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Traité de droit civil Belge
Les Obligations
Avant-propos7
Liste des abréviations11
Partie préliminaire
Introduction - La notion d'obligation
Chapitre 1
Introduction
1. Le droit des obligations aujourd'hui17
2. Le droit des obligations et le Code civil21
3. Conséquence : rôle essentiel de la jurisprudence, particulièrement de la Cour de cassation23
4. Les additions créatrices au Code civil25
5. Les interventions du législateur29
6. Le droit des obligations en dehors du Code civil30
Chapitre 2
Définition de l'obligation
7. La notion d'obligation35
8. Autres aspects des notions d'obligation et de droit subjectif38
9. Mécanisme fondamental de l'obligation40
Chapitre 3
Classification des obligations
Section 1
Classification des obligations selon leur objet
10. Principe - Les obligations de faire, de ne pas faire et de donner43
11. Le régime particulier de l'obligation de donner44
12. Champ d'application de l'article 1138 du Code civil quant aux choses46
13. (suite) Champ d'application quant aux contrats47
14. Opposabilité aux tiers du transfert de propriété49
Section 2
Classification des obligations selon l'étendue des prestations requises du débiteur : obligations de moyen ou de résultat
15. Définition - Règles générales50
16. Critère de la distinction52
17. Applications53
Section 3
Autres types d'obligations
18. Les obligations pécuniaires60
19. Les obligations réelles61
20. L'obligation naturelle - Renvoi62
Chapitre 4
L'abus de droit
Section 1
Introduction : la notion d'abus de droit
21. Position de la question63
Section 2
Fondements de l'abus de droit
22. Position de la question65
23. Justification fondée sur la finalité sociale des droits66
24. Le fondement moral de l'abus de droit69
25. L'abus de droit défini à partir de l'usage normal du droit70
Section 3
Champ d'application de l'abus de droit
26. Position de la question73
27. Les droits-fonctions74
28. Les droits discrétionnaires78
29. Les libertés individuelles82
30. Le droits subjectifs utilisés dans l'intérêt de leurs titulaires83
Section 4
Conditions d'application de l'abus de droit
31. Position de la question - Principes85
32. Typologie des applications - L'intention de nuire89
33. (suite) Droits fonctions : méconnaissance de leur finalité légale89
34. (suite) Critères de proportionnalité90
35. (suite) Autre cas92
Section 5
La sanction de l'abus de droit
36. Principe92
37. Applications94
Chapitre 5
La notion de principe général du droit
Section 1
Les principes généraux du droit en général
38. Objet du présent chapitre98
39. Existe-t-il des principes généraux du droit ?98
40. Diverses consécrations des principes généraux du droit100
41. Nature et effets des principes généraux du droit103
42. Destinction entre le principe général du droit et la règle de droit106
43. Autres distinctions : la coutume - Les usages - Les adages et les maximes juridiques108
44. Processus d'élaboration du principe général du droit109
45. (suite) Les principes généraux du droit doivent faire l'objet d'un consensus quasi unanime112
46. (suite) La loi - La Constitution113
47. (suite) Droit international114
48. Les formes de l'expression d'un principe général du droit114
49. Hiérarchie des normes - Position de la question - Les principes généraux et la loi interne115
50. (suite) Le principes généraux du droit et les actes du pouvoir réglementaire118
51. Rapports des principes généraux de droit entre eux119
52. Champ d'application des principes généraux du droit120
53. Effets des principes généraux du droit121
Section 2
En particulier : les principes généraux du droit communautaire
54. Les principes généraux de droit communautaire123
55. Conditions de la reconnaissance124
56. (suite) Catégories - Exemples125
Partie I
Les sources des obligations
Titre 1
Les contrats
Chapitre 1
Le contrat : définition et classifications
Section 1
Éléments constitutifs du contrat
58. Définition133
59. L'accord de deux ou plusieurs volontés134
60. (suite) Le contrat avec soi-même - La contrepartie134
61. L'intention de produire des effets juridiques137
Section 2
Les classifications des contrats
62. Position de la question140
§ 1. - Classification prévue par le Code civil
63. Contrats nommés et innommés140
64. Contrats à titre onéreux et contrats de bienfaisance (à titre gratuit)142
65. Contrats commutatifs et contrats aléatoires143
66. Contrats synallagmatiques et contrats unilatéraux144
§ 2. - Classification complémentaire élaborée par la doctrine
67. Contrats consensuels - Contrats réels - Contrats solennels145
68. Contrats instantanés et contrats à prestations successives147
