambre haute en france140
§ I. Le suffrage universel, un critère déterminant
du rôle budgétaire des chambres hautes
dans les démocraties étrangères140
A. L'effacement des pouvoirs budgétaires des chambres
hautes aristocratiques : l'exemple de la Chambre des lords141
1. Le droit d'amendement en matière budgétaire
enlevé aux lords anglais
141
2. La mise en sommeil des autres compétences budgétaires
des lords anglais
142
B. L'affirmation des pouvoirs budgétaires des chambres
hautes démocratiques : l'exemple du Sénat américain143
1. Le droit d'amendement en matière budgétaire des sénateurs
reconnu par la Constitution américaine
144
2. L'extension des compétences budgétaires du Sénat américain
144
§ II. Le suffrage universel, un critère non déterminant
en france de l'affirmation des pouvoirs budgétaires
de la chambre haute146
A. L'affirmation des pouvoirs budgétaires de la chambre
haute aristocratique : l'exemple de la Chambre des pairs147
1. L'affirmation des pouvoirs budgétaires
de la Chambre des pairs en 1815
147
2. La réaffirmation des pouvoirs budgétaires
de la Chambre des pairs en 1830
151
B. L'effacement des pouvoirs budgétaires
de la chambre haute démocratique :
l'exemple du Sénat et du Conseil de la République153
1. Les difficultés du Sénat pour l'affirmation
de ses pouvoirs budgétaires
154
2. Le silence constitutionnel autour des pouvoirs budgétaires
du Conseil de la République
164
Titre second Un Parlement se détournant
de ses pouvoirs budgétaires originels173
Chapitre I. Le détachement du Parlement
de l'autorisation budgétaire
175
Section I. La remise en cause de la périodicité
de l'autorisation budgétaire176
§ I. L'affirmation du principe de l'annualité budgétaire176
A. Un principe universellement reconnu dans les démocraties177
B. Un principe budgétaire issu de la Révolution française179
1. La consécration de la règle de l'annualité budgétaire
179
2. L'échec des tempéraments apportés à la règle
de l'annualité budgétaire
181
§ II. L'atteinte répétée au principe
de l'annualité budgétaire186
A. La pratique des douzièmes provisoires187
1. La pratique des douzièmes provisoires en Angleterre
187
2. La pratique des douzièmes provisoires en France
189
B. Le recours permanent aux douzièmes provisoires en France192
1. Le recours fréquent aux douzièmes provisoires
dès la Restauration
193
2. Le recours systématique aux douzièmes provisoires
sous la Troisième et la Quatrième République
196
Section II. La remise en cause
de l'autorisation budgétaire198
§ I. Le recours permanent à la pratique
des crédits additionnels199
A. L'encadrement et le recours exceptionnel
aux crédits additionnels dans les démocraties étrangères199
B. La souplesse et le recours permanent
aux crédits additionnels en France201
1. Le recours fréquent aux crédits additionnels
dès la Restauration
201
2. Le recours systématique aux crédits additionnels
sous la Troisième et la Quatrième République
204
§ II. Les inconvénients du recours permanent
aux crédits additionnels218
A. Les atteintes au mythe de l'équilibre budgétaire218
B. La remise en cause de l'autorisation budgétaire222
Chapitre II. Les insuffisances du contrôle budgétaire
du Parlement
225
Section I. Le développement
du contrôle budgétaire a priori226
§ I. L'amélioration de la lisibilité du budget
dès la restauration227
A. L'émergence de l'universalité budgétaire228
B. L'essor de la règle de l'unité budgétaire232
C. Le développement de la spécialité budgétaire234
§ II. Les limites du contrôle budgétaire
a priori au XXe siècle239
A. L'émergence de l'interventionnisme de l'État240
B. Les répercussions budgétaires de l'interventionnisme de l'État244
1. La remise en cause de la règle de l'universalité budgétaire
244
2. La remise en cause de la règle de l'unité budgétaire
247
3. La remise en cause de la règle de la spécialité budgétaire
258
Section II. Un désintérêt pour le contrôle budgétaire
a posteriori263
§ I. La méfiance du parlement
au cours de l'exécution budgétaire263
A. L'absence de surveillance parlementaire du contrôle préventif
dans les démocraties étrangères265
