Le statut de la magistrature
Réflexions sur un droit spécial
Emmanuel Poinas
Berger-Levrault
Sommaire7
Préface17
Introduction23
Livre 1er Approche théorique du statut de la magistrature25
Titre 1er Exposé des normes principales27
Chapitre 1er Les textes fondamentaux31
Section 1 Les normes constitutionnelles31
Sous-section 1 La Constitution du 4 octobre 195831
Sous-section 2 Les décisions du Conseil constitutionnel37
Sous-section 3 Les question prioritaire de constitutionnalité (QPC)46
Section 2 Les lois organiques applicables au corps judiciaire et leurs décrets d'application47
Sous-section 1 loi organique relative au statut de la magistrature47
Sous-section 2 La loi organique relative au Conseil supérieur de la magistrature et son décret d'application49
Chapitre 2 Les textes « périphériques »55
Section 1 Les textes de droit interne55
Sous-section 1 Le renvoi au statut général des fonctionnaires55
Sous-section 2 Le Code du travail56
Sous-section 3 Les Codes de procédure et le Code de l'organisation judiciaire57
Sous-section 4 Les circulaires57
Section 2 Les normes supranationales et les jurisprudences des juridictions supranationales58
Section 3 Les « textes invisibles »59
Titre 2 Indépendance et pouvoir de direction61
Chapitre 1er Le pouvoir de direction dans la magistrature judiciaire, un pouvoir spécifique65
Section 1 Retour sur les « quatre pouvoirs » traditionnellement attachés au pouvoir de direction65
Section 2 Spécificité du pouvoir hiérarchique dans la magistrature judiciaire70
Sous-section 1 Pouvoir de direction et circulaires ministérielles71
Sous-section 2 Pouvoir de direction et obligations procédurales72
Sous-section 3 Pouvoir de direction et collégialité : la soumission invisible ?73
Sous-section 4 Pouvoir de direction et prescriptions déontologiques74
Sous-section 5 Pouvoir de direction et affectation dans le service79
Sous-section 6 Pouvoir de direction périphérique sur l'ensemble des magistrats : l'avertissement82
Sous-section 7 L'attribution de prime modulable : pouvoir de direction accessoire83
Sous-section 8 L'évaluation, pouvoir de direction d'origine ministérielle délégué et différé ?84
Sous-section 9 La question du remplacement par le chef de juridiction85
Sous-section 10 Le dessaisissement du magistrat, un pouvoir de direction par éviction ?85
Chapitre 2 Un pouvoir de direction limité par la liberté d'organisation89
Section 1 Les limites au pouvoir de direction : liberté d'organisation et de parole90
Sous-section 1 Rappel des formes modernes et hypermodernes d'organisation du travail productif90
Sous-section 2 L'arrêt Télétravail : illustration des particularités du pouvoir de direction applicable aux magistrats affectés dans les juridictions92
Sous-section 3 La décision APAP et la liberté de parole des membres du ministère public94
Section 2 Pouvoir de direction et position hiérarchique : absence de concordance97
Chapitre 3 Garanties statutaires spécifiques103
Section 1 L'inamovibilité des magistrats du siège et la liberté de parole des parquetiers103
Section 2 La protection fonctionnelle104
Section 3 Le droit syndical : une nouveauté ancienne110
Chapitre 4 Obligations statutaires spécifiques119
Section 1 Les obligations « morales »119
Sous-section 1 Les obligations morales articulées sur des dispositions légales spécifiques : la prévention des conflits d'intérêts122
Sous-section 2 Les obligations morales articulées sur des valeurs indéfinies125
Section 2 L'obligation de résidence126
Section 3 L'obligation de formation continue128
Section 4 Les interdictions spécifiques128
Sous-section 1 Les interdictions découlant du statut de magistrat128
Sous-section 2 Les interdictions d'exercice « procédurales »132
Livre 2 Le travail juridictionnel135
Titre 1er Présentation des concepts137
Chapitre 1er Approche philosophique du travail juridictionnel ...139
Section 1 L'apport d'Aristote139
Sous-section 1 Le pouvoir juridictionnel, pouvoir spécial139
Sous-section 2 L'apport aristotélicien à l'idée de juridiction140
Section 2 Carl Schmitt et le problème de la « décision juste »142
