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Livre

Je m'aperçois que je vous aime, heureusement que je suis vieux ! : correspondance

Résumé

Correspondance entre V. Hugo et G. Sand. Débutés en 1856, les échanges épistolaires entre les deux écrivains, qui ne se sont jamais rencontrés, révèlent un curieux mélange d'admiration et d'agacement réciproques. En annexe, une sélection de leurs textes, dont l'éloge funèbre de G. Sand par V. Hugo, éclaire cette relation complexe. ©Electre 2021


  • Autre(s) auteur(s)
  • Éditeur(s)
  • Date
    • 2021
  • Langues
    • Français
  • Description matérielle
    • 1 vol. (320 p.) ; 18 x 11 cm
  • Collections
  • ISBN
    • 978-2-36890-938-6
  • Indice
  • Quatrième de couverture
    • Je m'aperçois que je vous aime, heureusement que je suis vieux !

      « La grandeur de l'esprit n'a d'égale en vous que la grandeur du coeur. » (Hugo à Sand).

      Exactement contemporains, George Sand et Victor Hugo, deux « monuments » littéraires de leur siècle, ne se sont pourtant jamais rencontrés.

      Alors que tout ce que le XIXe siècle compte de célébrités est un jour passé par Nohant, et tandis que ces deux « monstres sacrés » fréquentent les mêmes milieux à Paris, il faut attendre 1856 et la publication des Contemplations pour qu'une relation épistolaire s'instaure entre eux.

      Pour autant, celle-ci ne débouchera jamais sur une vraie rencontre, même lorsque Hugo rentrera d'exil.

      Sand restera toujours réticente face au génie du poète, comme en témoigne sa correspondance avant 1856. Leurs lettres dévoilent ensuite un curieux mélange d'admiration et d'agacement réciproques ; de fascination aussi.

      Plusieurs textes en annexes, tant de Hugo que de Sand (articles, discours, éloge funèbre), viennent éclairer cette relation qu'on pourrait qualifier, sinon d'ambiguë, au moins de complexe.


  • Origine de la notice:
    • Electre
  • Disponible - 840"18" HUGO 44

    Niveau 3 - Langues et littératures