69. Contrats principaux et contrats accessoires148
70. Contrats intuitu personae ou intuitu firmae au sens large152
§ 3. - Les contrats administratifs
72. Règles générales153
73. Les contrats « normaux » conclus avec une personne de droit public154
74. Les contrats administratifs155
75. (suite) Régime juridique des contrats administratifs159
Chapitre 2
Les principes fondamentaux du régime contractuel
Sectiion 1
Introduction - Vitalité du contrat - Principes
76. Vitalité du phénomène contractuel - Le déclin annoncé du contrat163
77. (suite) En réalité : développement considérable du phénomène contractuel164
78. Les fondements du régime contractuel167
Section 2
L'autonomie de la volonté
79. Règle de base168
79-1. (suite) Évolution de la règle de base170
80. Limites à la règle de base173
81. Conséquences173
Section 3
Le principe du consensualisme
82. Principe174
83. Exceptions au principe175
84. Negotium et instrumentum176
85. Conséquences - Applications176
Section 4
Le principe de la convention-loi : pacta sunt servanda
86. Principe176
87. Conséquences du principe178
88. Interdiction pour une partie de modifier les termes d'une convention179
89. L'équité ne permet pas de déroger au principe de la convention-loi180
90. Autres applications181
91. Rejet de la théorie de l'imprévision183
92. Le principe de la convention-loi et l'interprétation des contrats185
Section 5
L'exécution de bonne foi - Le principe de la bonne foi
93. Le principe de l'exécution de bonne foi - Règles générales186
94. Le concept de bonne foi au sens de l'article 1134 du Code civil187
95. La portée du concept de la bonne foi - Droit comparé189
96. La bonne foi, principe général du droit190
97. Contenu du principe de bonne foi192
98. La bonne foi et l'interprétation des conventions193
99. La bonne foi et la fonction « complétive »193
100. La bonne foi et la fonction modératrice ou restrictive195
101. La fonction modificatrice ou extinctive196
102. Réactions de la Cour de cassation196
103. Applications faites par les juges du fond198
104. Conciliation du principe de l'exécution de bonne foi avec la règle pacta sunt servanda201
Section 6
Évolutions relatives aux trois premiers principes
105. Introduction202
§ 1. - Évolutions concernant l'autonomie de la volonté
106. Les contrats d'adhésion203
107. Les contrats collectifs205
108. Les contrats étroitement réglementés205
109. Contrats-types209
110. Contrats obligatoires - Renvoi210
111. La réglementation « horizontale » des contrats dans le droit de la consommation - La « méthode de la greffe » - Renvoi210
112. La réglementation de la phase précontractuelle - Renvoi211
§ 2. - La résurgence du formalisme, dérogation au consensualisme
113. Principes211
114. Les formes solennelles212
115. Le formalisme probatoire214
116. Supprimé214
117. Le formalisme d'information215
§ 3. - Évolutions concernant le principe de la convention-loi
118. Détermination du contenu d'une clause contractuelle par le juge219
119. Réduction par le juge de l'objet d'une obligation220
120. La réductibilité du salaire du mandataire222
121. Le « droit de rétractation » (ou de « repentir » en droit de la consommation223
§ 4. - Les clauses abusives, principalement en droit de la consommation
122. Position de la question231
123. La méthode de la « greffe »233
124. De nouveaux acteurs du droit des contrats - Le « consommateur »234
125. (suite) Le cocontractant du « consommateur »237
126. Portée de cette méthode238
127. Les clauses abusives - Principes239
128. Les clauses abusives en droit positif240
129. Un cas de clause abusive en droit commercial243
Chapitre 3
Les conditions de validité des contrats (formation du contrat au point de vue statique)
130. Position de la question245
Section 1
La volonté et les vices de consentement
§ 1. - Le rôle de la volonté dans la formation des contrats
131. Principes - La volonté réelle et la volonté déclarée245
132. La prééminence de la volonté réelle246
§ 2. - L'absence totale de volonté
133. Principes248
134. Conséquence de l'absence totale de volonté - Saction249
§ 3. - Les vices de consentement
135. Principes251
A. L'erreur
136. Définition - Les deux espèces d'erreurs251
1. L'erreur-obstacle
137. L'erreur-obstacle - Définition251
138. (suite) L'erreur-obstacle - Sanction253
2. L'erreur substantielle
139. Le vice de consentement : l'erreur substantielle253
140. L'appréciation du caractère substantiel de la caractéristique de la chose sur laquelle porte l'erreur254
141. L'erreur inexcusable n'est pas prise en considération257
142. L'élément sur lequel porte l'erreur doit exister au moment de la formation du contrat - L'erreur est étrangère à l'exécution du contrat260
