L’évolution de la formation aux métiers de la céramique, de 1840 à 1940, accompagne l’industrialisation et l’extension des débouchés, la nationalisation de l’enseignement technique, le développement de réseaux d’institutions par les acteurs publics et privés. Ces dynamiques sont observées depuis Limoges, avec son école de beaux-arts appliqués à l’industrie, depuis l’ENP de Vierzon et sa section céramique, et, enfin, à travers la création de l’Institut de la céramique française, en relation avec la manufacture nationale de céramique de Sèvres.