Le triple champion dévoile ses secrets

Traduction de : El triple campeón revela sus secretos

Auteur(s) :

García Márquez, Gabriel (1927-2014) Découvrir l'auteur

Résumé

Ecrits en 1955 pour le journal national colombien El Espectador, les quatorze articles réunis évoquent la figure du coureur cycliste Ramón Hoyos (1932-2014), auréolé de gloire à la suite de plusieurs victoires consécutives au Tour de Colombie. L'auteur alterne récits à la première personne inspirés des entretiens de l'écrivain avec le sportif et remarques personnelles. ©Electre 2020

Contributeur(s)
Éditeur(s)
- Marabout
- So Lonely
Date
- 2020
Langues
- Français
- , traduit de : Espagnol, castillan
Description matérielle
- 1 vol. (174 p.) : illustrations en noir et blanc, cartes ; 22 cm
Titre(s) en relation
- El triple campeón revela sus secretos
Sujet(s)
Epoque
- 1945-1970
Lieu
- Colombie
ISBN
- 978-2-501-14763-7
Indice
- 868.43 GARC Garcia Marquez (Gabriel)
Quatrième de couverture
- Le triple champion dévoile ses secrets
  Au milieu des années 1950, Gabriel García Márquez, alors jeune journaliste, est envoyé par le quotidien El Espectador suivre Ramón Hoyos, déjà considéré comme une idole nationale du cyclisme et du sport colombien. Hoyos, pourtant réticent aux interviews, accepte et ne le regrettera pas.
  Le triple champion dévoile ses secrets, fruit de cinq jours d'entretiens, est un document aussi rare que précis sur ce qui fait la psychologie d'un champion, son rapport à la douleur et à la célébrité, en même temps qu'une plongée dans la Colombie des années 1950. C'est enfin un témoignage précieux sur le travail de celui qui allait devenir l'un des plus grands écrivains du XX^e siècle.
  Gabriel García Marquez (1927-2014), auteur notamment de Cent ans de solitude, est l'une des figures majeures du « boom latino-américain » des années 1960. Son oeuvre a été couronnée par le prix Nobel de littérature en 1982. Inédit en français, Le triple champion dévoile ses secrets est considéré comme un chef-d'oeuvre de la littérature sportive.
  « Les entretiens ont duré cinq jours à raison de cinq heures par jour, avec des interruptions. Au total, cinquante-deux feuillets ont été noircis et vingt-neuf tasses de café ont été bues. Personne n'a gardé le compte des mégots, parce que le rédacteur allumait cigarette sur cigarette et que, pendant cette période où il ne s'entraînait pas, Ramón Hoyos fumait une moyenne de dix-huit cigarettes tous les deux jours. »
Origine de la notice:
- Electre