Seulement quelques mois avant le dixième anniversaire du 11 septembre, l’armée américaine mit fin à la vie d’Oussama Ben Laden, le cerveau des attentats et, donc, l’ennemi public numéro un du pays le plus puissant du monde. L’étude de la couverture journalistique de cet événement, qui a priori ne devrait pas être exempte de polémique sur le modus operandi des États-Unis, semble intéressante pour voir comment la presse espagnole a transmis à l’opinion publique de son pays le message de cette mort, le même pays qui a aussi subi le châtiment d’Al Qaeda, d’ETA et le contre-terrorisme des GAL.