Écrire les lieux du travail. Espace, référentialité et mémoires urbaines dans trois écrits littéraires ouvriers de la première moitié du XXe siècle
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- Éditeur(s)
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Date
- 2023-05-12T02:00:00Z
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Notes
- À partir de l’analyse de trois écrits littéraires ouvriers de la première moitié du XXe siècle, cet article s’intéresse à la manière dont les auteur·rice·s ouvrier·ère·s – ici, Marguerite Audoux, René Bonnet et Albert Soulillou – ont mis en mots les lieux du travail. Du petit atelier de couture à la grande usine automobile, en passant par la ville elle-même, où travaillent les charpentiers, les espaces évoqués sont différents les uns des autres, tout comme les moyens d’écriture adoptés par les auteur·rices. Tous.te·s, néanmoins, réalisent, par l’écriture, des gestes singuliers: Audoux constitue l’atelier de couture en refuge féminin; Bonnet inscrit dans la ville de Paris le travail des charpentiers; Soulillou oppose à l’usine un espace onirique dans lequel s’affirme la singularité des travailleur·se·s.
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Langues
- Français
- Sujet(s)
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