Chapitre 2 Le travail vivant et la psychodynamique du travail145
Section 1 L'apport de la psychodynamique du travail pour comprendre le travail juridictionnel146
Sous-section 1 La différence entre « travail prescrit » et « travail vivant »146
Sous-section 2 L'éthique du travail et la validation par les pairs148
Sous-section 3 La mise en concurrence des individus dans l'organisation managériale du travail148
Section 2 Le travail juridictionnel entre éthique, expérience et externalisation149
Sous-section 1 Retour sur Aristote et Carl Schmitt149
Sous-section 2 Rythme et cadences chez Simone Weil, ou pourquoi la justice prend du temps150
Sous-section 3 Le travail juridictionnel au risque de la standardisation151
Titre 2 Présentation du cadre juridique153
Chapitre 1er Le travail juridictionnel, l'« Arlésienne » du statut de la magistrature155
Section 1 L'encadrement du temps de travail155
Sous-section 1 Présentation du cadre juridique157
Sous-section 2 Une contradiction manifeste : calculer l'incalculable.161
Section 2 La rémunération du travail juridictionnel164
Sous-section 1 Le traitement de base et ses accessoires165
Sous-section 2 La prime modulable170
Sous-section 3 Astreintes, permanences et situations spéciales172
Chapitre 2 Le Code de l'organisation judiciaire et l'organisation du travail juridictionnel175
Section 1 Les fonctions définies par la loi organique : une spécialisation non exclusive176
Section 2 Le service général : un « point aveugle » ?179
Sous-section 1 Ou l'on reparle de la distinction du siège et du Parquet180
Sous-section 2 Les fonctions judiciaires du service général : une énumération impossible181
Sous-section 3 L'attribution des fonctions du service général : un double cadre de négociation181
Sous-section 4 Variations dans la définition de la notion de « chambre » et de « service » ou de « pôles »182
Sous-section 5 Les attributions administratives au sein du service général, un « surtravail » ?184
Section 3 Le Code de l'organisation judiciaire : droit incontestable ?184
Sous-section 1 Le principe fondamental de continuité de l'État185
Sous-section 2 ...et ses conséquences en matière de responsabilité de l'État185
Sous-section 3 Brève présentation du Code de l'organisation judiciaire185
Sous-section 4 L'ordonnance de roulement un document essentiel dans la vie d'une juridiction186
Sous-section 5 La notion ambiguë de « mesure d'administration judiciaire »187
Sous-section 6 Organisation d'une possibilité de remplacement des magistrats par le chef de juridiction par le Code de l'organisation judiciaire189
Section 4 Rôle de la hiérarchie judiciaire et place des organes consultatifs189
Sous-section 1 Les chefs de cour d'appel190
Sous-section 2 Les chefs de juridiction du premier degré191
Sous-section 3 Les assemblées générales191
Section 5 Le rôle local des organisations syndicales194
Sous-section 1 La représentativité syndicale locale194
Sous-section 2 L'impossible autogestion des juridictions judiciaires195
Titre 3 Mise en oeuvre des textes197
Titre 4 Contestations et voies de recours203
Chapitre 1er Ce que révèle la classification des voies de contestation207
Section 1 Exposé des voies de recours207
Section 2 Adaptation des voies de recours à la protection de l'indépendance des juridictions208
Chapitre 2 Illustration des possibilités de contestation211
Section 1 Le contentieux « classique » : les primes modulables211
Section 2 Les contentieux inexistants : la gestion administrative de la carrière214
Livre 3 L'intégration au sein du corps judiciaire217
Titre 1er Histoire des concepts219
Chapitre 1er Le paradoxe de la légitimation des juges en France223
Chapitre 2 Le choix de l'intégration par la voie du concours : une « longue marche »225
Chapitre 3 Le concours, objet politique227
Chapitre 4 L'École nationale de la magistrature, lieu stratégique.231
Titre 2 Présentation du cadre juridique237
Chapitre 1er La « voie royale », le premier concours243
Section 1 Présentation générale243
Section 2 Dispositions particulières244
