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Livre

Plus forte que la mort : l'amitié féminine dans les camps : Germaine Tillion, Geneviève de Gaulle, Odette Abadi, Simone Veil, Margarete Buber-Neumann, Odette Fabius...

Résumé

A partir de témoignages de survivantes, l'auteure évoque l'amitié féminine dans les camps de concentration et son rôle central dans la survie des détenues. ©Electre 2015


  • Éditeur(s)
  • Date
    • 2015
  • Notes
    • Bibliogr. p. 157-168. Index
    • La couverture porte en sous-titre : survivre grâce à l'amitié dans les camps de concentration
  • Langues
    • Français
  • Description matérielle
    • 1 vol. (174 p.) ; 23 x 16 cm
  • Collections
  • Sujet(s)
  • ISBN
    • 978-2-7373-6649-9
  • Indice
  • Quatrième de couverture
    • Germaine Tillion, Geneviève de Gaulle, Odette Abadi, Simone Veil, Margarete Buber-Neumann, Odette Fabius, toutes les déportées témoignent de l'importance de l'amitié comme vecteur de survie, que ce soit à Ravensbrück, Auschwitz-Birkenau ou dans les commandos de travail forcé.

      On ne pouvait pas vivre seules», disent-elles et nous découvrons dans ce livre comment elles ont pu s'appuyer sur une amie, une soeur, une mère, une religieuse, un groupe de résistantes patriotes, ou une inconnue dont un geste d'affection a pu les sauver du naufrage.

      Acte de résistance à la déshumanisation, l'amitié est aussi l'expression d'une expérience nouvelle de sororité/fraternité, qui tisse un lieu social «plus profond» que celui qu'elles connaissent à travers la solidarité familiale, politique, voire la sexualité. Par-delà les clivages sociaux qui subsistent, de manière parfois choquante, entre les déportées de nationalités différentes ou entre triangles rouges françaises et triangles noirs allemandes, «politiques» et «asociales», par-delà l'extrême misère générée par la violence nazie, l'amitié demeure cette force de vie humaine et sociale qui les sort de leur statut de victime.


  • Origine de la notice:
    • Electre
  • Disponible - 930.748 BON

    Niveau 2 - Histoire