[L]a partie que j’aime [le mieux] commence justement après [l]e 45e placard. (Et c’est pour cela que je n’ai pu encore me résoudre à la renvoyer à Grasset. (Il [y] en a 95 en tout, mais je trouve que c’est trop long et j’arrêterai le volume plus tôt.) À Louis de Robert, [peu après le 19 juin 1913]Un mois après avoir renvoyé à son éditeur les quarante-cinq premiers placards du premier volume corrigés, pourquoi Proust ne peut-il toujours pas « se résoudre » à se séparer de la partie finale d’«...