Petit déjeuner à minuit : Chroniques d'une déportation

Auteur(s) :

Jakobsons, Valentins

Éditeur(s)
- Editions du Cygne
Date
- 2020
Notes
- Entre le 14 et le 22 juin 1941, près de 15 000 Lettons sont arrêtés et déportés en Sibérie par le pouvoir soviétique. Valentins Jakobsons, à l'époque jeune collégien, est pour sa part exilé à « Village Joyeux », dans le marais de la Vassiougan. « Petit déjeuner à minuit » (Brokastis pusnakti) est la chronique de sa déportation. Inutile de dire que les récits qui s'y succèdent sont effrayants et bien souvent déprimants. Mais Jakobsons parvient à relater les événements les plus dramatiques avec un humour bienveillant et une ironie mordante. Dans ses histoires, la tragédie est intimement liée à la comédie, l'absurde se mêle au grotesque. « L'humour, c'est quand on rit malgré tout ». L'auteur, hanté par la conviction absolue qu'il reviendra un jour dans son pays, s'engage à ne jamais faire de compromis. Quoi qu'il en coûte à la chair fatiguée, au corps désemparé, même dans les conditions les plus brutales, l'esprit peut triompher.
Langues
- Français
ISBN
- 9782849245958
Droits
- copyrighted
Résultat de :
- Bibliovox - Nouvelle fenêtre
Quatrième de couverture
- Petit déjeuner à minuit
  Entre le 14 et le 22 juin 1941, près de 15 000 Lettons sont arrêtés et déportés en Sibérie par le pouvoir soviétique. Valent(...)ns J(...)kobsons, à l'époque jeune collégien, est pour sa part exilé à « Village Joyeux », dans le marais de la Vassiougan.
  « Petit déjeuner à minuit » (Brokastis pusnakti) est la chronique de sa déportation. Inutile de dire que les récits qui s'y succèdent sont effrayants et bien souvent déprimants. Mais J(...)kobsons parvient à relater les événements les plus dramatiques avec un humour bienveillant et une ironie mordante. Dans ses histoires, la tragédie est intimement liée à la comédie, l'absurde se mêle au grotesque. « L'humour, c'est quand on rit malgré tout ».
  L'auteur, hanté par la conviction absolue qu'il reviendra un jour dans son pays, s'engage à ne jamais faire de compromis. Quoi qu'il en coûte à la chair fatiguée, au corps désemparé, même dans les conditions les plus brutales, l'esprit peut triompher.

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