Chapitre 2 Les autres concours249
Chapitre 3 L'intégration255
Section 1 Le rôle de la commission d'avancement255
Section 2 La composition de la commission d'avancement256
Section 3 La procédure d'intégration aux postes des premier et second grades257
Section 4 La procédure d'intégration à des postes hors hiérarchie258
Chapitre 4 Le détachement judiciaire261
Chapitre 5 Le cas des membres de la Cour de cassation en service extraordinaire263
Chapitre 6 Les « magistrats exerçant à titre temporaire »265
Section 1 Présentation générale265
Section 2 Recrutement, formation et rémunération266
Titre 3 Mise en oeuvre des textes269
Chapitre 1er La scolarité et l'intégration en pratique271
Chapitre 2 Le passage du statut d'auditeur à celui de magistrat275
Titre 4 Contestations et voies de recours277
Chapitre 1er Présentation générale des voies de recours279
Chapitre 2 La contestation du déroulement des concours, contentieux exceptionnel281
Chapitre 3 La contestation des décisions d'intégration, contentieux habituel283
Livre 4 La carrière judiciaire287
Titre 1er Présentation des concepts289
Chapitre 1er La carrière judiciaire avant le Consulat291
Section 1 Le principe de vénalité des offices291
Sous-section 1 Les parlementaires, officiers du roi291
Sous-section 2 Les parlementaires, agents de la majesté royale292
Section 2 L'ordre révolutionnaire293
Sous-section 1 Le citoyen, juge par essence et par définition293
Sous-section 2 L'échec relatif de l'implantation d'une justice populaire par la Révolution française294
Chapitre 2 La carrière judiciaire du Consulat à la Ve République295
Section 1 Du Consulat à la IIIe République295
Sous-section 1 De la reconstruction du système judiciaire295
Sous-section 2 Depuis Bonaparte, l'armée comme modèle d'Organisation296
Section 2 La IIIe République297
Section 3 La IVe République et la place du Conseil supérieur de la magistrature rénové298
Section 4 La question des épurations298
Chapitre 3 La carrière judiciaire depuis 1958299
Section 1 Une volonté de revalorisation de la carrière299
Section 2 Un exemple paradoxal : la mobilité judiciaire300
Titre 2 Présentation du cadre juridique301
Chapitre 1er La manifestation de la carrière : le dossier individuel305
Section 1 Composition et constitution305
Section 2 Conséquence de l'introduction de la « saisine directe » du Conseil supérieur de la magistrature par les justiciables : la constitution de dossier parallèle ?308
Chapitre 2 Le matériau de la carrière : l'évaluation315
Section 1 Un principe général d'évaluation par l'autorité hiérarchique317
Section 2 Élaboration de l'évaluation : un processus complexe318
Section 3 Cas particuliers321
Chapitre 3 La mutation et l'avancement323
Section 1 Les mutations : « cote magistrat »324
Sous-section 1 Rappel des principes communs à toutes les nominations324
Sous-section 2 Cas particuliers327
Section 2 Les mutations « cote administration » : les « transparences »329
Section 3 L'avancement332
Sous-section 1 Exposé des dispositions relatives au déroulement de carrière « ordinaire »333
Sous-section 2 La réalisation de l'avancement335
Titre 3 Mise en oeuvre des textes339
Chapitre 1er L'évaluation341
Section 1 La charge de l'évaluation n'est pas clairement évaluée341
Section 2 La contestation interne des évaluations est très peu développée342
Chapitre 2 L'avancement345
Chapitre 3 La mutation347
Titre 4 Contestations et voies de recours365
Chapitre 1er Les contestations élevées devant le tribunal administratif367
Section 1 Le dossier individuel367
Section 2 L'évaluation369
Chapitre 2 Les contestations élevées devant le Conseil d'État371
Section 1 Le tableau d'avancement371
Section 2 Les nominations373
Sous-section 1 Cadre général du contrôle exercé par le Conseil d'État373
Sous-section 2 Situation des magistrats membres du ministère public et assimilés375
Sous-section 3 Les contestations élevées en référé376
Livre 5 L'Inspection générale de la justice377
Titre 1er L'inspection, présentation historique379
Chapitre 1er De l'Ancien Régime à la Ve République383