143. Exclusion de l'annulation du chef d'erreur261
144. Cas particuliers263
145. Cas d'application264
146. Preuve de l'erreur265
147. Sanction de l'erreur266
148. Distinctions entre l'erreur et d'autres recours voisins266
3. La confiance légitime en matière d'erreur ?
148-1. L'erreur commise par inadvertance267
148-2. (suite) Analyse critique268
B. Le dol
149. Définition268
150. Terminologie269
151. Caractéristiques du dol270
152. Applications270
153. La réticence dolosive272
154. (suite) La réticence en matière d'assurance275
155. Incidence des manoeuvres sur le consentement - Dol principal et dol incident - Sanctions du dol276
156. L'erreur inexcusable commise par la victime du dol277
157. De qui les manoeuvres doivent-elles émaner ? Imputabilité des manoeuvres279
158. La preuve du dol280
159. Sanctions du dol281
C. La violence
160. Définition281
161. Contre qui et par qui la violence doit-elle être exercée ?281
162. Caractéristiques que doit revêtir la violence282
163. (suite) Le caractère injuste ou illicite de la violence283
164. L'état de nécessité287
165. Preuve de la violence287
166. Sanction de la violence288
D. La lésion
167. Principes - Définition288
168. Exclusion des contrats aléatoires289
1. La lésion objective
169. Définition - Cas d'application290
2. La lésion qualifiée
170. Définition - Principes291
171. Accueil de la théorie de la lésion qualifiée - Droit comparé - Doctrine291
172. (suite) La jurisprudence293
173. Fondements de la théorie de la lésion qualifiée295
174. Conditions de la lésion qualifiée297
175. Sanction de la lésion qualifiée299
176. Applications en jurisprudence299
3. La lésion mesurée à l'aune des facultés du débiteur
177. Définitions différentes de la lésion300
178. La lésion concernant les mineurs300
179. La lésion en matière de sûretés personnelles301
Section 2
L'objet
180. Principes303
181. Choses dans le commerce304
182. Caractère possible de l'objet305
183. Objet déterminé ou déterminable305
184. (suite) Détermination de l'objet - Applications307
185. Détermination de l'objet par un tiers309
186. Détermination de l'objet par une partie311
187. (suite) Modification unilatérale du contrat après sa conclusion - Jus variandi315
188. Choses futures318
189. Contrats-cadres320
190. Sanction des vices affectant l'objet321
Section 3
La cause
§ 1. - La nécessité d'une cause
191. Position de la question322
192. (suite) La jurisprudence de la Cour de cassation323
§ 2. - La notion de cause
193. La doctrine classique de la cause324
194. Deux acceptions de la cause proposées en doctrine moderne mais à rejeter325
195. L'application concrète de la notion de cause par la jurisprudence : les mobiles déterminants328
196. Une première application : la cause illicite329
197. La cause dans les libéralités330
198. La cause dans les actes unilatéraux autres que les testaments332
199. La notion de cause dans les contrats unilatéraux autres que les libéralités333
200. La notion de cause dans les contrats bilatéraux à titre onéreux334
201. La doctrine belge et la définition de la cause338
202. La cause et les caractéristiques essentielles d'une convention339
203. Moment où s'apprécie la cause340
204. Conclusion : la cause en droit positif belge contemporain341
§ 3. - Les actes abstraits
205. Position de la question342
A. Le billet non causé (C. civ., art. 1132)
206. Régime juridique343
B. Les actes abstraits de leur cause en vertu de la loi (actes abstraits nommés)
207. Diverses opérations juridiques à plusieurs parties346
208. Le recours de la victime contre l'assureur du responsable d'un dommage lorsque l'assurance est obligatoire348
209. Un cas particulier : l'admission d'une créance au passif d'une faillite349
210. Les titres négociables abstraits350
C. Les actes abstraits non prévus par la loi (actes abstraits innommés)
211. Principes351
212. Applications352
D. Limites à l'efficacité des actes abstraits
213. L'ordre public et les bonnes moeurs356
214. Les recours latéraux356
Section 4
L'objet et la cause illicites : l'ordre public, les bonnes moeurs et les lois impératives
215. Position de la question357
§ 1. - L'ordre public, les bonnes moeurs, les lois impératives
216. L'ordre public : définition358
217. Les bonnes moeurs359
218. Faut-il distinguer entre l'ordre public et les bonnes moeurs ?359
219. Les lois impératives360
220. Conséquences de la distinction - 1° Le régime des nullités361
221. (suite) 2° Possibilités de dérogations à ces différentes règles364
222. Critère de la distinction entre une règle d'ordre public et une règle impérative365
223. La violation d'une loi d'ordre public étrangère367
224. L'ordre public international belge - Notion368
225. L'ordre public en droit judiciaire370
§ 2. - Sanction de la violation de l'ordre public, des bonnes moeurs et des lois impératives
A. Violation de l'ordre public et des bonnes moeurs
226. Principes371
227. Nullité d'une clause ou nullité de toute la convention371
228. Cas de l'objet illicite373
229. Conditions complémentaires en cas de cause illicite - Le caractère déterminant du mobile illicite373
230. (suite) Caractère commun ou non des mobiles illicites375
231. Sanction complémentaire : les deux adages - L'adage Nemo auditur turpitudinem suam allegans381
