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Livre

Le bien : édification, exemple et scandale dans le roman du XIXe siècle

Résumé

Contributions sur la place du bien, du bonheur ou encore des bons sentiments dans le roman au XIXe siècle. Les études abordent notamment les oeuvres de Dickens, Hugo, Balzac, Flaubert et Tolstoï. Elles démontrent que, loin d'être l'apanage des romanciers idéalistes, le bien est souvent utilisé dans le roman comme repoussoir au mal, et peut même parvenir à faire scandale. ©Electre 2017


  • Contributeur(s)
  • Éditeur(s)
  • Date
    • DL 2017
  • Langues
    • Français
  • Description matérielle
    • 1 vol. (275 p.) ; 24 cm
  • Sujet(s)
  • Epoque
  • ISBN
    • 978-2-87854-710-8
  • Indice
  • Quatrième de couverture
    • Le Bien

      Édification, exemple et scandale dans le roman du XIXe siècle

      Le bonheur n'a pas d'histoire et les bons sentiments ont mauvaise presse dans le roman réaliste. Balzac s'interrogeait en 1842 sur « le difficile problème littéraire qui consiste à rendre intéressant un personnage vertueux ». Héros sans tache et femmes honnêtes, victimes innocentes et riches bienfaiteurs risquent fort d'ennuyer le lecteur et contreviennent aux exigences du roman de moeurs, qui vise à démasquer le mal caché sous les apparences du bien. Pourtant, un récit sans pôle positif est difficile à mener. La mise en scène du bien, l'édification et l'exemplarité ne sont pas l'apanage des romanciers idéalistes et autres opposants du réalisme ; les réalistes eux-mêmes ont recours au spectacle du bien, ne serait-ce que comme repoussoir du mal. Dans un monde romanesque où le mal est devenu la norme, il peut même arriver au bien de faire scandale.


  • Origine de la notice:
    • FR-751131015
  • Disponible - 840-3"18" BIE

    Niveau 3 - Langues et littératures