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Résumé

Une nouvelle édition de ce traité de physiologie humaine qui réunit l'ensemble des connaissances pour comprendre le fonctionnement de l'organisme : les cellules, les organes et les appareils, les systèmes de contrôle nerveux et endocrine. Une illustration révisée, des techniques d'apprentissage et des exercices résolus complètent l'ouvrage. ©Electre 2015


  • Contributeur(s)
  • Éditeur(s)
  • Date
    • DL 2015
  • Notes
    • Index. Glossaire.
  • Langues
    • Français
    • , traduit de : Anglais
  • Description matérielle
    • 1 vol. (pagination multiple 590-[117] p.) : ill. en coul. ; 28 cm
  • Titre(s) en relation
  • Sujet(s)
  • ISBN
    • 978-2-8041-8996-9
  • Indice
    • 612 Physiologie humaine
  • Quatrième de couverture
    • Physiologie humaine

      « Apprendre et comprendre comment fonctionne l'organisme en 750 pages en couleurs, couvrant toutes les grandes fonctions physiologiques »

      Nouveautés et adaptations de la 3e édition

      Dans cette 3e édition près de 90 % des figures ont été retouchées. La plupart des images des cellules et des figures anatomiques sont nouvelles, elles sont plus réalistes et en perspective.

      Dans cette édition, des fiches de révision pour chaque chapitre ont été ajoutées à la fin du livre afin que les étudiants puissent réviser les points clés. Des problèmes de réflexion permettent aux étudiants d'analyser des cas cliniques et des symptômes à partir de leurs connaissances.

      Un contenu riche et pédagogique

      Tout est mis en oeuvre, dans ce livre, pour aider l'étudiant dans son apprentissage : des contenus riches, détaillés et actuels ; de nombreuses aides et précisions à propos de la théorie ainsi qu'une structure claire et logique. De plus, la théorie est ponctuée d'analogies et de références à l'expérience quotidienne.

      Des schémas et illustrations de qualité

      Les schémas et illustrations sont proposés dans des couleurs nettes et de qualité. Les couleurs utilisées respectent celles observées dans la réalité pour une meilleure compréhension et intégration des informations.

      Un guide de révision

      Cet ouvrage a été pensé de manière à favoriser l'apprentissage de la physiologie et tout particulièrement l'homéostasie. Des notes cliniques viennent ponctuer le discours théorique, des exercices de révision sont disponibles à la fin de chaque chapitre et, à la fin du livre, se trouvent des compléments d'informations au sujet de chaque chapitre, nommés « cartes d'étude ».

