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Livre

Artisanes de la paix : la lutte mondiale pour les droits des femmes après la Grande Guerre

Résumé

A l'issue de la Première Guerre mondiale, des femmes politiquement engagées demandent qu'une délégation féminine soit admise à la table des négociations, en vain. Elles s'organisent alors pour exiger l'égalité des sexes, tandis que la Conférence de la paix tenue à Paris, suscite un élan sans précédent dans l'histoire du militantisme féminin. L'auteure retrace l'histoire et la lutte de ces femmes. ©Electre 2022


  • Autre(s) auteur(s)
  • Éditeur(s)
  • Date
    • DL 2022
  • Notes
    • Prix Elise M. Boulding prize in peace history
  • Langues
    • Français
    • , traduit de : Anglais
  • Description matérielle
    • 1 vol. (311 p.) : ill., couv. ill. ; 24 cm
  • Titre(s) en relation
  • Sujet(s)
  • Epoque
  • ISBN
    • 978-2-7210-0951-7
  • Indice
  • Quatrième de couverture
    • Artisanes de la paix

      La lutte mondiale pour les droits des femmes après la Grande Guerre

      À l'automne 1918, la Première Guerre mondiale à peine terminée, les généraux cèdent la place aux hommes d'État qui doivent définir les termes de l'armistice et ouvrir les négociations de paix. Des femmes politiquement engagées, notamment dans le mouvement pour le suffrage des femmes, n'entendent pas laisser les hommes décider seuls et demandent qu'une délégation soit reçue et admise à la table des négociations alors que doit se tenir la Conférence de la paix, à Paris. Le refus du président des États-Unis, Woodrow Wilson, et du Premier ministre britannique, David Lloyd George, n'entame en rien leur détermination à agir : les femmes s'organisent entre elles et se préparent à exiger l'égalité des sexes et la justice sociale ainsi que des mesures pour instaurer une paix durable dans le monde d'après-guerre. La Conférence de la paix de Paris suscite une vague de militantisme féminin sans précédent, attirant sur la scène internationale des femmes venues du monde entier pour défendre simultanément la paix, la démocratie et les droits des femmes. Tel est le point de départ de cet ouvrage, dont le fil rouge pourrait être que « Nul ne peut se croire autorisé à parler au nom des peuples tant que les femmes seront exclues de la vie politique des nations », selon la formule de la féministe et suffragiste française Marguerite de Witt Schlumberger.

      « Aujourd'hui, plus de cent ans après, la lutte pour les droits des femmes dans le monde se poursuit sans relâche. Suivant les traces des pionnières courageuses et audacieuses de 1919, une nouvelle génération pourrait encore trouver le chemin d'un ordre mondial plus juste et plus équitable. »


  • Origine de la notice:
    • Abes ;
    • Electre
  • Disponible - 300.11(091) SIE

    Niveau 2 - Sociologie, démographie