Le cadre théorique de l’énonciation tel que pensé comme une articulation entre syntaxe et expression de la subjectivité apparaît comme propice à l’étude de formes encore peu étudiées dans le champ de la linguistique contemporaine. À cet égard, les formes qui servent à exprimer l’exclusion ou l’exception nous semblent avoir peu bénéficié de l’intérêt des linguistes de tout bord, énonciativistes ou autres (à l’exception de Moignet 1959, Blanche-Benveniste 2001, Piot 2005, Kleiber 2005, Rosier ...