      ¤ Des exercices de révision à la fin de chaque chapitre

      ¤ Des illustrations plus réalistes

      ¤ Des notes cliniques sur la physiopathologie et la physiologie clinique

      ¤ Des tableaux recapitulatifs pratiques pour étudier

      ¤ Des fiches de résumés à la fin du livre


  • Tables des matières
      • Physiologie humaine

      • Sherwood

      • de boeck

      • 1 Introduction à la physiologie et à l'homéostasie1
      • Introduction à la physiologie 1
      • La physiologie et focalise sur les mécanismes d'action1
      • La structure et la fonction sont inséparables1
      • Niveaux d'organisation dans l'organisme 1
      • Le niveau chimique : l'organisme est composé d'une variété de molécules et d'atomes2
      • Le niveau cellulaire : les cellules, unités de base de la vie2
      • Le niveau tissulaire : les tissus sont des groupements de cellules de même spécialisation3
      • Le niveau des organes : un organe est une unité fonctionnelle faite de différentes tissus4
      • Le niveau du système corporel : un système est un ensemble d'organes connexes5
      • Le niveau de l'organisme : les systèmes corporels forment un organisme fonctionnel complet5
      • Le concept d'homéostasie 5
      • Les cellules de l'organisme sont en contact avec un environnement interne très contrôlé5
      • Les systèmes de l'organisme maintiennent l'homéostasie, un état d'équilibre dynamique de l'environnement interne7
      • Les systèmes de contrôle homéostasique 11
      • Les systèmes de contrôle homéostasique peuvent opérer localement ou globalement11
      • Le retrocontrôle négatif s'oppose à un changement initial et est largement utilisée pour maintenir l'homéostasie11
      • Un rétrocontrôle positif amplifie un changement initial14
      • Des perturbations dans l'homéostasie peuvent mener à la maladie ou la mort15
      • 2 Physiologie cellulaire19
      • Observation des cellules 19
      • Généralités sur la structure cellulaire 19
      • La membrane cellulaire forme la frontière de la cellule20
      • Le noyau contient l'ADN20
      • Le cytoplasme comporte différents organites, le cytosquelette et le cytosol21
      • Réticulum endoplasmique et synthèse localisées 21
      • Le réticulum endoplasmique rugueux synthétise les protéines destinées à la sécrétion ou à la construction de membranes21
      • Le réticulum endoplasmique lisse empaquette les nouvelles protéines dans des vésicules de transport21
      • Appareil de Golgi et exocytose 22
      • Des vésicules de transport portent vers le complexe de Golgi leur contenu qui y subit des modifications additionnelles22
      • Le complexe de Golgi conditionne les vésicules de sécrétion destinées à l'exocytose23
      • Lysosomes et endocytose 24
      • Les matériaux extracellulaires destinés à l'attaque des lysosomes sont importés dans la cellule par la phagocytose24
      • Les lysosomes suppriment les organites usés25
      • Peroxysomes et détoxification 25
      • Les peroxysomes contiennent des enzymes oxydants qui détoxifient de nombreux déchets25
      • Mitochondries et production d'ATP 26
      • Les mitochondries sont entourées d'une double membrane26
      • Les mitochondries jouent un rôle essentiel dans la production d'ATP27
      • La cellule produit plus d'énergie en aérobie qu'en anaérobie30
      • L'énergie stockée dans l'ATP est employée pour des synthèses, des transports de matières et du travail mécanique33
      • Le cytosol, gel cellulaire 33
      • Le cytosol a un rôle important au niveau de métabolisme intermédiaire, de la synthèse protéique ribosomale, et du stockage des nutriments34
      • Le cytosquelette : « squelette et muscle » de la cellule 35
      • Les microtubules contribuent à la forme irrégulière de la cellule et à certains de ses mouvements complexes35
      • Les microfilaments sont importants pour les systèmes contractiles cellulaires et en tant que tuteurs38
      • Les filaments intermédiaires sont importants dans les régions cellulaires soumises à des contraintes mécaniques39
      • 3 Membrane cellulaire et potentiel de membrane43
      • Structure et fonctions de la membrane 43
      • La membrane cellulaire est faite d'une double couche de lipides dans laquelle sont enchâssées des protéines43
      • La double couche lipidique est la structure de base de la barrière qui entoure la cellule45
      • Les protéines de la membrane remplissent une variété de fonctions spécifiques45
      • Les glucides de la membrane sont des marqueurs d'identité47
      • Adhérence entre cellules 47
      • La matrice extracellulaire a le rôle de « colle » biologique47
      • Certaines cellules sont reliées directement par des jonctions spécialisées48
      • Généralités sur les transports membranaires 49
      • Les substances liposolubles de toutes tailles de même que les substances hydrosolubles de petite taille peuvent traverser la membrane plasmique sans assistance50
      • Le transport transmembranaire actif de substances utilise de l'énergie alors que le transport passif n'en utilise pas50
      • Le transport membranaire non assisté 50
      • Les particules qui peuvent traverser passivement la membrane plasmique diffusent en suivant leur différence de concentration50
      • Les ions capables de traverser la membrane se déplacent aussi sous l'effet de leur gradient électrique52
      • L'osmose est la diffusion nette de l'eau sous l'effet de son propre gradient de concentration52
      • La tonicité renvoie à l'effet que produit, sur le volume cellulaire, la concentration de solutés ne pénétrant pas dans une solution55
      • Transport assisté à travers la membrane 55
      • Les transporteurs spécialisés modifient leur forme56
      • La diffusion facilitée correspond à un transporteur spécialisé passif58
      • Le transport actif utilise un transporteur et de l'énergie pour déplacer une substance contre son gradient de concentration58
      • Dans le transport par vésicule, des matériaux entrent dans la cellule ou en sortent enveloppés dans de la membrane62
      • Potentiel de membrane 62
      • Le potentiel de membrane correspond à la séparation de charges opposées de part et d'autre de la membrane62
      • Le potentiel de membrane est dû à la différence de concentration d'ions spécifiques et à la perméabilité de la membrane vis-à-vis de ces ions63
      • 4 Principes de la communication nerveuse et hormonale71
      • Introduction à la communication nerveuse 71
      • Les nerfs et les muscles sont des tissus excitables71
      • Le potentiel de membrane diminue en cas de dépolarisation et augmente en cas d'hyperpolarisation71
      • Les signaux électriques sont produits par des modifications des déplacements d'ions à travers la membrane cellulaire72
      • Potentiels graduels 72
      • L'amplitude d'un potentiel graduel dépend de l'intensité de l'événement déclencheur72
      • La propagation du potentiel graduel se fait de façon passive par des courants locaux73
      • Extinction des potentiels graduels sur une courte distance74
      • Potentiel d'action 74
      • Le potentiel d'action est une inversion soudaine et transitoire du potentiel de membrane75
      • D'importants changements de la perméabilité de la membrane et des déplacements d'ions sont à l'origine du potentiel d'action75
      • La pompe Na+-K+ restaure progressivement les gradients de concentration altérés par le potentiel d'action78
      • Le potentiel d'action se propage à toute la cellule excitable du collet jusqu'aux terminaisons de l'axone78
      • Après sa naissance, le potentiel se propage à toute la fibre80
      • La période réfractaire assure la propagation à sens unique du potentiel d'action81
      • Le potentiel d'action est une réponse par tout ou rien83
      • L'intensité du stimulus est codée par la fréquence des potentiels d'action83
      • La myélination augmente la vitesse de conduction du potentiel d'action83
      • Synapses et rôle intégrateur des neurones 85
      • Les synapses sont les jonctions entre des neurones pré- et postsynaptiques85
      • Un neurotransmetteur porte le message dans une synapse85
      • Certaines synapses excitent le neurone postsynaptique, d'autres l'inhibent86
      • Chaque combinaison neurotransmetteur-récepteur produit toujours la même réponse87
      • La neurotransmetteur est rapidement éliminé de la fente synaptique87
      • Le pontentiel postsynaptique final dépend de la sommation de l'activité de toutes les synapses afférentes88
      • Certains neurones sécrètent des neuromodulateurs en plus d'être des neurotransmetteurs90
      • Les drogues et la maladies peuvent modifier la transmission synaptique90
      • Les neurones forment des voies nerveuses complexes divergentes et convergentes91
      • Communication entre cellules et transduction des signaux 91
      • La communication entre les cellules est orchestrée surtout par des messagers chimiques extracellulaires91
      • Les messagers chimiques causent la réponse par la transduction du signal93
      • Certains messagers chimiques extracellulaires ouvrent des canaux qui dépendent d'eux93
      • De nombreux messagers chimiques extracellulaires activent la voie des seconds messagers via des récepteurs couplés à une protéine G93