Section 1 La situation sous l'Ancien Régime : le cas des offices de judicature383
Sous-section 1 De la Révolution à la IIIe République : un contrôle politique sans inspection384
Sous-section 2 La IIIe République et les premières formes d'inspection385
Sous-section 3 L'inspection éphémère de la France libre et la IVe République sans inspection386
Section 2 L'Inspection générale de la justice sous la Ve République387
Sous-section 1 De 1958 à 1973, une inspection sans inspecteurs387
Sous-section 2 Histoire d'une implantation à « petits pas »388
Sous-section 3 De 1973 à 2016, l'inspection des services judiciaires et les autres390
Sous-section 4 2016 et le « big bang » de l'inspection391
Titre 2 L'Inspection générale de la justice, présentation juridique393
Chapitre 1er L'inspection ministérielle397
Section 1 Les pouvoirs des inspecteurs en matière administrative (au sens ordinaire du terme)397
Section 2 Une limite institutionnelle au pouvoir d'inspecter : le cas de la Cour de cassation404
Section 3 Les pouvoirs des inspecteurs en matière disciplinaire, les limitations instituées par le Conseil supérieur de la magistrature406
Chapitre 2 Les inspections locales411
Section 1 Un pouvoir général d'investigation reconnu aux chefs de cour411
Section 2 Les dispositions juridiques encadrant le pouvoir local d'inspection413
Chapitre 3 L'inspection et le rapport au travail juridictionnel417
Section 1 L'Inspection « générale » et le contrôle de la production et de la productivité418
Sous-section 1 Le contrôle « classique » : le contrôle de la production418
Sous-section 2 Le contrôle de la performance420
Section 2 L'inspection « santé et sécurité au travail » et la garantie de sécurité des travailleurs sur le lieu de travail424
Sous-section 1 L'inspection « santé et sécurité au travail », un service méconnu424
Sous-section 2 Étendue et pouvoirs des inspecteurs spécialisés425
Titre 3 La place de l'inspection, révélatrice d'une aporie427
Chapitre 1er Retour sur « l'affaire du Parquet national financier »429
Section 1 La « première inspection du Parquet national financier »430
Section 2 L'avis du Conseil supérieur de la magistrature431
Section 3 La « seconde inspection du Parquet national financier » et la question de la nouvelle définition de l'activité juridictionnelle432
Chapitre 2 L'avenir de l'Inspection générale de la justice435
Section 1 D'un ministère sous-administré à un ministère suradministré ?435
Section 2 Le parcours des inspecteurs de la justice et le risque de conflit d'intérêts436
Sous-section 1 On ne naît pas inspecteur de la justice, on le devient436
Sous-section 2 La prévention spécifique des conflits d'intérêts relevant de la fonction d'inspecteur de la justice437
Livre 6 Le pouvoir disciplinaire441
Titre 1er Histoire des concepts443
Chapitre 1er De l'Ancien Régime à 1875445
Section 1 Bref rappel historique445
Section 2 Le pouvoir disciplinaire sous l'Ancien Régime, entre pouvoir des compagnies et pouvoir royal447
Section 3 Le pouvoir disciplinaire de 1789 à 1875449
Chapitre 2 De 1875 à 1958453
Section 1 La IIIe République et la magistrature, un rendez-vous manqué ?453
Section 2 De 1940 à 1958, la chute et la reconstruction454
Chapitre 3 Depuis 1958457
Section 1 Repartir sur de nouvelles bases457
Section 2 Surveiller et punir ?458
Titre 2 Présentation du cadre juridique461
Chapitre 1er Une mesure infradisciplinaire : l'avertissement463
Section 1 Les autorités compétentes pour délivrer un avertissement464
Section 2 Procédure préalable à l'avertissement465
Section 3 Droit d'exercer des poursuites et situations spéciales469
Sous-section 1 Le droit d'exercer des poursuites469
Sous-section 2 Cas particuliers471
Section 4 Effets attachés à l'avertissement472
Sous-section 1 Composition du dossier personnel472
Sous-section 2 Articulation avec une procédure disciplinaire473
Sous-section 3 Effacement de l'avertissement473
Sous-section 4 Absence de conséquence d'une annulation d'avertissement pour l'autorité hiérarchique475
Chapitre 2 La procédure disciplinaire devant le Conseil supérieur de la magistrature : principes communs477
