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La mort comme lumière : écrits sur les arts du visible

Résumé

Recueil d'articles consacrés à l'art, dans lesquels l'écrivain italien évoque notamment les oeuvres de Michel-Ange, du Caravage, de Van Gogh et de Raphaël, les affiches victoriennes ou les ornements du cimetière de Campo Verano. ©Electre 2022 Comme aimait à le dire l’un de ses maîtres, Borges, plus qu’un auteur Giorgio Manganelli est à lui seul toute une littérature : polymorphe et perverse, et toujours surprenante. Un grand nombre de ses livres, qui échappent à toute tentative de classification, a été traduit en français et beaucoup continuent à être publiés après sa mort, regroupant l’abondante production journalistique d’un auteur qui se professait non sans provocation « écrivain de café-concert ». Mais en plus de cet éloquent succès posthume, il nous reste sa passion dévastatrice pour les arts visuels. Manganelli est un outsider, mais pas un amateur : il démontre dans ces articles, recueillis ici pour la toute première fois, une compétence de spécialiste, en particulier à propos du répertoire italien des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles. Il s’agit d’un territoire immense, aussi bien chronologiquement (des pierres de la région de Luni, 3000 ans avant Jésus-Christ, aux compagnons de route que furent Gastone Novelli ou Carol Rama) qu’à l’aune d’une curiosité minutieuse allant de stars comme Raphaël ou Van Gogh et des tours de passe-passe fastueux et ensorceleurs des maniéristes jusqu’aux affiches victoriennes et aux ornements caducs du cimetière de Campo Verano. Chacun de ces textes révèle le punctum d’une obsession : trouver le chemin, fût-il de traverse, capable de nous conduire, qui sait, au plus près de ce lieu vaste et ténébreux que constitue le corpus de Manganelli.


  • Autre(s) auteur(s)
  • Éditeur(s)
  • Date
    • 2022
  • Langues
    • Français
  • Description matérielle
    • 1 vol. (265 p.) ; 19 cm
  • Collections
  • Sujet(s)
  • ISBN
    • 978-2-919205-39-4
  • Indice
    • 7.02 Critique, théorie de l'art
  • Quatrième de couverture
    • La mort comme lumière

      Écrits sur les arts du visible

      Comme aimait à le dire l'un de ses maîtres, Borges, plus qu'un auteur Giorgio Manganelli est à lui seul toute une littérature : polymorphe et perverse, et toujours surprenante. Un grand nombre de ses livres, qui échappent à toute tentative de classification, a été traduit en français et beaucoup continuent à être publiés après sa mort, regroupant l'abondante production journalistique d'un auteur qui se professait non sans provocation « écrivain de café-concert ». Mais en plus de cet éloquent succès posthume, il nous reste sa passion dévastatrice pour les arts visuels. Manganelli est un outsider, mais pas un amateur : il démontre dans ces articles, recueillis ici pour la toute première fois, une compétence de spécialiste, en particulier à propos du répertoire italien des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles.

      Il s'agit d'un territoire immense, aussi bien chronologiquement (des pierres de la région de Luni, 3000 ans avant Jésus-Christ, aux compagnons de route que furent Gastone Novelli ou Carol Rama) qu'à l'aune d'une curiosité minutieuse allant de stars comme Raphaël ou Van Gogh et des tours de passe-passe fastueux et ensorceleurs des maniéristes jusqu'aux affiches victoriennes et aux ornements caducs du cimetière de Campo Verano. Chacun de ces textes révèle le punctum d'une obsession : trouver le chemin, fût-il de traverse, capable de nous conduire, qui sait, au plus près de ce lieu vaste et ténébreux que constitue le corpus de Manganelli.


  • Origine de la notice:
    • Abes ;
    • FR-751131015 ;
    • Electre
  • Disponible - 7.02 MAN

    Niveau 3 - Arts