Aussi forte qu’elle ait été en elle-même, l’amitié que j’ai eue pour Réa est indissociable de celle que j’ai nourrie à l’endroit de Claude Simon. Il est tout à fait possible que, si elle n’avait pas été sa femme et sa complice, je ne l’aurais pas connue. Tout a commencé en 1977 quand, pour la première fois, je me suis rendu à leur domicile pour y rencontrer Claude. Le contact fut si plaisant, l’échange si fructueux, que le cérémonial se répéta bien des fois. J’entrais dans l’appartement de l...