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Livre

Les discours de la sympathie. 2 , Enjeux philosophiques et migrations conceptuelles

Résumé

Etude de la notion de sympathie pendant l'Antiquité grecque, la période médiévale et la Renaissance, prolongée par l'analyse de ce que les philosophes des XIXe et XXe siècles ont conservé ou modifié par rapport à la conception classique. ©Electre 2014


  • Contributeur(s)
  • Éditeur(s)
  • Date
    • 2014
  • Notes
    • Textes issus d'un colloque qui s'est tenu à Rouen les 12, 13 et 14 mars 2009 organisé par l'Université de Rouen et l'Université de Laval (Québec) avec la collaboration de l'Ecole normale supérieure de Lyon.
  • Langues
    • Français
  • Description matérielle
    • 1 vol. (280 p.) ; 23 x 15 cm
  • Collections
  • Titre(s) d'ensemble
  • Sujet(s)
  • ISBN
    • 978-2-7056-8865-3
  • Indice
  • Quatrième de couverture
    • Les Discours de la sympathie

      Enjeux philosophiques et migrations conceptuelles

      Les discours de la sympathie. Enjeux philosophiques et migrations conceptuelles s'inscrit dans le sillage de Discours de la sympathie. Enquête sur une notion de l'âge classique à la modernité, initialement paru sous la direction de Thierry Belleguic, Éric Van der Schueren et Sabrina Vervacke aux Presses de l'Université Laval (2007) et dont une version révisée vient de paraître dans la présente collection.

      Le premier volume, largement consacré aux corpus littéraires et philosophiques des XVIIe et XVIIIe  siècles, laissait dans l'ombre, à dessein, tout un ensemble de questions. C'est à ces questions que le second volume propose d'apporter des linéaments de réponses : ils partent de ce que les Grecs ont élaboré de la notion (Platon, Aristote, les Stoïciens, les Épicuriens), cheminent à travers le Moyen Âge et la Renaissance (G. Bruno), abordent des auteurs de la période classique que le précédent volume n avait pas traités (Descartes, Spinoza, Leibniz) ou revisitent des corpus que celui-ci n'avait que partiellement explorés (Hume, Rousseau). Par delà le XVIIIe siècle, ces linéaments interrogent ce que les auteurs, ceux-là plus philosophes que littéraires, ont retenu, retranché, modifié de la notion aux XIXe (Bentham, Ribot, Guyau) et XXe siècles (Bergson, Husserl, Lipps, Scheler), jusqu'à nos jours. Ce supplément n'exclut pas des développements futurs. Il les inciterait plutôt.

      Par l'expression « République des Lettres », nous faisons nôtre la représentation que les gens de lettres avaient d'eux-mêmes aux XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles, à savoir une organisation d'individus qui transcende les frontières politiques et linguistiques en même temps qu'elle fédère les savoirs dans une communauté d'évidence que la modernité a abolie par le fait de l'autonomisation des compétences et des disciplines.

      C'est pour rendre plus justement raison de cette représentation ancienne que nous avons voulu Les collections de la République des Lettres comme lieu de la rencontre objective des savoirs et des discours.

      Nos publications couvrent la période historique qui va des Grandes Découvertes jusqu'aux prodromes de la Révolution industrielle. Elles sont subdivisées pour l'heure en quatre séries :

      • « Sources », qui accueille des éditions critiques et des transcriptions de textes inédits ou difficilement accessibles.
      • « Études », qui offre, selon des perspectives critiques variées, des monographies portant sur des sujets de nature scientifique, littéraire, historique, philosophique ou religieuse.
      • « Symposiums », qui regroupe des ouvrages collectifs organisés autour de questions directement afférentes au concept qui organise la collection.
      • « Les Cahiers », qui diffuse les travaux de jeunes chercheurs.

  • Origine de la notice:
    • Electre
  • Disponible - 840(091)"16" DIS

    Niveau 3 - Langues et littératures