      • Principes de la communication hormonale 94
      • Les hormones sont soit hydrophiles soit lipophiles94
      • Les modalités de synthèse, de stockage et de sécrétion des hormones diffèrent selon leurs propriétés chimiques94
      • Les hormones hydrosolubles sont transportées en solution dans le plasma tandis que les hormones liposolubles le sont par des protéines plasmatiques96
      • L'effet des hormones est, en règle générale, dû à la modification de l'activité de protéines intracellulaires96
      • Les hormones hydrophiles modifient des protéines préexistantes par l'intermédiaire du système du second messager96
      • Les hormones lipophiles stimulent la synthèse de protéines en activant des gènes99
      • Comparaison des systèmes nerveux et endocrine 100
      • Le système nerveux est « câblé » et le système endocrine est « sans fil »100
      • La spécificité nerveuse est due à la proximité anatomique et la spécificité endocrine est due à la spécialisation des récepteurs101
      • Les systèmes nerveux et endocrine ont leur propre domaine d'action mais aussi des interactions fonctionnelles101
      • 5 Système nerveux central107
      • Organisation et cellules du système nerveux 107
      • Le système nerveux est organisé en système nerveux central et système nerveux périphérique107
      • Il y a trois catégories de neurones : neurones afférents, neurones afférents et interneurones108
      • La névroglie est le support des interneurones et soutient leurs actvités métaboliques et fonctionnelles109
      • Protection et approvisionnement du cerveau 111
      • Le système nerveux central est bien protégé112
      • Le SNC a besoin de l'apport continuel par le sang de glucose et d'oxygène112
      • Généralités sur le système nerveux 112
      • Cortex cérébral 114
      • Les hémisphères cérébraux sont faits d'une couche périphérique de matière grise entourant de la substance blanche114
      • Les quatre paires de lobes cérébraux ont une spécialisation différente115
      • Les lobes pariétaux traitent les informations sensorielles115
      • Le cortex moteur primaire est situé dans les lobes frontaux et contrôle les muscles squelettiques116
      • Outre l'aire motrice primaire d'autres régions du cortex sont importantes pour le contrôle du mouvement117
      • Il y a plusieurs composantes distinctes du langage contrôlées par différentes régions du cortex119
      • Les aires associatives du cortex interviennent dans de nombreuses fonctions supérieures120
      • Il y a un certain degré de spécialisation des hémisphères cérébraux121
      • L'électroencéphalogramme est l'enregistrement de l'activité post-synaptique des neurones corticaux121
      • Noyaux de base, thalamus et hypothalamus 122
      • Les noyaux gris centraux ont un rôle inhibiteur dans le contrôle de la motricité122
      • Le thalamus est un relais sensoriel et est important dans le contrôle de la motricité123
      • L'hypothalamus est un organe régulateur de beaucoup de fonctions homéostatiques123
      • Émotion, comportement et motivation 124
      • Le système limbique a un rôle-clé dans les émotions et le comportement124
      • Le système limbique et le cortex contribuent au contrôle des comportements élémentaires124
      • Les comportements motivés ont un but125
      • La noradrénaline, la dopamine et la sérotonine interviennent comme neurotransmetteurs dans les voies des comportements et des émotions125
      • L'apprentissage et la mémoire 125
      • L'apprentissage est l'acquisition de connaissances et est le fruit de l'expérience126
      • La mémoire est acquise par étapes126
      • Les mécanismes moléculaires de la mémoire à long terme et de la mémoire à court terme sont différents127
      • Il y a des traces mnésiques (en grammes) dans de nombreuses régions du cerveau127
      • Le cervelet 128
      • Le cervelet est important pour l'équilibre et pour la planification et l'exécution du mouvement volontaire128
      • Tronc cérébral 130
      • Le tronc cérébral est un lien vital entre les centres nerveux supérieurs et la moelle épinière130
      • Le sommeil est un processus actif fait d'alternances de sommeil à ondes lentes et de sommeil paradoxal130
      • Le cycle veille-sommeil dépend probablement d'interactions de trois ensembles nerveux132
      • Le rôle du sommeil n'est pas clair132
      • Moelle épinière 132
      • La moelle épinière est située dans le canal rachidien et les nerfs rachidiens en sortent132
      • La matière blanche de la moelle épinière est organisée en faisceaux132
      • Les nerfs rachidiens contiennent des fibres afférentes et efférentes133
      • La moelle épinière est le siège de l'intégration de nombreux réflexes élémentaires133
      • 6 Système nerveux périphérique : voies afférentes, sens spéciaux141
      • Physiologie des récepteurs 141
      • La sensibilité des récepteurs n'est pas la même selon les stimuli141
      • La modification de perméabilité de l'extrémité périphérique des neurones afférents donne naissance à un potentiel récepteur graduel142
      • Le potentiel récepteur peut déclencher le potentiel d'action du neurone afférent142
      • Un récepteur peut s'adapter vite ou lentement à un stimulus persistant143
      • Les signaux afférents d'origine viscérale sont inconscients alors que ceux d'origine sensorielle sont conscients143
      • Chaque voie somatosensorielle est affectée à la modalité et au siège d'un stimulus144
      • L'acuité dépend de la taille du champ récepteur144
      • La perception est la prise de conscience de l'environnement fondée sur l'interprétation des entrées sensorielles144
      • La douleur 145
      • La stimulation des nocicepteurs cause la perception douloureuse ainsi que des réponses émotionnelles et comportementales145
      • Il y a dans le SNC un système intrinsèque d'analgésie146
      • Oeil : vision 146
      • L'oeil est une sphère pleine de liquide enveloppée dans trois couches de tissus spécialisés146
      • La quantité de lumière qui entre dans l'oeil est contrôlée par l'iris147
      • La lumière entrante est réfractée par le cristallin et l'image est focalisée sur la rétine148
      • La force du cristallin augmente grâce à l'accommodation pour la vision rapprochée150
      • Il faut que la lumière traverse plusieurs couches de la rétine avant d'atteindre les photorécepteurs152
      • La phototransduction par les cellules de la rétine convertit la lumière en signaux électriques152
      • Avec les bâtonnets on voit tout en gris la nuit, avec les cônes la vision est précise et en couleur le jour157
      • La vision des couleurs dépend de la stimulation des trois types de cônes157
      • La sensibilité de la vision varie beaucoup grâce à l'adaptation à la lumière et à l'obscurité158
      • Les informations visuelles suivent des voies séparées avant d'être intégrées dans le cortex visuel et perçues158
      • Le message visuel est élaboré dans le thalamus et le cortex visuel159
      • Les informations visuelles gagnent des régions du cerveau qui ne participent pas à la vision161
      • Oreille : audition et équilibre 161
      • Les ondes sonores sont faites de l'alternance de régions de compression et de raréfaction des molécules d'air161
      • L'oreille externe joue un rôle dans la localisation d'un son163
      • La membrane tympanique vibre à l'unisson des ondes sonores de l'oreille externe163
      • Les osselets de l'oreille moyenne transforment les vibrations du tympan en déplacements des liquides de l'oreille interne164
      • La cochlée contient l'organe de Corti qui est l'organe sensoriel de l'audition165
      • Les cellules sensorielles ciliées de l'organe de Corti transforment les mouvements du liquide en signaux nerveux165
      • La discrimination des tons dépend de la région de la membrane basilaire qui vibre165
      • La discrimination de l'intensité dépend de l'amplitude des vibrations167
      • La surdité est due à un défaut de conduction ou du traitement nerveux des ondes sonores168
      • L'appareil vestibulaire est important pour l'équilibre grâce à la détection de la position et des mouvements de la tête168
      • Sens chimiques : goût et odorat 171
      • Les cellules réceptrices du goût sont surtout situées dans les bourgeons du goût de la langue171
      • La discrimination gustative est codée par la carte d'activation des différents bourgeons du goût173
      • Les récepteurs olfactifs du nez sont des terminaisons spécialisées de neurones afférents renouvelables173
      • Les différents composants d'une odeur sont détectés par des récepteurs olfactifs distincts et rangés dans des « classeurs » distincts173
      • La discrimination des odeurs est codée par la carte d'activité des glomérules des bulbes olfactifs175
      • Le système olfactifs s'adapte rapidement175
      • 7 Système nerveux périphérique : voies efférentes179
      • Système nerveux autonome 179
      • Une voie efférente du système nerveux autonome comporte deux neurones en série179
      • Les fibres postganglionnaires du parasympathique libèrent de l'acétylcholine, celles du sympathique de la noradrénaline180