B. Le contrôle administratif des dépenses de l'État
sous l'oeil vigilant du Parlement en France267
1. La mise en oeuvre d'un contrôle préventif portée
par l'action du Parlement
268
2. Le contrôle administratif des dépenses de l'État
sous l'oeil vigilant du Parlement
275
§ II. Le désintéressement du parlement pour le contrôle
législatif de l'exécution budgétaire281
A. L'institution du contrôle législatif de l'exécution budgétaire281
1. La naissance de la loi de règlement
281
2. Le renforcement du lien entre la Cour des comptes
et le Parlement
284
B. Le détachement du Parlement du contrôle législatif
de l'exécution budgétaire286
1. Les causes externes du détachement du Parlement
pour le contrôle de l'exécution budgétaire
287
2. Les causes internes du détachement du Parlement
pour le contrôle de l'exécution budgétaire
296
Conclusion de la première partie
303
Seconde partie. La mise en oeuvre des pouvoirs budgétaires
du Parlement sous la Ve République305
Titre premier La protection de l'autorisation parlementaire
du budget par son encadrement309
Chapitre I. La limitation du pouvoir de réformation
du Parlement sur le budget de l'État
313
Section I. L'exclusion du parlement de la rédaction
du budget de l'État314
§ I. La mainmise du pouvoir exécutif
sur la préparation du budget315
A. Le gouvernement, un acteur incontournable
de l'élaboration du budget315
1. Les arbitrages budgétaires, une dyarchie au sommet de l'État ?
316
2. Le pouvoir réel du ministre en charge
de la conception du budget
325
B. L'élaboration du budget un processus technique
en voie de modernisation327
1. La rénovation du calendrier annuel de la préparation budgétaire
328
2. Les lacunes du processus d'élaboration budgétaire
et les efforts entrepris pour insuffler une nouvelle dynamique
330
§ II. La mise à l'écoute du parlement au cours
du processus d'élaboration budgétaire335
A. L'interdiction donnée au Parlement de réécrire le budget335
1. La suppression du pouvoir de réécriture budgétaire
des commissions des finances
336
2. Le maintien de cette interdiction malgré les assouplissements
apportés à la rationalisation du régime parlementaire
338
B. Une information accrue du Parlement
lors de la préparation du budget340
1. Le débat d'orientation budgétaire au Parlement
341
2. Les autres outils d'information
à la disposition des parlementaires
346
Section II. La limitation des amendements
des parlementaires en matière budgétaire348
§ I. La mise en place d'un «couperet»
sur le droit d'amendement du parlement,
en matière budgétaire349
A. La volonté initiale du pouvoir constituant :
la limitation des initiatives parlementaires en matière financière350
1. L'article 40 de la Constitution de 1958
352
2. L'article 42 de l'ordonnance du 2 janvier 1959
354
B. Le contournement progressif de cette volonté355
1. La jurisprudence constitutionnelle,
protectrice de l'initiative parlementaire
356
2. La rénovation du droit d'amendement parlementaire
en matière budgétaire par la loi organique du 1er août 2001
361
§ II. Le nécessaire renforcement du «couperet»364
A. La remise en cause de l'article 40 de la Constitution,
une voie incertaine et risquée364
1. Les propositions tendant à remettre en cause l'article 40
de la Constitution
365
2. Les risques et les incertitudes autour de cette remise en cause
369
B. Le renforcement de l'article 40 de la Constitution,
une voie vertueuse377
1. La nécessité de mettre en place un dispositif constitutionnel
de maîtrise de la dépense fiscale
378
2. La nécessité de poursuivre la rénovation des procédures
d'examen de la recevabilité financière au Parlement
381
Chapitre II. L'encadrement du pouvoir d'adoption
du Parlement sur le budget de l'État
389
Section I. Les contraintes temporelles,
un parlement pressé par le gouvernement
pour l'adoption du budget390
§ I. L'encadrement du calendrier budgétaire
au parlement, une garantie efficace
contre les «douzièmes provisoires»390
A. Un parlement enfermé dans des délais stricts394
1. Le délai global d'adoption du budget, une pratique conciliante
394
