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Résumé

Le renouveau de la philosophie passe par le renouveau de la métaphysique. Les métaphysiques classiques méconnaissaient la Nature. Il convient de revenir à cette donnée première qu'est la présence de la Nature.


  • Autre(s) auteur(s)
  • Éditeur(s)
  • Date
    • impr. 2012
  • Notes
    • Contient aussi en appendice : "Entretien avec Arnaud Plagnol" ; "Entretien avec Aliocha Wald Lasowski" ; "Entretien avec Didier Laurens"
    • Recueil de textes extr. pour la plupart de diverses revues et publications, 2003-2010
  • Langues
    • Français
  • Description matérielle
    • 1 vol. (247 p.) : couv. ill. ; 20 cm
  • Collections
  • Titre(s) en relation
  • Sujet(s)
  • ISBN
    • 978-2-13-059080-4
  • Indice
  • Quatrième de couverture
    • Aucune métaphysique ne peut reposer aujourd'hui sur ce socle emprunté à la religion que fut, pour Descartes, Kant ou Hegel, l'idée de Dieu. Puisqu'il s'agit de rendre compte de toutes choses finies, ce socle ne peut être que l'Infini - non pas une idée de l'Infini mais l'Infini lui-même qui nous cerne de toutes parts et que l'on nomme Nature. La doctrine «pour laquelle il n'existe rien en dehors de la Nature» est le «naturalisme» (Vocabulaire de Lalande). C'est de la Nature (Physis) éternelle, omnigénératrice, omnienglobante, qu'il est ici question, et de la façon de la concevoir : non comme un ensemble qui peut être pensé en un (Menge ou Cantor), mais comme un ensemble qui ne peut être pensé en un (Vielheit). Car si la Nature est unique, elle n'est pas une.


  • Origine de la notice:
    • FR-751131015
  • Disponible - 1"4" CONC 1

    Niveau 2 - Philosophie