      • Les systèmes nerveux sympathique et parasympathique innervent conjointement de nombreux organes viscéraux180
      • La médullosurrénale est une partie différenciée du système sympathique184
      • À chaque neurotransmetteur du système nerveux autonome correspondent plusieurs types de récepteurs184
      • L'activité du système nerveux autonome dépend de nombreuses régions du système nerveux central185
      • Système nerveux somatique 185
      • Les motoneurones innervent les muscles squelettiques185
      • Les motoneurones sont influencés par de nombreuses zones du cerveau impliquées dans le contrôle moteur185
      • Jonction neuromusculaire 186
      • Il y a une liaison chimique entre le motoneurone et les cellules du muscle squelettique dans la jonction neuromusculaire186
      • L'acétylcholine est le neurotransmetteur de la jonction neuromusculaire186
      • L'acétylcholinestérase met fin à l'action de l'acétylcholine dans la jonction neuromusculaire188
      • La jonction neuromusculaire est vulnérable à certains agents chimiques et à certaines maladies189
      • 8 Physiologie musculaire195
      • Structure du muscle squelettique 195
      • L'organisation interne des fibres du muscle squelettique est responsable de la striation195
      • Les filaments épais sont faits de myosine196
      • L'actine est le principal composant structural des filaments fins196
      • Bases moléculaires de la contraction du muscle squelettique 198
      • La liaison et la flexion cycliques des ponts d'union attirent les filaments fins les un vers les autres198
      • Le calcium fait le lien entre l'excitation et la contraction199
      • L'activité contractile dure beaucoup plus longtemps que l'activité électrique qui l'a déclenchée204
      • Mécanique du muscle squelettique 204
      • Les muscles sont faits d'ensembles de fibres musculaires réunies en faisceaux par du tissu conjonctif et attachées au squelette par des tendons205
      • La force est transmise aux os par l'élément élastique en série mis sous tension par l'élément contractile205
      • Il y a deux modes de contraction : isotonique et isométrique205
      • La vitesse de raccourcissement est fonction de la charge206
      • La force de contraction d'un muscle est variable206
      • Le nombre de fibres d'un muscle qui se contractent dépend du nombre d'unités motrices recrutées206
      • La fréquence de stimulation influence la force produite par chaque fibre musculaire207
      • La sommation des secousses est due à l'augmentation durable du calcium dans le cytosol207
      • Il y a une longueur optimale du muscle à partir de laquelle la contraction produit une force maximale209
      • Types de fibres et métabolisme du muscle squelettique 210
      • Il y a différents modes de production d'ATP dans les fibres musculaires210
      • La consommation d'oxygène est nécessairement accrue pendant la récupération de l'exercice211
      • Il y a trois variétés de fibres musculaires en fonction de différences dans la production et l'hydrolyse de l'ATP211
      • Les fibres musculaires s'adaptent en réponse aux demandes auxquelles elles sont soumises212
      • Contrôle de la motricité 214
      • L'activité des motoneurones est soumise à de multiples influences214
      • Les récepteurs musculaires fournissent des informations afférentes essentielles pour le contrôle de l'activité des muscles squelettiques215
      • Muscles lisse et cardiaque 217
      • Les cellules des muscles lisses ne sont pas striées et sont de petite taille 218
      • Les cellules musculaires lisses sont stimulées par la phosphorylation de la myosine dépendante du Ca2+220
      • L'activation du muscle lisse multi-unitaire est neurogène221
      • Les cellules du muscle unitaire forment des syncytiums fonctionnels221
      • La contraction du muscle lisse unitaire est myogène222
      • La gradation de la contraction du muscle lisse unitaire n'a rien de commun avec celle du muscle squelettique222
      • Un muscle lisse peut produire de la force quand il est étiré224
      • Le muscle lisse est lent et économique224
      • Les propriétés du muscle cardiaque sont un mélange de celles du muscle squelettique et du muscle lisse225
      • 9 Physiologie cardiaque229
      • Anatomie du coeur 229
      • Le coeur se trouve au centre de la cavité thoracique229
      • Le coeur est une pompe à deux corps230
      • Grâce aux valves cardiaques, l'écoulement du sang dans le coeur se fait dans le bon sens232
      • Les parois cardiaques sont avant tout composées de fibres du muscle cardiaque232
      • Les cellules du myocarde sont reliées par des disques intercalaires et forment des syncytiums fonctionnels233
      • Activité électrique du coeur 234
      • Les cellules autorythmiques ont une activité de « pacemaker »234
      • Le noeud sinusal est le pacemaker normal du coeur235
      • La propagation harmonieuse de l'excitation cardiaque assure un pompage efficace236
      • Le potentiel d'action des cellules contractiles du coeur a un plateau caractéristique238
      • L'entrée de Ca2+ venant du LEC cause la libération supplémentaire de Ca2+ par le réticulum sarcoplasmique238
      • La longue période réfractaire rend impossible le tétanos du coeur239
      • L'électrocardiogramme (ECG) est l'enregistrement de l'activité électrique de l'ensemble du coeur240
      • Les différentes parties de l'ECG correspondent à des événements cardiaques particuliers240
      • L'ECG est utile pour diagnostiquer les anomalies du rythme cardiaque, ou arythmies, et les lésions du muscle cardiaque243
      • Événements mécaniques du cycle cardiaque 243
      • Il y a alternance de contraction avec vidange des ventricules et de relâchement avec remplissage de ceux-ci243
      • Pendant le cycle cardiaque, on peut entendre deux bruits du coeur correspondant à la fermeture des valves246
      • L'écoulement turbulent est cause de souffles cardiaques246
      • Débit cardiaque et son contrôle 247
      • Le débit cardiaque dépend de la fréquence cardiaque et du volume systolique247
      • La fréquence cardiaque est essentiellement influencée par l'action du système nerveux autonome sur le noeud sinusal247
      • Le volume systolique est déterminé par le retour veineux et l'activité sympathique249
      • L'augmentation du volume télédiastolique entraîne celle du volume systolique249
      • La stimulation sympathique augmente la contractilité du coeur250
      • La contractilité du coeur est réduite dans l'insuffisance cardiaque251
      • Nutrition du coeur 252
      • Le coeur reçoit par la circulation coronaire durant la diastole l'essentiel du sang qui lui est nécessaire253
      • L'athérome des artères coronaires peut priver le coeur de l'O2 indispensable253
      • 10 Vaisseaux sanguins et pression artérielle261
      • Fonctionnement et physique du flux sanguin 261
      • Les organes de maintenance et d'entretien du sang reçoivent du sang en excès par rapport à leur besoin ce qui est lié à leur rôle dans l'homéostasie261
      • Le débit de sang dans les vaisseaux dépend de la différence de pression et de la résistance vasculaire262
      • Un réseau vasculaire comporte les artères, les artérioles, les capillaires, les veinules et les veines264
      • Artères 264
      • Les artères sont une voie d'écoulement rapide du sang vers les tissus et un réservoir de pression264
      • La fluctuation cyclique de la pression artérielle est en relation avec la systole et la diastole ventriculaires266
      • On peut mesurer indirectement la pression artérielle avec un sphygmomanomètre267
      • La principale force motrice responsable de l'écoulement est la pression artérielle moyenne269
      • Artérioles 269
      • Les artérioles sont les principaux vaisseaux résistifs269
      • Le contrôle local du rayon artériolaire est essentiel pour la répartition du débit cardiaque270
      • Les facteurs métaboliques locaux agissant sur le muscle lisse artériolaire sont importants pour l'ajustement du débit aux besoins des tissus271
      • La libération locale d'histamine cause la dilatation pathologique des artérioles272
      • La réponse myogénique des artérioles à l'étirement aide les tissus à autoréguler leur débit sanguin272
      • Application locale de chaud ou de froid273
      • Le contrôle sympathique extrinsèque du rayon des artérioles est important pour la régulation de la pression artérielle273
      • Les centres cardiovasculaires du bulbe et plusieurs hormones règlent la pression artérielle274
      • Capillaires 274
      • Les capillaires sont idéalement constitués pour servir de site d'échange274
      • Les pores de la paroi capillaire laissent passer des substances hydrosolubles de petite taille276
      • Le liquide interstitiel est un intermédiaire passif entre le sang et les tissus277
      • La diffusion à travers la paroi des capillaires est importante pour les échanges de substances dissoutes277
      • Le passage de liquide à travers la paroi capillaire est important pour la répartition du liquide extracellulaire278
      • Le système lymphatique est une voie parallèle pour le retour du liquide interstitiel vers le sang280
      • Il y a oedème quand il y a accumulation excessive de liquide interstitiel282
