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Livre

Jérusalem et les arméniens : jusqu'à la conquête ottomane (1516)

Résumé

Synthèse illustrée couvrant plus de quinze siècles de relations entre les Arméniens et la Palestine, du règne de Tigrane au Ier siècle av. J.-C. jusqu'à la conquête ottomane. L'iconographie en est l'élément principal, avec des scènes et des portraits sous forme de miniatures, de fresques ou de tableaux, des photographies et des gravures de monuments ainsi que des reproductions d'oeuvres d'art. ©Electre 2022


  • Contributeur(s)
  • Éditeur(s)
  • Date
    • 2022
  • Notes
    • Contribution materielle de : Fondation Calouste Gulbenkian M. Razmik Panossian
    • Synthèse illustrée couvrant plus de quinze siècles de relations entre les Arméniens et la Palestine, du règne de Tigrane au Ier siècle av. J.-C. jusqu'à la conquête ottomane. L'iconographie en est l'élément principal, avec des scènes et des portraits sous forme de miniatures, de fresques ou de tableaux, des photographies et des gravures de monuments ainsi que des reproductions d'oeuvres d'art
  • Langues
    • Français
  • Description matérielle
    • 1 vol. (517 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill., cartes ; 26 cm
  • Sujet(s)
  • Lieu
  • ISBN
    • 978-2-251-45296-8
  • Indice
  • Quatrième de couverture
    • Jérusalem et les Arméniens jusqu'à la conquête ottomane (1516)

      Dans la division en quatre de la vieille ville de Jérusalem, le quartier chrétien et le quartier arménien sont contigus mais indépendants. Cette situation a priori paradoxale correspond bien à l'ancienneté et à l'importance de la présence arménienne. Jérusalem est en effet restée un mythe pour les Arméniens dès le IVe siècle, quand le christianisme a été proclamé religion nationale. Les relations des Arméniens avec la Ville sainte n'ont jamais cessé, pour culminer à l'époque des croisades qui donnèrent l'occasion de fonder en Cilicie, à la fin du XIe siècle, un État arménien frontalier de la Syrie franque, converti en royaume un siècle plus tard. Jérusalem abritait alors le siège d'un Patriarcat arménien et l'activité culturelle y était particulièrement intense. En témoignent la quantité et la qualité des inscriptions, des sculptures, des mosaïques, des pièces d'orfèvrerie, ou encore des manuscrits superbement calligraphiés, ornés de miniatures qui comptent parmi les chefs-d'oeuvre de l'art arménien. Sous la domination des Mamelouks, la culture arménienne continua à fleurir à Jérusalem, comme on peut le voir dans les nombreux récits des voyageurs européens qui n'omettaient jamais une section consacrée aux Arméniens.

      À l'heure actuelle, Jérusalem est le plus important conservatoire de la culture arménienne hors d'Arménie. Présentant les relations arméno-hiérosolymitaines dans leur contexte historique et artistique, ce livre en est un reflet. L'abondance des cartes et des tableaux généalogiques en facilite la lecture. L'iconographie y joue un rôle fondamental, le texte étant essentiellement traité en légende des images, qu'il s'agisse de reproductions de miniatures, de monuments et d'œuvres d'art, ou encore de pages manuscrites d'historiens et de voyageurs.


  • Origine de la notice:
    • Abes ;
    • Electre
  • Disponible - 957.84 MUT

    Niveau 2 - Histoire