2. Les délais de discussion budgétaire internes aux assemblées
398
B. Un Parlement sanctionné en cas de non-respect des délais400
1. La sanction des délais de discussion budgétaire internes
aux assemblées
400
2. La sanction du délai global d'adoption du budget
401
§ II. La réaffirmation du droit de priorité
de l'assemblée nationale,
dans le respect des pouvoirs budgétaires du sénat406
A. Le droit de priorité de l'Assemblée nationale
en matière de lois de finances407
1. Une lecture stricte du droit de priorité de l'Assemblée nationale
407
2. Le droit de priorité de l'Assemblée nationale,
le déclencheur du «couperet»
409
B. La fin de la remise en cause des pouvoirs budgétaires du Sénat412
1. La commission mixte paritaire et la réaffirmation
des pouvoirs budgétaires du Sénat
416
2. La commission mixte paritaire et l'application
des pouvoirs budgétaires du Sénat
419
Section II. Les contraintes procédurales,
un parlement désarméface à l'arsenal
du gouvernement422
§ I. L'encadrement de la discussion budgétaire,
oser aller plus loin423
A. Vers un «réveil» budgétaire en commission élargie426
1. L'éclaircissement budgétaire effectué
en commissions des finances
426
2. La nécessité de développer le recours
aux commissions élargies
432
B. Les vertus de la «rénovation» du débat budgétaire
en séance publique437
1. Le respect de la spécialité du texte de la loi de finances
440
2. Une plus grande sincérité du débat budgétaire au Parlement
445
§ II. L'encadrement du vote du budget,
les armes du gouvernement449
A. Le blocage du vote, le «verrou» incontournable451
1. Le «vote bloqué», une arme destinée à assurer
la cohérence du projet de loi de finances
452
2. Le difficile assouplissement du «vote bloqué»
en matière budgétaire
456
B. La suppression du vote, l'artillerie lourde de l'exécutif456
1. L'article 49, alinéa 3, de la Constitution,
une «guillotine budgétaire»
457
2. Les articles 16 et 16 bis de la Constitution,
un Parlement privé de sa compétence budgétaire
463
Titre second Le développement du contrôle budgétaire
du Parlement par son rééquilibrage467
Chapitre I. Le contrôle budgétaire a priori du Parlement,
mythe et réalité
471
Section I. Les difficultés du parlement à opérer
un contrôle préalable de l'opportunité
budgétaire efficace472
§ I. L'amélioration de la lisibilité du budget,
une invitation à l'exercice
du contrôle budgétaire préalable par le parlement473
A. Le renforcement de l'information budgétaire du Parlement473
1. Les mécanismes d'information
du Parlement sur la loi de finances
474
2. L'impact de ces mécanismes sur la lisibilité du budget
476
B. L'affermissement des grands principes budgétaires478
1. Les règles budgétaires synthétiques
478
2. Les règles budgétaires analytiques
480
§ II. Les obstacles à l'exercice par le parlement
d'un contrôle préalable
de l'opportunité budgétaire efficace487
A. L'effet combiné du fait majoritaire
et de la rationalisation parlementaire en matière budgétaire487
1. Le fait majoritaire et le spectre de sa disparition
488
2. La rationalisation parlementaire en matière budgétaire
490
B. L'alternative restreinte du Parlement
en matière de contrôle préalable de l'opportunité budgétaire492
1. Le vote ou le refus du budget
493
2. La saisine du Conseil constitutionnel sur la loi de finances
495
Section II. La juridicisation du contrôle préalable
de la régularité budgétaire
par l'action du juge constitutionnel498
§ I. Le contrôle classique du juge constitutionnel499
A. La difficile protection des principes budgétaires classiques501
1. Les règles budgétaires synthétiques
502
2. Les règles budgétaires analytiques
507
B. Un contrôle limité à la chasse aux «cavaliers budgétaires»513
1. L'interdiction des mesures étrangères aux lois de finances
513
2. La sévérité du juge constitutionnel
à l'égard des «cavaliers budgétaires»
515
§ II. Le «nouveau» contrôle du juge constitutionnel518
A. L'élaboration progressive du principe de sincérité budgétaire518
1. La mise en lumière du principe de sincérité budgétaire
519
2. La sincérité budgétaire, un principe juridique contraignant
ou un objectif à atteindre ?