232. (suite) L'adage In pari cause turpitudinis cessat repetitio383
B. Violation des lois impératives
233. Principes389
§ 3. - Cas d'application - Exemples
234. Objet du présent paragraphe 390
A. Exemples de lois d'ordre public ou impératives
235. Lois d'ordre public391
236. Lois impératives392
B. Quelques applications de ces notions en jurisprudence
237. Quelques règles fondamentales de droit civil393
238. Fraude aux droits de tiers - Fraude à la loi - Renvoi395
239. Les conventions entre concubins395
240. Clauses de célibat397
241. Conventions diverses en droit de la famille et des régimes matrimoniaux397
242. Jeux de hasard398
243. Architectes et entrepreneurs400
244. Conventions relatives à l'activité économique et professionnelle401
Section 5
La forme comme condition de validité des contrats
245. Principes402
246. Le formalisme de protection de la volonté403
247. Le formalisme probatoire404
248. Le formalisme de publicité404
249. Le formalisme d'information405
250. Le formalisme fiscal ou administratif406
251. La forme dans les contrats électroniques - Renvoi407
Section 6
La sincérité de la volonté des parties : la théorie de la simulation
§ 1. - Introduction : le concept de simulation
252. Objet de la théorie de la simulation407
253. Définition générale de la simulation408
254. Conceptions extensive et restrictive de la théorie de la simulation409
255. Simulation et apparence410
256. Caractère licite de la simulation411
§ 2. - La définition de la simulation - Son champ d'application
257. Éléments constitutifs de la simulation411
A. Les deux conventions
258. L'acte ostensible et la contre-lettre - Rapports entre les deux conventions411
259. La contre-lettre412
B. Élément intentionnel
260. Principe413
C. Conséquences de cette définition
261. Position de la question413
262. Cas où la simulation est exclue414
263. Actes juridiques unilatéraux - Actes juridiques collectifs415
264. Élection de command - Commission419
265. Fiducie - Fraude à la loi419
§ 3. - Les degrés dans la simulation
266. Principes420
267. Acte fictif420
268. Acte déguisé en totalité421
269. Déguisement partiel422
270. Interposition de personnes422
§ 4. - Caractère licite de la simulation
271. Principe423
272. Nullité résultant du seul recours à la simulation423
273. La simulation frauduleuse425
274. Exemples427
275. Rapports entre la simulation et la fraude paulienne427
§ 5. - Les effets de la simulation
276. Principes428
A. Distinction entre les parties et les tiers
277. Règles générales429
278. Cas particuliers431
279. Cas particulier du fisc432
B. Effets de la simulation entre les parties
280. Principe432
281. Dispositions contractuelles qui lient les parties432
282. (suite) Vice affectant la contre-lettre433
283. (suite) Inapplication de l'adage Nemo auditur... à l'action en déclaration de simulation434
284. La simulation illicite - Conséquences435
285. Règles particulières en matière de donation déguisée437
286. Cas particulier des donations déguisées par interposition de personnes440
C. Effets de la simulation envers les tiers
287. Principe440
288. Conditions de ce choix : la bonne foi441
289. (suite) Le teirs doit-il démonter un préjudice ? - Portée de l'article 1321 du Code civil444
290. Conséquences du choix445
291. Situation des tiers exerçant leurs options en sens différents447
§ 6. - L'action en déclaration de simulation
292. Principes - Autonomie de l'action en déclaration de simulation449
293. Preuve de la simulation449
294. Prescription451
§ 7. - Questions particulières
A. Simulation et prête-nom
295. Position de la question451
296. Première solution : application de la théorie de la simulation453
297. Autre conception : le prête-nom serait étranger à la simulation455
B. Simulation et fiducie
298. Position de la question458
299. Fudicie et simulation459
C. Simulation, fraude à la loi et fraude aux droits des tiers
300. Position de la question - La notion de fraude à la loi interne460
301. Faut-il admettre le concept de fraude à la loi ? - Position de la question462
302. La fraude à la loi en droit international privé462
303. La fraude à la loi est écartée en droit fiscal464
304. La théorie de la fraude à la loi doit-elle être admise pour le surplus en droit interne ?467
305. (suite) Critique de la théorie474
306. Fraude aux droits des tiers476
307. L'adage Fraus omnia corrumpit comme principe général du droit479
308. Portée et signification de l'adage481
309. Conditions de l'application de l'adage484
310. (suite) Ce comportement doit être frauduleux485
Chapitre 4
Les étapes de la formation des contrats (formation du contrat du point de vue dynamique)
311. Objet du présent chapitre491
Section 1
Les pourparlers préliminaires
312. Notion491
313. Distinction entre les pourparlers préliminaires et l'offre492
314. Cas d'application - Exemples493
315. Effets de pourparlers préliminaires494
316. Les avant-contrats496
Section 2
La formation du contrat : l'offre et son acceptation
§ 1. - La théorie de l'offre
317. Définition de l'offre500
318. Éléments constitutifs de l'offre501
319. Force obligatoire de l'offre - Fondements501
320. Conséquences : effets de l'offre503
321. L'offre au public505
322. Les offres spécialement réglementées506