      • Veines 283
      • Les veines sont à la fois des réservoirs de sang et la voie de passage du sang retournant au coeur283
      • Le retour veineux est influencé par plusieurs facteurs extrinsèques284
      • Pression artérielle 288
      • La régulation de la pression artérielle est assurée par les ajustements du débit cardiaque, de la résistance vasculaire systémique et du volume sanguin288
      • L'arc réflexe des barorécepteurs est le mécanisme essentiel de la régulation à court terme de la pression artérielle289
      • L'hypertension artérielle est un problème de santé publique important dont les causes sont mal connues290
      • La syncope de l'hypotension orthostatique est due à l'insuffisance transitoire de l'activité du sympathique292
      • Le choc circulatoire peut être irréversible292
      • 11 Le sang et les défenses de l'organisme297
      • Plasma 297
      • L'hématocrite représente le volume occupé par les cellules sanguines ; le plasma représente le reste du volume sanguin297
      • L'eau du plasma est le moyen de transport de nombreuses substances organiques et inorganiques297
      • Les protéines plasmatiques remplissent de nombreuses fonctions298
      • Érythrocytes 299
      • La structure des érythrocytes est bien adaptée à leur fonction principale, à savoir, le transport d'O2 dans le sang299
      • La moelle osseuse remplace continuellement les érythrocytes usés300
      • L'érythropoïétine rénale contrôle l'érythropoïèse300
      • L'anémie peut être due à diverses affections301
      • La polycythémie est l'excès de globules rouges circulants302
      • Les types sanguins dépendent d'antigènes de surface présents sur les érythrocytes302
      • Plaquettes et hémostase 304
      • Les plaquettes sont des fragments cellulaires provenant des mégacaryocytes304
      • L'hémostase s'oppose à la perte de sang consécutive à la lésion de petits vaisseaux304
      • Le spasme vasculaire réduit l'écoulement de sang dans le vaisseau lésé305
      • L'agrégation des plaquettes bouche la brèche vasculaire305
      • La formation du caillot est la conséquence du déclenchement d'une séquence de réactions mettant en jeu les facteurs de coagulation plasmatiques306
      • La fibrinolyse par la plasmine dissout le caillot308
      • La maladie thromboembolique est due à la formation inappropriée de caillots308
      • L'hémophilie est la principale cause de saignement pathologique309
      • Leucocytes 309
      • Le rôle principal des leucocytes est de défendre l'organisme hors du compartiment vasculaire309
      • Les bactéries et les virus pathogènes sont les principales cibles du système immunitaire309
      • Il y a cinq classes de leucocytes310
      • La production de leucocytes varie en fonction des besoins de la défense de l'organisme311
      • Les réponses immunitaires sont naturelles et non spécifiques ou acquises et spécifiques312
      • Immunité naturelle 313
      • L'inflammation est une réponse non spécifique à un agresseur étranger ou à une lésion tissulaire313
      • L'inflammation est l'agent causal sous-jacent de nombreuses maladies chroniques317
      • Les médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens et les glucocorticoïdes s'opposent à la réponse inflammatoire317
      • L'interféron inhibe passagèrement la multiplication des virus dans la plupart des cellules317
      • Les cellules tueuses naturelles détruisent les cellules cancéreuses et les cellules infectées par un virus dès leur première rencontre317
      • Le système du complément perfore la membrane des micro-organismes318
      • Immunité spécifique : généralités 319
      • Les réponses immunitaires spécifiques comportent l'immunité par anticorps et l'immunité cellulaire319
      • Un antigène provoque une réponse immunitaire dirigée contre lui-même320
      • Lymphocytes B et immunité humorale 320
      • Les antigènes stimulent la conversion des lymphocytes B en plasmocytes producteurs d'anticorps320
      • Les anticorps ont la forme d'un Y et sont classés en fonction des propriétés de leur tige321
      • Les anticorps amplifient fortement les réponses immunologiques innées pour faciliter la destruction des antigènes321
      • La sélection clonale rend compte de la spécificité de la production d'anticorps323
      • Un clone donné donne naissance à des plasmocytes actifs et à des cellules à mémoire dormantes324
      • Lymphocytes T : immunité cellulaire 325
      • Les lymphocytes T se fixent sans intermédiaire à leurs cibles325
      • Les trois types de cellules T sont les lymphocytes cytotoxiques et auxiliaires326
      • Les lymphocytes T cytotoxiques sécrètent des substances chimiques qui détruisent les cellules-cibles326
      • Les lymphocytes T auxiliaires sécrètent des substances chimiques qui amplifient l'activité d'autres cellules immunitaires328
      • Les lymphocytes T ne réagissent qu'aux antigènes qui leur sont présentés par les cellules présentatrices d'antigène329
      • Les gènes du complexe majeur d'histocompatibilité codent les antigènes du soi329
      • Normalement, le système immunitaire tolère les antigènes du soi331
      • La surveillance immunitaire contre les cellules cancéreuses repose sur les interactions de cellules immunitaire et de l'interféron332
      • Maladies immunitaires 334
      • La déficience immunitaire est caractérisée par la faiblesse de la réponse immunitaire334
      • Les allergies sont la conséquence de réactions immunitaires inappropriées contre des substances anodines de l'environnement334
      • Défenses externes 338
      • La peau comporte l'épiderme externe et protecteur, et le derme interne fait le tissu conjonctif338
      • Différentes cellules spécialisées de la peau produisent la kératine et la mélanine et participent à la défense immunitaire339
      • Les organes creux disposent de mécanismes protecteurs contre les agents pathogènes340
      • 12 Appareil respiratoire345
      • Le système respiratoire 345
      • L'appareil respiratoires n'intervient pas à toutes les étapes de la respiration345
      • Le passage de l'air entre les alvéoles et l'atmosphère se fait par les voies aériennes346
      • Les alvéoles, qui sont le siège des échanges gazeux, sont des petites cavités gonflables à paroi mince, contenant du gaz et entourées par les capillaires pulmonaires347
      • Les poumons occupent une grande partie de la cavité thoracique348
      • Le sac pleural sépare chaque poumon de la paroi thoracique349
      • Mécanique respiratoire349
      • Les relations entre la pression à l'intérieur et à l'extérieur des poumons sont importantes pour la ventilation349
      • Les poumons et la cage thoracique sont étroitement accolés sous l'action de la pression transmurale350
      • Les variations cycliques de la pression alvéolaire causent l'écoulement de l'air entrant et sortant dans les poumons351
      • La résistance des voies aériennes est l'un des facteurs du débit gazeux353
      • La résistance des voies aériennes est anormalement grande dans les bronchopneumopathies chroniques obstructives355
      • L'élasticité des poumons est due aux fibres élastiques du tissu conjonctif et à la tension de surface des alvéoles357
      • Le surfactant pulmonaire réduit la tension de surface et contribue à la stabilité des poumons357
      • Les poumons opèrent normalement à mi-volume358
      • La ventilation alvéolaire est moindre que la ventilation pulmonaire à cause de l'espace mort359
      • Échanges gazeux pulmonaires362
      • Les mouvements de gaz sont dus à la différence de pressions partielles362
      • Dans les poumons, l'O2 gagne le sang et le CO2 le quitte passivement sous l'effet de la différence de pression partielle362
      • D'autres facteurs que la pression partielle jouent un rôle dans la vitesse des échanges gazeux363
      • Les échanges gazeux à travers la paroi des capillaires systématiques sont également dus aux différences de pressions partielles364
      • Transport des gaz 365
      • L'essentiel de l'O2 contenu dans le sang est transporté par l'hémoglobine365
      • La Po2 est le principal facteur de la saturation de l'hémoglobine366
      • L'hémoglobine facilite l'échange d'O2 aussi bien dans les alvéoles que dans les tissus367
      • Dans les tissus différents facteurs facilitent la libération d'O2 par l'hémoglobine368
      • L'hémoglobine a une affinité beaucoup plus forte pour le monoxyde de carbone que pour l'O2369
      • L'essentiel du CO2 est transporté dans le sang sous forme de bicarbonate370
      • Différentes situations sont caractérisées par des anomalies des échanges gazeux371
      • Contrôle de la respiration 372
      • Les centres respiratoires du tronc cérébral donnent naissance au rythme respiratoire372
      • La ventilation est ajustée aux besoins en réponse à trois facteurs chimiques : Po2 Pco2 et pH374
      • La baisse de la Po2 artérielle est un mécanisme d'urgence d'augmentation de la ventilation375
      • Les ions H+ formés dans le cerveau à partir du CO2 sont le principal régulateur de la ventilation376
      • L'ajustement de la ventilation en réponse aux variations d'H+ artériel est important pour l'équilibre acido-basique376
