V. Alexakis décrit dans La Clarinette une Athènes rongée par le racisme, le chômage et la violence. Il a composé une sorte de concerto, en mémoire d’un ami, son éditeur, trop tôt disparu et d’un pays, la Grèce. Tout en déambulant dans les rues d’Athènes où il côtoie des poubelles renversées, ce franco-grec ne peut s’empêcher de parcourir les rues d’un Paris où il aime à vivre, en un étonnant jeu de superposition.