323. Régime particulier : la vente internationale de marchandises508
§ 2. - L'acceptation et la formation du contrat
324. Principes508
325. Éléments sur lesquels doit se rencontrer l'accord des parties pour que le contrat se forme : éléments essentiels et éléments substantiels509
326. Acceptation et conclusion du contrat entre parties non présentes512
327. (suite) Le système de l'émission513
328. (suite) Le système de la réception514
329. L'acceptation tacite - Le silence circonstancié516
330. Les conditions générales518
331. Conditions générales - (suite) Connaissance de celles-ci521
332. Conditions générales - (suite) Acceptation des conditions générales524
333. Protection du consommateur - Régimes particuliers528
334. Les contrats électroniques530
Section 3
La responsabilité précontractuelle
(la culpa in contrahendo)
§ 1. - Règles générales
335. Position de la question535
336. Fondements de la responsabilité précontractuelle536
337. Les trois hypothèses retenues par la jurisprudence et la doctrine récentes538
§ 2. - Cas où le contrat ne se conclut pas
338. La rupture abusive des pourparlers précontractuels539
339. (suite) Dommage réparable542
340. Autres hypothèses546
341. Non-renouvellement d'un contrat546
§ 3. - Cas où le contrat est annulé
342. Principes547
343. Applications - Vices de consentement547
344. (suite) Autres vices affectant le contrat548
345. Dommage réparable550
§ 4 - Cas où le contrat est formé et maintenu
346. Principes551
347. Applications - Défaut d'information552
348. Applications - Manquement à une obligation de conseil553
349. Obligations d'information et de conseil prescrites par le législateur554
Section 4
Le refus de contracter - Le contrat obligatoire
350. Position de la question - Plan555
§ 1. - Le principe
351. La liberté de ne pas contracter556
§ 2. - L'obligation légale de contracter
A. Position de la question
352. Principes558
353. Hypothèses où l'obligation de contracter résulte du mécanisme d'institutions de nature contractuelle ou précontractuelle559
B. L'offre permanente - Monopoles de droit - Services publics
354. Un concept traditionnel : les entreprises en état d'offre permanente560
355. (suite) L'état d'offre permanente dérivant d'engagements pris par des entreprises562
356. (suite) Exemples en matière de médias563
357. Autres exemples d'offre permanente imposée par la loi - Télécommunications - Électricité - Gaz565
358. (suite) Établissements de crédit566
C. La concurrence économique : l'organisation du marché
359. La réglementation des prix567
360. Le droit de la concurrence - Vues générales570
361. (suite) Application au refus de contracter575
362. La licence obligatoire en matière de brevets578
§ 3. - Le droit commun : l'abus du droit de ne pas contracter
363. Principes580
364. (suite) Raisonnement à suivre582
365. (suite) Applications - Refus de poursuivre des relations d'affaires habituelles585
366. (suite) Refus de contracter entre entreprises n'ayant pas des relations d'affaires antérieures586
Section 5
La promesse de contrat
§ 1. - Définition et règles générales
367. Définition590
368. Licéité de la promesse de contrat591
369. Distinctions avec d'autres institutions voisines592
§ 2. - Conditions de validité de la promesse - Durée
370. Conditions de validité de la promesse593
371. Durée de la promesse593
§ 3. - Effets de la promesse
A. Effets de la promesse entre les parties
372. Effets de la promesse avant la levée de l'option594
373. Effets de la levée de l'option596
374. Effets de la promesse à défaut de la levée de l'option597
B. Effets de la promesse envers les tiers
375. Principe : effet relatif des contrats598
376. Exception : tierce complicité598
§ 4. - Quelques applications
377. Principes599
378. La promesse de vente599
379. La promesse d'hypothèque600
380. Le pacte de préférence601
Chapitre 5
L'interprétation des contrats
Section 1
Introduction - Principes
381. Position de la question605
382. Champ d'application des dispositions ici examinées605
383. L'interprétation est une question de fait606
384. Sources particulières en matière d'interprétation607
385. Quand y a-t-il lieu à interprétation ? - Première hypothèse : les parties se sont mal exprimées608
386. (suite) Deuxième hypothèse : les parties se sont exprimées de manière lacunaire608
387. La rectification des erreurs matérielles610
Section 2
Les règles fondamentales à suivre par l'interprète
388. Principes610
§ 1. - La recherche de la commune intention des parties : l'article 1156 du Code civil
389. Règle de base611
390. Autres critères possibles en matière d'interprétation613
391. Éléments sur lesquels le juge peut se fonder pour interpréter un contrat613
§ 2. - Le respect de la foi due à l'acte (C. civ., art. 1319, 1320 et 1322)
392. Principe615
393. Les actes prétendument clairs617
§ 3. - La prééminence de la preuve écrite (C. civ., art. 1341)
394. Respect du principe de la hiérarchie des preuves620
§ 4. - Le respect de la convention-loi (C. civ., art. 1134)
395. L'interprétation et l'article 1134, alinéa 1er, du Code civil622
Section 3
Les préceptes d'interprétation
§ 1. - Règles générales
396. Position de la question - Portée et rôle des préceptes d'interprétation624
§ 2. - Les préceptes d'interprétation édictés par le Code civil ou par d'autres lois
