Dictionnaire amoureux de l'entreprise et des entrepreneurs

Près de 90 auteurs ont participé à ce « Dictionnaire amoureux ». Chacun avec ses mots, son regard, son expérience, ses convictions d'entrepreneur mais aussi de philosophe, d'artiste, de syndicaliste, d'essayiste, d'écrivain, d'humanitaire, de religieux, d'économiste ou d'universitaire.

Victor Hugo déplorait l'ingratitude « pour le don nécessaire, jamais pour le don du superflu » et le manque de reconnaissance pour celui qui « vous donne le pain quotidien » contrairement « à qui vous donne la parure ». C'est sur ce constat qu'est née l'idée de ce « Dictionnaire ». Il répondait à un besoin, celui de la reconnaissance.

Celui aussi de partir à la conquête du coeur des Français auprès desquels l'image de l'entreprise et des entrepreneurs est dépréciée. Et pour ce faire de rétablir quelques vérités premières. Dire que la raison d'être de l'entreprise n'est pas la quête exclusive et frénétique du profit, et que souvent mieux que d'autres, elle est au service du bien commun. Dire qu'elle n'est pas à l'origine de nos problèmes, les inégalités sociales, la pollution et les discriminations mais qu'elle en est la solution. Dire aux jeunes parfois encore trop méfiants vis-à-vis de l'entreprise qu'ils y trouveront souvent mieux qu'ailleurs la réponse à leur quête de sens, d'éthique et d'intégrité. Que créer son entreprise est une aventure enthousiasmante qui n'est pas réservée à une élite diplômée mais ouverte à tous ceux qui veulent réussir leur vie et le faire au service des autres.

Ouvrage dirigé par Denis Zervudacki, fondateur des États de la France et ancien secrétaire généra] du CNPF (ex-Medef).