Sing Sing : Musiques rebelles sous les verrous

Auteur(s) :

Balandier, Franck (1952-2020) Découvrir l'auteur

Résumé

Des portraits de vedettes internationales de la musique qui, ayant commis un délit ou une infraction, ont connu un emprisonnement, de Mick Jagger et Keith Richards en 1967 jusqu'à Booba, en passant par David Bowie, Johnny Cash ou encore Joan Baez. L'auteur décrit leurs conditions d'incarcération, puis évoque les chansons qui ont été composées en détention ou qui ont la prison pour thème. ©Electre 2021

Éditeur(s)
- Le Castor Astral
- Impr. Ateliers Graphiques de l'Ardoisière
Date
- 2021
Langues
- Français
Description matérielle
- 1 vol. (432 p.) ; 23 cm
Collections
- Castor Music
Sujet(s)
- Histoire
- Rock and roll (musique)
Lieu
- Histoire
ISBN
- 979-10-278-0181-7
Indice
- 780.65 Pop music, musique rock
Quatrième de couverture
- Sing Sing Musiques rebelles sous les verrous
  La musique adoucit les moeurs, dit-on. Mais pas toujours, loin s'en faut. Il existe aussi des musiques rebelles par nature. Du blues des champs de coton au rock des grands festivals et de l'émancipation, sans omettre le détour obligé par le nihilisme punk et le rap des banlieues, voici l'histoire de plusieurs générations de musiciens dont les excès, la cruauté parfois, les révoltes et les dérives ont conduit certains jusqu'à la prison.
  En compagnie de Booba, de James Brown, de Bertrand Cantat, de Johnny Cash, de Charles Manson, de Calvin Russell, des Pussy Riot, de Phil Spector, de Tupac Shakur, de JoeyStarr, d'Amy Winehouse et d'une centaine d'autres célébrités, ce livre d'un genre nouveau s'attache à expliquer les raisons qui ont poussé ces musiciens à déraper.
  Il reconstitue les conditions de leurs gardes à vue ou de leurs incarcérations.
  Il analyse les répercussions que la délinquance a pu avoir sur leur vie, leur musique et leur carrière.
  Il raconte également le combat mené par plusieurs artistes au sein des prisons, pour que la musique soit considérée comme un moyen de réinsertion possible.
  Il dénonce enfin l'utilisation perverse de morceaux de rock et de rap comme moyen de torture et technique d'interrogatoire en vigueur dans certains pays et certaines prisons, à Guantánamo comme ailleurs.
Origine de la notice:
- FR-751131015 ;
- Electre