397. Nature de ces préceptes625
398. L'article 1157 du Code civil627
399. Quelques préceptes évidents628
400. Le renvoi aux usages628
401. L'interprétation en faveur du débiteur (C. civ., art. 1162)632
402. L'interprétation en faveur du consommateur ou de la partie réputée faible633
§ 3. - Les préceptes d'interprétation élaborés par la jurisprudence
403. Principes634
404. Interprétation stricte des clauses dérogatoires au droit commun634
405. Prééminence des clauses particulières sur les clauses générales636
406. Interprétation contre le rédacteur de la convention637
Section 4
La qualification du contrat
407. Position de la question - Règles à suivre638
408. Importance de la qualification adoptée par les parties640
409. Contrôle de la qualification par la Cour de cassation641
Section 5
Synthèse - Le raisonnement de l'interprète
410. Les étapes du raisonnement de l'interprète641
Chapitre 6
Les effets des contrats
Section 1
Introduction - Position de la question
411. Les effets internes et les effets externes des contrats645
412. Plan646
Section 2
Les notions de parties et de tiers à un contrat
413. Position de la question647
§ 1. - Les personnes intervenant directement ou par représentation
414. Les personnes intervenant directement647
415. Les personnes intervenant par l'effet de la représentation648
416. La représentation parfaite648
417. La représentation imparfaite649
§ 2. - Les ayants cause universels ou à titre universel des parties
418. Principe652
418. Cas de transmission universelles ou à titre universel653
420. Exception lorsque l'ayant cause universel ou à titre universel fait valoir un droit propre654
§ 3. - Autres hypothèses : action oblique - Cession de contrat - Novation - Subrogation - Adhésion à un contrat préexistant
421. Action oblique654
422. Cession de contrat. - Novation - Subrogation655
422-1. Adhésion à un contrat préexistant655
§ 4. - Conclusion : les tiers
423. Définition des tiers par exclusion655
Section 3
Les effets externes des contrats envers les tiers
§ 1. - Le principe des effets externes des contrats
424. La reconnaissance du principe des effets externes des contrats657
425. Fondement de la règle658
426. Portée de la règle659
427. Applications : opposabilité aux tiers des effets du contrat entre les parties contractantes661
428. Applications - Référence à une convention pour déterminer les conséquences pouvant en être déduites pour un tiers663
429. Applications - L'article 1165 du Code civil et les tiers665
§ 2. - L'article 1165 du Code civil et la théorie de la tierce complicité de la violation d'une obligation contractuelle
430. Position de la question667
431. Conditions de la mise en oeuvre de la « tierce complicité » - Les thèses en présence668
432. (suite) Évolution de la jurisprudence de la Cour de cassation669
433. Conclusions : conditions de la tierce complicité674
434. Sanction676
435. Applications676
§ 3. - Exceptions au principe de l'opposabilité de plein droit des effets externes des contrats aux tiers
436. Principes678
437. Contrats dont les effets externes sont subordonnés à des formalités de publicité678
438. Conventions privées d'effets externes de plein droit à titre de mesure de protection ou de sanction680
Section 4
Exceptions à l'article 1165 du Code civil : cas où les contrats produisent des effets internes envers des tiers
439. Introduction683
§ 1. - La stipulation pour autrui
A. Notion - Définition
440. Définition684
441. Natur juridique684
B. Conditions de la stipulation pour autrui
442. Conditions de la validité de toute convention685
443. (suite) Conditions de forme686
444. Conditions spécifiques de la stipulation pour autrui686
C. Effets de la stipulation pour autrui
445. Effet fondamental : création d'un droit direct au profit du tiers contre le promettant691
446. Conséquences de cette analyse692
447. Conséquences du caractère accessoire de la stipulation pour autrui694
448. La révocation et l'acceptation de la stipulation pour autrui696
449. Pas de possibilité de créer des obligations à charge du tiers bénéficiaire698
D. Applications
450. Position de la question698
451. Application en matière d'assurances - Assurance vie - Assurance accident699
452. (suite) L'assurance « pour compte » - Autres cas d'assurance700
453. (suite) Libéralités703
454. (suite) Autres hypothèses703
§ 2. - L'action directe
A. Notion - Définition - Fondement
455. Position de la question706
456. Définition706
457. Effets fondamentaux de l'institution707
458. Les controverses708
459. Explication et fondement de l'institution709
B. Conditions de l'action directe
460. Position de la question709
461. La source de l'action directe710
462. Conséquence : rejet de l'action directe en l'absence de disposition législative l'instituant711
463. (suite) Contestation de la théorie légaliste en doctrine712
464. La créance du titulaire de l'action directe contre le débiteur intermédiaire715
465. La créance du débiteur intermédiaire contre le sous-débiteur717
466. Lien entre la créance du titulaire de l'action directe et le contrat existant entre le débiteur intermédiaire et le sous-débiteur dans lequel il puise son droit718
467. Caractéristiques que doivent revêtir ces deux créances720
C. Cas d'actions directes