Section 1 La saisine de l'organe disciplinaire477
Sous-section 1 La saisine par le ministre478
Paragraphe 1er Présentation générale478
Paragraphe 2 Pratique disciplinaire478
Sous-section 2 La saisine par les chefs de cour482
Sous-section 3 La saisine par les justiciables486
Section 2 L'instruction des griefs par le Conseil supérieur de la magistrature504
Section 3 L'audience disciplinaire516
Sous-section 1 Les dossiers disciplinaires : la matière en débat516
Sous-section 2 La convocation à l'audience : l'invitation au débat517
Sous-section 3 La tenue de l'audience : le cadre du débat518
Sous-section 4 Le délibéré : le résultat du débat521
Section 4 Les effets attachés à la décision disciplinaire522
Sous-section 1 La notification des décisions disciplinaires522
Sous-section 2 Liste des sanctions disciplinaires523
Sous-section 3 Les décisions disciplinaires provisoires : les suspensions ou interdictions d'exercer524
Sous-section 4 Les décisions disciplinaires définitives non contestées ou confirmées par la juridiction administrative525
Sous-section 5 Les décisions disciplinaires frappées de recours526
Chapitre 3 La procédure disciplinaire devant le Conseil supérieur de la magistrature : divergences entre le siège et le Parquet529
Titre 3 Mise en oeuvre des textes531
Chapitre 1er Mise en oeuvre de l'avertissement533
Chapitre 2 La conduite des procédures disciplinaires par le Conseil supérieur de la magistrature535
Chapitre 3 La situation complexe et paradoxale de la Cour de cassation537
Titre 4 Contestations et voies de recours539
Chapitre 1er La contestation des avertissements543
Section 1 La contestation des avertissements devant la juridiction administrative543
Section 2 Le principe du contradictoire et le principe de réalité546
Section 3 Présentation de quelques griefs547
Chapitre 2 Les mesures d'éviction551
Section 1 Les mesures de suspension provisoire551
Section 2 Les mutations forcées non disciplinaires553
Section 3 L'apport de la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l'Homme et de la Cour de justice de l'Union européenne sur les mesures d'éviction non disciplinaires554
Chapitre 3 Règles générales applicables à toutes contestations557
Chapitre 4 La contestation des décisions concernant les magistrats du ministère public559
Chapitre 5 La contestation des décisions du Conseil supérieur de la magistrature « siège »561
Chapitre 6 Paradoxes de l'état actuel du droit applicable565
Section 1 Les limites du droit français565
Section 2 L'apport de la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l'Homme et de la Cour de justice de l'Union européenne566
Livre 7 Le départ du corps judiciaire571
Titre 1er Approche du jugement dernier573
Titre 2 Exposé des normes juridiques579
Chapitre 1er La fin définitive de la carrière judiciaire : la mise à la retraite, la démission et l'abandon de poste581
Section 1 La mise à la retraite et la démission « ordinaires », l'abandon de poste581
Section 2 La mise à la retraite, la révocation et la démission « disciplinaires »583
Section 3 L'inaptitude583
Section 4 La perte des droits civiques, autre mode d'éviction du corps judiciaire ?584
Chapitre 2 Le retrait temporaire du corps judiciaire : la mise à disposition, le détachement et la mise en disponibilité585
Chapitre 3 Les suspensions et « accidents » de la carrière593
Chapitre 4 La carrière après la carrière : l'honorariat et le maintien en activité599
Section 1 Les magistrats honoraires599
Section 2 Le maintien en activité602
Titre 3 Application des normes juridiques605
Chapitre 1er La sortie définitive du corps judiciaire607
Section 1 La retraite et le maintien en activité607
Section 2 La suspension pour motif médical et les sanctions disciplinaires609
Chapitre 2 La sortie temporaire du corps judiciaire611
Section 1 La mise en disponibilité611
Section 2 Le détachement613
Section 3 La mise à disposition616
Chapitre 3 L'honorariat617
Chapitre 4 Atteintes au droit à la carrière et engagement de la responsabilité de l'État619
Conclusion623
Index625