521
B. Un contrôle limité à l'erreur manifeste d'appréciation524
1. La consécration du principe de sincérité budgétaire
525
2. L'impossible «censure» du budget pour insincérité
par le juge constitutionnel
526
§ III. La juridicisation du contrôle budgétaire préalable
du parlement, dans une impasse ?530
A. La systématicité de la saisine du Conseil constitutionnel
sur les lois de finances, une véritable tradition budgétaire531
B. L'éventualité d'une remise en cause
de cette tradition budgétaire533
1. L'occasion manquée de saisir le Conseil constitutionnel
sur le budget de l'année 2007
534
2. L'occasion manquée de saisir le Conseil constitutionnel
sur le budget de l'année 2008
537
Chapitre II. La construction du contrôle budgétaire
a posteriori du Parlement
541
Section I. Le contrôle en cours d'exécution budgétaire
par le parlement545
§ I. Les commissions des finances
des assemblées parlementaires, chevilles ouvrières
du contrôle de l'exécution budgétaire545
A. Le développement de leurs pouvoirs de contrôle547
1. Le «pré-contrôle» des commissions des finances
548
2. Le contrôle «continu» des commissions des finances
551
B. Les moyens externes au service de leurs pouvoirs de contrôle559
1. L'assistance de la Cour des comptes
559
2. Le recours à des expertises extérieures
564
§ II. Les «collectifs budgétaires»,
l'indispensable réhabilitation de cet instrument
de contrôle parlementaire565
A. Une catégorie particulière de lois de finances567
1. Le «collectif budgétaire», une loi de finances «bis»
567
2. Le collectif budgétaire, un exercice de contrôle parlementaire
569
B. La nécessité de mettre fin au «collectif budgétaire»
de fin d'année577
1. Les limites de l'enchevêtrement entre les textes budgétaires
de fin d'année
577
2. La réhabilitation du collectif budgétaire de printemps
579
Section II. Le contrôle définitif
de l'exécution budgétaire par le parlement581
§ I. Le contrôle définitif «classique»
de l'exécution budgétaire par le parlement :
la loi de règlement583
A. Le «désintérêt parlementaire» pour la loi de règlement
jusqu'à l'entrée en vigueur de la LOLF de 2001583
1. Le «désintérêt parlementaire»
pour la loi de règlement jusqu'en 2006
584
2. Les causes du «désintérêt parlementaire»
pour la loi de règlement
587
B. Les incertitudes sur la réhabilitation
de la loi de règlement par les assemblées parlementaires593
1. Les difficultés pratiques de la réhabilitation
de la loi de règlement
594
2. Les alternatives à l'absence de sanction du gouvernement
599
§ II. Le renouveau du contrôle
de l'exécution budgétaire par la mise en oeuvre
d'un «cycle de la performance» au parlement606
A. L'apprentissage de la culture de la performance,
la clef du renouveau du contrôle parlementaire607
1. La démarche de performance,
une nouvelle logique de gouvernance
607
2. L'exigence d'un «changement culturel» au Parlement
610
B. L'évaluation des politiques publiques,
une mission encore embryonnaire au Parlement615
1. Les organes parlementaires d'évaluation
des politiques publiques
618
2. Vers le renforcement de la mission parlementaire
d'évaluation des politiques publiques ?
623
Conclusion de la seconde partie
627
Conclusion générale
631
Bibliographie
639
Bibliographie historique
639
Thèses et ouvrages historiques
639
Articles historiques
649
Bibliographie contemporaine
651
Thèses et ouvrages contemporains
651
Articles contemporains
657