468. Position de la question722
1. Les cas prévus par le Code civil
469. L'action directe et le Code civil - Bail722
470. (suite) Le cas du mandataire substitué723
471. (suite) L'article 1798 du Code civil725
2. Les actions directes en matière d'assurance
472. Position de la question726
473. Les accidents de la circulation726
474 Les articles 86 à 88 de la loi du 25 juin 1992 : les actions directes en matière d'assurances de responsabilité729
475 L'action directe en matière de responsabilité locative - L'article 68 de la loi du 25 juin 1992731
476. Autres assurances732
477. Accidents du travail732
3. Autres cas
478. Recours des centres publics d'action sociale contre des tiers733
479. Prétendues action directes de l'employeur en matière de contrats de travail733
D. Les effets de l'action directe
1. Règles générales
480. Position de la question733
481. Premier effet commun à toutes les action directes : double recours in solidum734
482. Relations entre le débiteur intermédiaire et le titulaire de l'action directe736
2. Régime de droit commun
483. Champ d'application736
484. Exercice de l'action directe736
485. Régime des exceptions opposables par le sous-débiteur738
486. Le droit de préférence à l'égard des créanciers du débiteur intermédiaire - Distinction avec l'action oblique741
487. (suite) Faillite du débiteur intermédiaire - Concours - Saisie - Dissolution d'une société741
488. (suite) Cession de créance - Dation en gage de la créance747
3. Régimes de protection renforcée
489. Champ d'application748
490. Fixation du droit du titulaire de l'action directe748
491. Régime des exceptions résultant des relations entre le titulaire de l'action directe et le débiteur intermédiaire749
492. Régime des exceptions déduites des relations entre sous-débiteur et le débiteur intermédiaire750
493. (suite) Régime de protection renforcé en matière d'opposabilité des exceptions nées des rapports entre le sous-débiteur et le débiteur intermédiaire750
494. (suite) Recours du sous-débiteur (assureur)753
495. Droit de préférence par rapport aux acteurs créanciers du débiteur intermédiaire753
§ 3. - Transmission de créances accessoirement à la transmission de certains biens
496. Position de la question754
497. Cas d'application756
498. Fondement juridique de l'institution758
499. Régime juridique de l'institution759
§ 4. - Adhésion à un contrat préexistant
500. Position de la question763
501. Autres applications - Opérations de transport - Commissionnaires-expéditeurs765
502. (suite) Mandataire substitué - Commissionnaire substitué766
§ 5. - La cession de contrats - Renvoi
503. Position de la question - Renvoi767
§. 6 - Les groupes de contrats (ou ensembles contractuels)
A. Les groupes de contrat en général
504. Position de la question768
505. Les groupes de contrats769
506. Évolution en France772
507. Évolution de la question en droit belge773
508. Fondements de recours dérogeant à l'article 1165 du Code civil en matière de groupes de contrats774
508-1. (suite) Recours extracontractuels776
509. Incidence d'un contrat sur les autres contrats faisant partie d'un ensemble776
510. Negotium unique traduit dans plusieurs instrumentums777
511. Liens établis par le législateur779
B. Le cas particulier de l'agent d'exécution
512. Position de la question780
513. Questions qui se posent780
514. Le recours à l'agent d'exécution et la responsabilité contractuelle pour autrui783
515. Le recours du créancier des services contre l'agent d'exécution784
516. Recours de l'agent d'exécution contre le créancier des services791
517. Évolution de la jurisprudence française792
518. Considérations critiques795
§ 7. - La promesse pour autrui
519. Prohibition de la promesse pour autrui798
§ 8. - Le porte-fort
520. La convention de porte-fort799
521. Modalités de l'engagement du porte-fort800
522. Caractères de l'obligation assumée par le porte-fort801
523. Objet de l'obligation assumée par le porte-fort803
524. Champ d'application de la convention de porte-fort804
525. Effets de la convention de porte-fort avant l'accomplissement par le tiers de la prestation promise805
526. Effets de la convention de porte-fort après l'accomplissement par le tiers de la prestation806
527. Effets de la convention de porte-fort à défaut d'accomplissement par le tiers de la prestation promise807
528. Applications particulières en matière de sociétés et d'A.S.B.L.809
Section 5
L'effet interne des contrats
§ 1. - L'exécution des contrats
A. Principe : l'exécution des obligations résultant du contrat
529. Principes - Renvoi810
B. La théorie de l'imprévision
530. Définition812
531. Droit comparé - France813
532. (suite) Droit comparé - Allemagne - Italie - Suisse - Unidroit815
533. (suite) Droit comparé - Common law816
534. Droit belge - Position de la question816
535. Rejer de la théorie de l'imprévision par la jurisprudence belge817
536. Interventions du législateur820
537. Évolution de la doctrine belge823
538. La théorie de l'imprévision dans les marchés publics824
539. (suite) Conditions d'application et effets de l'imprévision en matière de marchés publics827
540. Les clauses de hardship828
C. La théorie des sujétions imprévues
541. Les sujétions imprévues830
542. Fondement de la théorie831
