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La nation nommée roman : face aux histoires nationales

Résumé

En proclamant les romanciers du monde entier "citoyens de la nation nommée Roman", C. Fuentes dit la volonté, commune à tant d'écrivains depuis 1960, d'en finir avec les définitions nationales de la littérature. L'universel en littérature est ici questionné : s'il est un projet, ce sont pourtant les remous des histoires nationales qui modèlent ces romanciers écrivant contre elles.


  • Contributeur(s)
  • Éditeur(s)
  • Date
    • 2011
  • Notes
    • Textes des communications présentées lors du colloque organisé par le Centre de recherches en littérature comparée, CRLC de l'Université de Paris-Sorbonne, tenu à la Maison de recherche, Paris, 4-6 juin 2009
    • Bibliogr. p. 399-415. Index
  • Langues
    • Français
  • Description matérielle
    • 1 vol. (428 p.) ; 22 cm
  • Collections
  • Sujet(s)
  • Epoque
  • ISBN
    • 978-2-8124-0342-2
  • Indice
  • Quatrième de couverture
    • La Nation nommée Roman

      Face aux histoires nationales

      La formule provocante de Carlos Fuentes proclamant les romanciers du monde entier « citoyens de la nation nommée Roman » dit la volonté - partagée par maint écrivain depuis 1960 - d'en finir avec les définitions nationales de la littérature et leur passé de luttes, de domination et d'exclusion. C'est dans son « autonomie » vis-à-vis des histoires nationales que la fiction romanesque puiserait sa force spécifique de résistance à la violence des idéologies. Mais ce sont les remous des histoires nationales qui modèlent ces romanciers - migrants, dissidents, minoritaires - écrivant contre elles. Peut-être « l'universel » en littérature reste-t-il, envers et contre la mondialisation marchande, ce « local moins les murs » dont parlait Miguel Torga.


  • Origine de la notice:
    • FR-751131015
  • Disponible - 81-3"19" NAT

    Niveau 3 - Langues et littératures