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Battements du secret littéraire : Lire Jacques Derrida et Hélène Cixous. Volume I

Auteur(s) : Michaud, Ginette

  • Éditeur(s)
  • Date
    • 2010
  • Notes
    • Depuis la parution de Voiles en 1998, qui a réuni dans un même ouvrage « Savoir » d’Hélène Cixous et « Un ver à soie » de Jacques Derrida, donnant ainsi lieu à une première contresignature explicite entre l’écrivain et le philosophe. À partir des textes qui témoignent des nombreux échanges entre Derrida et Cixous, deux lecteurs se lisant l’un l’autre, on suit ici à la trace quelques-uns des traits les plus caractéristiques et singuliers de chaque lecteur/lectrice, de « Fourmis » à Genèses, généalogies, genres et le génie, en passant par H. C. pour la vie, c’est à dire..., du côté de Derrida, et par le Portrait de Jacques Derrida en Jeune Saint Juif, Insister. À Jacques Derrida et Hyperrêve, du côté de Cixous. Dans toutes ces scènes, il s’agit peut-être d’une seule chose : faire droit au même rêve de littérature et apprendre à lire – « il me faut vous apprendre à m’apprendre à me lire », comme le prédisait Jacques Derrida dans « Circonfession » –, lire, donc, ce qui s’appelle lire, à la hauteur de leurs inventifs et bien-nommés apprentissages. Ginette Michaud est professeur au département des littératures de langue française de l’Université de Montréal. Elle est membre du Comité éditorial responsable de l’édition du Séminaire de Jacques Derrida.
  • Langues
    • Français
  • ISBN
    • 9782705669584
  • Droits
    • copyrighted
  • Résultat de :
  • Quatrième de couverture
    • Battements du secret littéraire

      Lire Jacques Derrida et Hélène Cixous Volume 1

      Depuis la parution de Voiles en 1998, qui a réuni dans un même ouvrage « Savoir » d'Hélène Cixous et « Un ver à soie » de Jacques Derrida, donnant ainsi lieu à une première contresignature explicite entre l'écrivain et le philosophe, de multiples entrecroisements se sont produits entre leurs oeuvres.

      Au-delà d'un simple repérage thématique et formel, cet essai interroge ce qui fait événement d'écriture et de pensée entre ces deux oeuvres appelées par la « Toute-puissance-autre » de la littérature. À partir des textes qui témoignent des nombreux échanges entre Derrida et Cixous, deux lecteurs se lisant l'un l'autre, on suit ici à la trace quelques-uns des traits les plus caractéristiques et singuliers de chaque lecteur/lectrice, de « Fourmis » à Genèses, généalogies, genres et le génie, en passant par H. C. pour la vie, c'est à dire..., du côté de Derrida, et par le Portrait de Jacques Derrida en Jeune Saint Juif, Insister : À Jacques Derrida et Hyperrêve, du côté de Cixous.

      Dans toutes ces scènes, il s'agit peut-être d'une seule chose : faire droit au même rêve de littérature et apprendre à lire - « il me faut vous apprendre à m'apprendre à me lire », comme le prédisait Jacques Derrida dans « Circonfession » -, lire, donc, ce qui s'appelle lire, à la hauteur de leurs inventifs et bien-nommés apprentissages.


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