À la lumière des travaux récents sur l’histoire des féminismes en particulier provinciaux, l’article se propose de redéfinir les chronologies de « la décennie féministe ». Il s’interroge sur l’écriture de l’histoire des mouvements de femmes par les protagonistes divisées sur la conception de la laïcité dans le très contemporain et des blocages de la transmission aux nouvelles générations de féministes.