      • Pendant l'apnée, il y a « oubli de respirer », en cas de dyspnée en ressent le « manque de souffle »377
      • Appareil urinaire381
      • Les reins : fonctions, anatomie et mécanismes de base 381
      • Diverses fonctions rénales contribuent à l'homéostasie381
      • Les reins produisent l'urine ; le reste de l'appareil urinaire conduit l'urine à l'extérieur382
      • Les néphron est l'unité fonctionnelle du rein382
      • Les trois processus rénaux de base sont la filtration glomérulaire, la réabsorption et la sécrétion tubulaires384
      • Filtration glomérulaire 386
      • La pression du sang dans les capillaires glomérulaires est la principale force responsable de la filtration387
      • Les modifications du DFG sont essentiellement dues aux variations de la pression dans les capillaires glomérulaires388
      • Les reins reçoivent normalement 20 à 35 % du débit cardiaque 389
      • Réabsorption tubulaire 390
      • La réabsorption tubulaire est considérable, très sélective et variable390
      • La réabsorption tubulaire est le fait de transports épithéliaux390
      • La pompe active Na+-K+ de la membrane basolatérale est essentielle pour la réabsorption de Na+391
      • L'aldostérone stimule la réabsorption de Na+ dans le tubulaire distal et le tube collecteur392
      • Le peptide natriurétique auriculaire inhibe la réabsorption de Na+394
      • Le glucose et les acides aminés sont réabsorbés par un transport actif secondaire dépendant de Na+395
      • En général il y a un maximum à la réabsorption active de substances par le tubule395
      • Le glucose est l'exemple d'une substance dont la réabsorption active par les reins n'assure pas la régulation395
      • Le phosphate est l'exemple d'une substance dont la réabsorption active par les reins assure la régulation396
      • La réabsorption active de Na+ est responsable de la réabsorption passive de Cl-, d'H2O et d'urée397
      • En règle générale, les produits de déchets ne sont pas réabsorbés398
      • Sécrétion tubulaire 398
      • La sécrétion de l'ion hydrogène est importante pour l'équilibre acido-basique398
      • La sécrétion de potassium est contrôlée par l'aldostérone398
      • La sécrétion d'anions et de cations organiques contribue efficacement à l'élimination hors de l'organisme de substances étrangères399
      • Excrétion de l'urine et clairance plasmatique 400
      • La clairance plasmatique est le volume de plasma débarrassé d'une substance particulière par minute401
      • La clairance plasmatique d'une substance qui est filtrée et n'est ni réabsorbée ni sécrétée est égale au DFG401
      • La clairance plasmatique d'une substance qui est filtrée et réabsorbée mais n'est pas sécrétée est toujours inférieure au DFG401
      • La clairance plasmatique d'une substance qui est filtrée est sécrétée mais qui n'est pas réabsorbée est toujours supérieure au DFG401
      • La concentration de l'urine excrétée par les reins dépend du degré d'hydratation de l'organisme403
      • Le gradient osmotique médullaire est établi par le mécanisme du contre-courant404
      • C'est dans les segments terminaux du néphron qu'a lieu la réabsorption ajustable d'H2O dépendant de l'hormone antidiurétique405
      • L'insuffisance rénale a des conséquences de portée étendue410
      • L'urine est stockée temporairement dans la vessie d'où elle est évacuée au cours de la miction410
      • Équilibre hydrique et acido-basique417
      • Le concept d'équilibre 417
      • Le pool interne d'une substance est la quantité de celle-ci dans le LEC417
      • Pour qu'une substance soit en équilibre dans le LEC il faut que les entrées soient égales aux sorties417
      • Équilibre de l'eau 418
      • L'eau est répartie entre les compartiments liquidiens intra-et extracellulaire418
      • La composition du plasma et du liquide interstitiel est similaire mais le LEC et le LIC sont très différents418
      • L'équilibre hydrique est maintenu grâce à la régulation du volume et de l'osmolarité du LEC419
      • Le contrôle du volume du LEC est important pour la régulation à long terme de la pression artérielle 419
      • Le contrôle du bilan du sel est primordial pour la régulation du volume du LEC420
      • La régulation de l'osmolarité du LEC s'oppose aux variations de volume du LIC421
      • En cas d'hypertonie du LEC les cellules perdent de l'eau et rétrécissent423
      • En cas d''hypotonie du LEC les cellules gagnent de l'eau et gonflent423
      • Il n'y a aucun mouvement transmembranaire d'eau lors d'un gain ou d'une perte de liquide extracellulaire isotonique424
      • Le contrôle du bilan de l'eau par l'hormone antidiurétique est primordial pour la régulation de l'osmolarité du LEC424
      • La sécrétion d'hormone antidiurétique et la soif sont déclenchés pratiquement au même moment425
      • Équilibre acido-basique 426
      • Les acides libèrent des ions hydrogène libres alors que les bases les acceptent426
      • Le pH est utilisé pour exprimer la concentration en ions hydrogène [H+]427
      • Les variations de [H+] perturbent l'activité des nerfs, des enzymes et de K+428
      • Du fait de l'activité métabolique, il y a addition continuelle d'ions H+ aux liquides de l'organisme428
      • Les systèmes-tampons-chimiques minimisent les variations de concentration du pH en captant ou en libérant des H+ libres430
      • Les systèmes-tampons sont la première ligne de défense contre les variations de [H+]431
      • L'appareil respiratoire règle [H+] en contrôlant l'élimination de CO2431
      • L'appareil respiratoire est la seconde ligne de défense contre les variations de [H+]431
      • Les reins contribuent à l'équilibre acido-basique en agissant sur l'excrétion de H+ et de HCO3 et sur la sécrétion de NH3432
      • Les reins sont la puissante troisième ligne de défense contre les variations de [H+]433
      • Les déséquilibres acido-basiques peuvent être dus à des perturbations respiratoires ou métaboliques433
      • 15 Appareil digestif437
      • La digestion : aspects généraux 437
      • L'appareil digestif remplit quatre fonctions primordiales437
      • L'appareil digestif est constitué par le tube digestif et par les organes digestifs accessoires438
      • La paroi du tube digestif comporte quatre couches439
      • Le fonctionnement de l'appareil digestif dépend de facteurs complexes et synergiques439
      • L'activation des récepteurs modifie l'activité digestive par l'intermédiaire de réflexes nerveux ou d'hormones442
      • Bouche 443
      • La cavité buccale est l'entrée du tube digestif443
      • Les dents sont des broyeurs443
      • La salive commence la digestion des glucides, est importante pour l'hygiène buccale et facilite la parole444
      • La sécrétion de salive est continuelle et peut augmenter de façon réflexe444
      • Dans la bouche, la digestion est minime et il n'y a pas d'absorption de nutriments444
      • Pharynx et oesophage 445
      • La déglutition se déroule selon un réflexe programmé du type tout-ou-rien445
      • Durant l'étape oropharyngée de la déglutition, la prévention des fausses routes des aliments est assurée445
      • Le sphincter supérieur de l'oesophage prévient l'entrée d'air dans le tube digestif pendant la respiration446
      • Le péristaltisme fait progresser le bol alimentaire dans l'oesophage446
      • Le sphincter oesophagien inférieur prévient le reflux du contenu de l'estomac447
      • La sécrétion oesophagienne a uniquement un rôle protecteur447
      • Estomac 447
      • L'estomac stocke les aliments et commence la digestion des protéines447
      • La relaxation est nécessaire au remplissage de l'estomac448
      • Le stockage a lieu dans le corps448
      • Le brassage des aliments a lieu dans l'antre de l'estomac448
      • L'évacuation de l'estomac dépend essentiellement de facteurs duodénaux448
      • Les émotions retentissent sur la motilité de l'estomac449
      • L'estomac n'a pas de part active dans le vomissement449
      • Le suc gastrique est sécrété par les glandes situées dans les cryptes de l'estomac450
      • L'acide chlorhydrique active le pepsinogène450
      • Une fois activé le pepsinogène commence la digestion des protéines452
      • Le mucus a un rôle protecteur452
      • Le facteur intrinsèque est indispensable pour l'absorption de la vitamine B12452
      • De multiples voies régulatrices influencent les cellules principales et pariétales452
      • Le contrôle de la sécrétion gastrique comporte trois étapes453
      • La sécrétion gastrique diminue au fur et à mesure que l'estomac s'évacue dans le duodénum453
      • La barrière muqueuse protège la paroi de l'estomac contre les sécrétions gastriques454
      • La digestion des glucides se poursuit dans le corps de l'estomac, celle des protéines commence dans l'antre455
      • L'estomac n'absorbe pas de nutriments mais absorbe l'alcool et l'aspirine455
      • Sécrétions biliaire et pancréatique 455
      • Le pancréas est un organe mixte exocrine et endocrine457
      • Le pancréas exocrine sécrète des enzymes digestifs et une solution aqueuse alcaline457
      • La sécrétion exocrine du pancréas est sous la dépendance de la sécrétine et de CCK458
      • La foie a beaucoup de fonctions importantes dont la sécrétion de bile458