§ 2. - L'inexécution des contrats
543. Position de la question - Plan833
A. Règles générales : l'exécution directe des contrats et la responsabilité contractuelle
1. Introduction - Les recours ouverts au créancier
544. Recours ouverts au créancier d'une obligation contractuelle inexécutée - Controverses834
545. Articulation des recours ouverts au créancier835
2. Le principe de l'exécution directe en nature
546. Le principe de l'exécution en nature838
547. Absence d'option du créancier ou du juge840
548. L'exécution en nature à l'encontre des pouvoirs publics841
549. Première limite : l'exécution en nature ne peut, en règle, entraîner une contrainte physique sur la personne842
550. Deuxième limite : pas d'exécution en nature lorsque la loi l'exclut844
551. Troisième limite : l'exécution en nature n'est plus possible ou ne présenterait plus d'intérêt pour le créancier846
552. Quatrième limite : la séparation des pouvoirs846
553. Cinquième limite : l'abus de droit847
554. Efficacité du principe de l'exécution en nature : les astreintes847
555. (suite) L'exécution en nature et le juge des référés849
3. La faculté de remplacement : l'exécution par un tiers en vertu des articles 1143 et 1144 du Code civil
556. La faculté de remplacement : mécanisme de base854
557. Inapplication des articles 1143 et 1144 aux pouvoirs publics856
558. Remplacement sans autorisation préalable du juge857
559. (suite) Application à toute espèce de contrats859
560. Clauses relatives au remplacement861
4. La responsabilité contractuelle - Renvoi
561. Renvoi862
B. Règles propres aux contrats synallagmatiques
1. Introduction
562. Position de la question862
563. Champ d'application de ces institutions particulières863
2. La théorie des risques
564. Mécanisme et fondement de la théorie des risques865
565. Le droit commun de la théorie des risques : res perit debitori866
566. Le cas particulier des obligations de donner : res perit domino867
567. (suite) Restitutions à la suite de la dissolution ex tunc d'une convention comportant un transfert de propriété868
568. Conséquences de la théorie des risques869
569. Applications872
3. L'exception d'inexécution (exceptio non adimpleti contractus)
570. Mécanisme et fondement de l'exception d'inexécution873
571. Double fonction de l'exception d'inexécution874
572. Comparaison avec les deux autres institutions propres à l'inexécution des contrats synallagmatiques875
573. Champ d'application de l'exception d'inexécution876
574. Conditions d'application de l'exception d'inexécution878
575. Conditions (suite) - Respect du principe de la bonne foi882
576. Effets de l'exception d'inexécution - Rapports entre les parties886
577. (suite) Contrôle a posteriori - Charge de la preuve888
578. (suite) Effet en cas de cession de créance ou d'action directe889
579. Effets envers les tiers890
580. Conventions dérogatoires892
581. (suite) Contrats d'assurance893
4. La résolution pour inexécution fautive (C. civ., art. 1184)
a) Mécanisme et fondement du pacte commissoire tacite
582. La résolution du contrat pour inexécution fautive - Mécanisme de base895
b) Champ d'application
583. Champ d'application de l'article 1184 du Code civil897
584. (suite) Champ d'application - Contreverses898
c) Exercice du recours
585. L'exercice du recours : mise en demeure903
586. L'exercice de l'action par le créancier904
587. L'option du créancier906
588. (suite) Cas où l'option est exclue909
d) L'intervention du juge
589. L'intervention du juge909
590. (suite) Cas dans lesquels l'intervention du juge n'est pas requise913
591. (suite) La résolution sur déclaration - Consécration par la Cour de cassation916
e) Effets de la résolution
592. Effets de la résolution921
593-1. Exceptions édictées par le législateur926
f) Les dommages-intérêts complémentaires
594. Les dommages-intérêts complémentaires926
g) Le pacte commissoire exprès
595. Le pacte commissoire exprès928
596. Modalités et effets du pacte commissoire exprès930
597. (suite) Effets - Règles communes932
C. Le droit de rétention
1. Notion - Mécanisme de base
598. Notion - Mécanisme du droit de rétention935
599. Controverses936
600. Comparaison avec d'autres institutions936
2. Conditions du droit de rétention
601. Conditions du droit de rétention939
602. (suite) Connexité entre la créance et la chose942
3. Effets du droit de rétention
a) Rapports entre les parties à l'opération
603. Effets du droit de rétention entre le rétenteur et le créancier de la livraison ou de la restitution945
b) Opposabilité du droit de rétention aux tiers
604. Effets du droit de rétention envers les tiers - Principes945
605. Opposabilité aux autres créanciers du débiteur : créanciers chirographaires et créanciers titulaires d'un privilège général946
606. Opposabilité du droit de rétention aux titulaires d'un privilège spécial, d'un nantissement ou d'une hypothèque947
607. Opposabilité du droit de rétention au verus dominus949
608. Opposabilité du droit de rétention aux ayants cause à titre particulier ou à titre universel du titulaire de l'action en délivrance ou en restitution de l'objet retenu949
c)Issue du droit de rétention
609. Impasse résultant en principe du droit de rétention950
610. Dénouement possible de la situation950