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À qui profite le sale : sexisme, racisme et capitalisme dans le rap français

Résumé

L'auteure explique comment le rap, à l'origine un mode d'expression du mouvement inclusif hip-hop, est devenu un bastion sexiste, et dévoile le rôle joué par l'industrie musicale. Elle dénonce notamment les intérêts capitalistes à promouvoir des idoles stéréotypées éloignées de la complexité de l'énergie citoyenne propre à la culture rap. ©Electre 2023


  • Éditeur(s)
  • Date
    • DL 2023
  • Notes
    • Discogr.
  • Langues
    • Français
  • Description matérielle
    • 1 vol. (318 p.) ; 23 cm
  • Collections
  • Sujet(s)
  • Lieu
  • ISBN
    • 978-2-228-93295-0
  • Indice
    • 301.4 Sociologie de la culture et des loisirs
  • Quatrième de couverture
    • Parce que le rap le vaut bien

      Aimer le rap n'est pas tout lui passer. Si le rap se réduit trop souvent à du sale bien gras, il faut s'interroger : pourquoi ces représentations virilistes au sein du rapgame, et surtout pourquoi y réduire le rap tout entier ?

      Avec un plaisir non dissimulé, Benjamine Weill propose une lecture critique du sale pour en comprendre les piliers - sexistes et racistes - et dénoncer les intérêts du capitalisme à le promouvoir quasi exclusivement à travers des idoles stéréotypées.

      Après ce bon coup de balai dans le sale, il est enfin possible de poser un regard juste sur le rap et de célébrer la diversité et la complexité d'un mouvement culturel résolument inclusif et citoyen, toujours nourri par les principes Hip-Hop. Le rap français mérite une bientraitance politique et culturelle : cet essai en est la preuve.


  • Origine de la notice:
    • Abes ;
    • FR-751131015 ;
    • Electre
  • Disponible - 301.4 WEI

    Niveau 2 - Sociologie, démographie