Chercheurs et éditeurs du Libro de Buen Amor discutent l’interprétation du mot troya(s), attribué à Trotaconventos et aux entremetteuses (699c et 937c), et peut-être à une serrana (972b). Après une évaluation de ces théories, l’auteur présente une nouvelle hypothèse: comprendre troya comme un jeu de mots dilogique, avec les sens ‘sale, immorale, putain’ et ‘machine militaire, catapulte’.