      • La bile est sécrétée continuellement et détournée vers la vésicule biliaire entre les repas460
      • Les sels biliaires sont recyclés grâce à la circulation entéro-hépatique460
      • Les sels biliaires facilitent la digestion et l'absorption des lipides461
      • Les sels biliaires sont le principal stimulus de la sécrétion biliaire462
      • La bilirubine, qui est un produit de déchet, est excrétée dans la bile462
      • Intestin grêle 463
      • Les contractions segmentaires brassent et propulsent lentement le chyme463
      • Le complexe moteur migrant parcourt et nettoie l'intestin grêle entre les repas464
      • La jonction iléo-caecale empêche la contamination de l'intestin grêle par les bactéries du côlon465
      • La sécrétion de l'intestin grêle ne contient pas d'enzymes digestifs465
      • La digestion est achevée dans les cellules par les enzymes de l'intestin grêle465
      • L'intestin grêle est remarquablement adapté à son rôle primordial dans l'absorption466
      • La muqueuse intestinale se renouvelle rapidement468
      • L'absorption de Na+ par un transport actif entraîne l'absorption passive d'eau468
      • Les glucides et les protéines digérés sont tous deux absorbés via un transport actif secondaire pour gagner le sang469
      • Les lipides digérés sont absorbés passivement et passent dans la lymphe469
      • L'absorption des vitamines est essentiellement passive471
      • L'absorption du fer et du calcium est régulée471
      • La plupart des nutriments absorbés gagnent immédiatement la foie où ils sont pris en charge471
      • L'importance de l'absorption dans l'intestin grêle est adaptée à celle des sécrétions digestives471
      • La diarrhée cause la perte d'eau et d'électrolytes471
      • Gros intestin 472
      • Le gros intestin est essentiellement un lieu de dessèchement et de stockage472
      • Les contractions haustrale déplacent lentement d'avant en arrière le contenu du côlon472
      • Les mouvements de masse propulsent le contenu du colon sur de grandes distances472
      • Les fèces sont éliminées grâce au réflexe de défécation472
      • Le dessèchement excessif des selles est cause de constipation473
      • La sécrétion du gros intestin a uniquement un rôle protecteur473
      • Le côlon contient des myriades de bactéries bénéfiques473
      • Le gros intestin absorbe du sel et de l'eau transformant ainsi son contenu en fèces473
      • Les gaz intestinaux sont absorbés ou expulsés474
      • Survol des hormones digestives 474
      • 16 Équilibre énergétique et régulation de la température479
      • Équilibre énergétique 479
      • La plupart de l'énergie fournie par les aliments est finalement convertie en chaleur dans l'organisme479
      • L'intensité du métabolisme reflète la consommation d'énergie480
      • Pour qu'l y ait équilibre énergétique, il faut que l'apport et la consommation d'énergie soient égaux481
      • La prise d'aliments est contrôlée essentiellement par l'hypothalamus482
      • L'obésité se produit quand l'apport d'énergie est supérieur à sa consommation485
      • Les sujets souffrant d'anorexie nerveuse ont une peur pathologique de prendre du poids486
      • Régulation de la température 486
      • La température du noyau central est maintenue par des mécanismes homéostatiques à 37 °C486
      • Il faut que les gains et les pertes de chaleur soient égaux pour que la température du noyau central reste stable487
      • Les échanges de chaleur entre l'organisme et l'environnement se font par radiation, conduction, convection et évaporation487
      • La transpiration est un mécanisme régulé de perte de chaleur par évaporation488
      • Il y a intégration d'une multitude d'informations sur la température dans l'hypothalamus489
      • Le frisson est le principal moyen involontaire pour augmenter la production de chaleur489
      • L'importance de la perte de chaleur varie en fonction du débit de sang dans la peau489
      • L'hypothalamus coordonne simultanément les mécanismes de production, de conservation et de perte de chaleur490
      • En cas de fièvre, le niveau de consigne du thermostat hypothalamique est décalé vers une plus haute température491
      • 17 Système endocrine495
      • Principes généraux d'endocrinologie 495
      • Les hormones ont une multitude d'effets régulateurs dans l'organisme495
      • La concentration d'hormone active dans le plasma dépend normalement de la quantité sécrétée496
      • La concentration d'une hormone dépend aussi de la quantité excrétée497
      • Les troubles endocrines sont liés à l'excès ou au manque d'hormone ou à l'insuffisance de la réponse des organes-cibles498
      • La réponse à l'hormone des cellules-cibles peut être modifiée par les ajustements du nombre des récepteurs spécifiques498
      • Hypothalamus et hypophyse 498
      • L'hypophyse comporte un lobe antérieur et un lobe postérieur499
      • L'hypothalamus et l'hypothyse postérieure fonctionnent de façon synergique pour sécréter l'hormone antidiurétique et l'ocytocine499
      • La plupart des hormones de l'antéhypophyse ont un rôle trophique502
      • Les hormones stimulantes ou inhibitrices de l'hypothalamus contribuent à la sécrétion des hormones antéhypophysaires503
      • Les hormones des glandes-cibles inhibent la sécrétion des hormones hypothalamiques et antéhypophysaires par rétroaction négative506
      • Contrôle endocrine de la croissance 506
      • La croissance dépend de l'hormone somatotrope et aussi d'autres facteurs507
      • L'hormone somatotrope indispensable à la croissance a, en outre, des effets métaboliques indépendants de celle-ci507
      • L'hormone somatotrope exerce indirectement ses effets sur la croissance via la stimulation des somatomédines507
      • L'hormone somatotrope, via les somatomédines, induit la croissance de tissus mous en induisant leur hyperplasie et leur hypertrophie507
      • L'hormone somatotrope stimule par différents mécanismes la croissance des os en épaisseur et en longueur508
      • La sécrétion d'hormone somatotrope est contrôlée par deux hormones hypothalamiques508
      • La sécrétion anormale d'hormone somatotrope entraîne des anomalies de la croissance510
      • Épiphyse et rythmes circadiens 510
      • Le noyau suprachiasmatique est l'horloge biologique maîtresse510
      • La mélatonine contribue à maintenir la synchronisation des rythmes circadiens de l'organisme et du cycle lumière-obscurité511
      • Glande thyroïde 513
      • Les cellules sécrétant l'hormone thyroïde forment des follicules sphériques contenant une substance colloïde513
      • L'hormone thyroïde est synthétisée et stockée dans la molécule de thyroglobuline513
      • Les cellules folliculaires phagocytent le colloïde chargé de thyroglobuline pour sécréter l'hormone thyroïde514
      • La majorité de la T4 sécrétée est convertie en T3 ailleurs que dans la thyroïde515
      • L'hormone thyroïde est le principal facteur déterminant le métabolisme de base et a aussi d'autres effets515
      • La sécrétion d'hormone thyroïde dépend de l'axe hypothalamo-hypophysaire515
      • Les anomalies de la fonction de la thyroïde comportent l'hypothyroïdie et l'hyperthyroïdie516
      • Un goitre se développe en cas de stimulation excessive de la thyroïde517
      • Glandes surrénales 518
      • Chaque glande surrénale comporte la corticosurrénale, sécrétant des stéroïdes et la médullosurrénale, sécrétant des catécholamines518
      • La corticosurrénale sécrète des minéralocorticoïdes, des glucocorticoïdes et des hormones sexuelles518
      • Les effets principaux des minéralocorticoïdes concernent le bilan Na+ et de K+ et la régulation de la pression artérielle519
      • Les glucocorticoïdes ont des effets métaboliques et ont un rôle important dans la réponse aux situations stressantes519
      • La sécrétion de cortisol dépend directement de l'axe hypothalamo-hypophyso-corticosurrénal520
      • La corticosurrénale sécrète des hormones sexuelles mâles et féminines dans les deux sexes521
      • La sécrétion de chacune des hormones de la corticosurrénale peut être excessive ou insuffisante521
      • La médullosurrénale est faite de neurones sympathiques post-ganglionnaires modifiés522
      • L'adrénaline agit en renfort du système nerveux sympathique et a des effets métaboliques additionnels523
      • Réponse intégrée aux situations de stress 523
      • Le stress est un ensemble global de réponses à toute situation menaçant l'homéostasie523
      • Les multiples éléments de la réponse au stress sont coordonnés par l'hypothalamus525
      • L'activation chronique des réponses aux situations psychosociales stressantes peut être dangereuse pour la santé525
      • Contrôle endocrine du métabolisme énergétique 525
      • Le métabolisme énergétique comporte l'anabolisme, le catabolisme et la conversion entre elles des molécules énergétiques525
      • Comme la prise d'aliments est intermittente, les nutriments doivent être stockés entre les repas526
      • Le cerveau doit être approvisionné continuellement en glucose526
      • Les nutriments énergétiques sont stockés en période digestive et mobilisés entre les repas528
