Les caprices de l’histoire du français ont fait que le nom erreur a pour verbe correspondant se tromper. À partir d’une étude de la signification de ces deux termes, de leur histoire et de leur domaine conceptuel, quelques propriétés apparaissent, qui confirment une grande convergence entre les deux termes. Le chemin, l’errance et le choix sont les principales. Ces représentations permettent de concevoir l’erreur à la fois comme une nécessité et une richesse pour la recherche.