Une perspective possible serait la suivante : quand on lit Claude Simon, on revient à soi, à sa propre histoire, à ce qui fut... comme si la mémoire était une figure, un stimulant pour toutes nos dispositions, comme si notre faculté de nous souvenir, et ces romans qu'on a lus et qu'on continue de lire, portent en eux l'expression la plus authentique du temps et de l'existence, et à la lumière de cette méta-perspective, on voit que l'œuvre de Claude Simon, ces phrases à mille mots, tous ces c...