      • Les hormones du pancréas, insuline et glucagon, sont les principaux facteurs contrôlant le métabolisme énergétique529
      • L'insuline fait baisser la concentration dans le sang du glucose, des acides aminés et des acides gras et favorise leur stockage530
      • Le stimulus primordial de la sécrétion d'insuline est l'augmentation de la concentration du glucose dans le sang531
      • Les symptômes du diabète sucré sont l'analogue d'un état postprandial poussé à l'extrême532
      • L'excès d'insuline cause l'hypoglycémie qui « affame » le cerveau534
      • L'action du glucagon est, en général, opposée à celle de l'insuline535
      • La sécrétion du glucagon augmente en période postprandiale535
      • L'insuline et le glucagon font équipe pour stabiliser la concentration dans le sang du glucose et des acides gras535
      • L'adrénaline, le cortisol et l'hormone somatotrope ont aussi des effets propres sur le métabolisme536
      • Contrôle endocrine du métabolisme du calcium 536
      • Le Ca2+ plasmatique doit être réglé avec précision de façon à éviter des modifications de l'excitabilité neuromusculaire537
      • L'hormone parathyroïde fait monter la concentration du Ca2+ libre dans le plasma grâce à son action sur le tissu osseux, les reins et l'intestin537
      • L'os est en perpétuel remaniement537
      • Les contraintes mécaniques favorisent la formation d'os537
      • La PTH favorise le transfert des os au plasma538
      • La PTH agit sur les reins pour conserver Ca2+ et éliminer PO43-538
      • PTH favorise indirectement l'absorption de Ca2+ et de PO43- par l'intestin539
      • Le principal facteur régulateur de la sécrétion de PTH est la concentration du Ca2+ dans le plasma539
      • La calcitonine abaisse la concentration de Ca2+ dans le plasma mais n'a pas de rôle important dans le métabolisme normal du Ca2+539
      • La vitamine D est une véritable hormone qui stimule l'absorption de Ca2+ par l'intestin539
      • Les désordres du métabolisme du calcium peuvent être dus au niveau anormal de PTH ou de vitamine D540
      • 18 Système reproducteur545
      • Singularité du système reproducteur 545
      • Unique parmi les systèmes corporels, le système reproducteur ne contribue pas à l'homéostasie mais a d'autres effets importants545
      • Le système reproducteur comprend les gonades, le tractus génital et les glandes sexuelles annexes545
      • Chaque cellule reproductrice contient un demi-ensemble de chromosomes546
      • La gamétogenèse se fait par méiose547
      • Le sexe d'un individu dépend des chromosomes sexuels549
      • La différenciation sexuelle selon le type masculin ou féminin dépend de la présence ou de l'absence de facteurs de masculinisation549
      • Physiologie de la reproduction masculine 551
      • Dans le scrotum, les testicules bénéficient d'un environnement moins chaud essentiel pour la spermatogenèse551
      • Les cellules de Leydig des testicules sécrètent la testostérone masculinisante551
      • La spermatogenèse est la production de spermatozoïdes abondants, mobiles, extrêmement spécialisés553
      • Tout au long de leur développement, les cellules germinales sont étroitement associées aux cellules de Sertoli555
      • LH et FSH de l'hypophyse antérieure contrôlent la sécrétion de testostérone et la spermatogenèse555
      • L'activité de la libérine des hormones gonadotropes augmente à la puberté556
      • Les spermatozoïdes sont stockés et concentrés et leur capacité à féconder augmente dans les canaux du tractus génital557
      • Les glandes sexuelles accessoires fournissent le gros du sperme557
      • Les prostaglandines sont des messagers chimiques ubiquitaires agissant localement558
      • Rapports hétérosexuels 559
      • L'acte sexuel masculin a deux composantes, l'érection et l'éjaculation559
      • L'érection est due à l'engorgement du pénis par du sang560
      • L'éjaculation comporte l'émission et l'expulsion du sperme561
      • Orgasme et résolution complètent le cycle sexuel561
      • Volume et contenu du sperme561
      • Au cours d'un rapport sexuel, le cycle de la femme rappelle beaucoup celui de l'homme561
      • Physiologie de la reproduction chez la femme 562
      • Des phénomènes cycliques complexes sont caractéristiques de la physiologie de la reproduction chez la femme563
      • Les étapes de la gamétogenèse sont les mêmes dans les deux sexes mais le déroulement dans le temps et le résultat final sont très différents564
      • Le cycle ovarien est fait de l'alternance des phases folliculaire et lutéale565
      • La phase folliculaire est caractérisée par le développement et la maturation du follicule567
      • La phase lutéale est caractérisée par la présence du corps jaune567
      • Le cycle ovarien dépend d'interactions hormonales complexes569
      • Les modifications cycliques de l'utérus sont causées par les modifications hormonales au cours du cycle ovarien573
      • Les contraceptifs oraux empêchent l'ovulation574
      • Les modifications pubertaires dans le sexe féminin sont analogues à celles du sexe masculin574
      • La ménopause est propre au sexe féminin574
      • La fécondation a lieu dans la trompe de Fallope575
      • Le blastocyste peut s'implanter dans l'endomètre grâce à l'action des enzymes du trophoblaste576
      • Le placenta est l'organe d'échanges entre le sang maternel et celui du foetus579
      • Les hormones sécrétées par le placenta ont un rôle crucial pour le bon déroulement de la gestation580
      • L'organisme maternel s'adapte aux besoins accrus dus à la gestation582
      • Les changements de fin de grossesse préparent l'accouchement582
      • Les facteurs responsables du déclenchement de l'accouchement sont de mieux en mieux connus582
      • Il y a une rétroaction positive au cours de l'accouchement584
      • La lactation dépend de multiples stimuli hormonaux586
      • L'allaitement maternel est avantageux pour la mère et le bébé587
      • La fin est un début588
      • A Le système métriqueA-1
      • B Rappel des principes de chimieA-3
      • Atomes, éléments, corps composés, molécules A-3
      • AtomesA-3
      • Éléments et symboles atomiquesA-3
      • Corps composés et moléculesA-3
      • Nombre atomiqueA-3
      • Poids atomiqueA-3
      • Liaisons chimiques A-4
      • Couches d'électronsA-4
      • Caractéristiques des liaisons d'un atome, valenceA-4
      • Ions ; liaisons ioniquesA-5
      • Liaison covalenteA-5
      • Molécules polaires et non polairesA-6
      • Liaison hydrogèneA-7
      • Réactions chimiques A-7
      • Équations équilibréesA-7
      • Réactions réversibles et irréversiblesA-7
      • Catalyseurs, enzymesA-8
      • Poids moléculaires, poids correspondant à la formule et mole A-8
      • Solutions, colloïdes et suspensions A-8
      • SolutionA-9
      • Électrolytes : non électrolytesA-9
      • Mesures de concentrationA-9
      • MolaritéA-9
      • Suspensions et colloïdesA-9
      • Chimie minérale et chimie organique A-10
      • Distinction entre substances chimiques organiques et inorganiquesA-10
      • Monomères et polymèresA-10
      • Acides, bases et sels A-10
      • Acides et basesA-10
      • Sels ; réactions de neutralisationA-11
      • Radicaux fonctionnels des molécules organiques A-11
      • Glucides A-11
      • Composition chimique des glucidesA-11
      • Types de glucidesA-11
      • Lipides A-12
      • Lipides simplesA-12
      • Lipides complexesA-13
      • Protéines A-13
      • Composition chimique des protéines13
      • Liaison peptideA-14
      • Niveaux structurels des protéinesA-14
      • Hydrolyse et dénaturationA-16
      • Acides nucléiques A-16
      • Biomolécules à fort contenu d'énergie A-17
      • C Stockage, réplication et mode d'expression de l'information génétiqueA-18
      • Acide désoxyribonucléose (ADN) et chromosomes A-18
      • Fonctions de l'ADNA-18
      • Structure de l'ADNA-18
      • GènesA-18
      • Empaquetage de l'acide désoxyribonucléiqueA-18
      • Appariement des bases, réplication et transcription A-19
      • Réplication de l'ADNA-19
      • Transcription de l'ADN et ARN messagerA-20
      • Traduction et synthèse des protéines A-22
      • Triplets du code ; codonsA-22
      • RibosomesA-23
      • ARN de transfert et anticodonsA-24
      • Étapes de la synthèse des protéinesA-24
      • Coût en énergie de la synthèse des protéinesA-24
      • PolyribosomesA-24
      • Contrôle de l'activité des gènes et transcription des protéinesA-24
      • Division cellulaire A-26
      • MitoseA-26
      • MéioseA-27
      • MutationsA-27
      • D Chimie de l'équilibre acido-basiqueA-30
      • Constantes de dissociation des acides A-30
      • Caractère logarithmique du PH A-30
      • Systèmes-tampons chimiques A-30
      • Équation de Henderson-Hasselbalch A-31
      • Régulation de la concentration de l'ion hydrogène par la respiration A-31
      • Régulation par les reins de la concentration de l'ion hydrogène A-32
      • Déséquilibres acido-basiques A-34
      • E Réponses aux questions courtes, aux éléments de réflexion et aux cas cliniquesA-38
      • GlossaireG-1
      • IndexI-1

  • Origine de la notice:
    • FR-751131015
  • Disponible - 612 SHE

    Niveau 3 - Médecine