Un travail de reconditionnement des squelettes de Primates Hominidés au Muséum national d’Histoire naturelle a permis d’améliorer leurs conditions de stockage et de compléter des éléments documentaires, anatomiques et pathologiques. Le programme décrit ici, pose la question du mode d’utilisation de ce type de collection et amène ainsi à réfléchir sur les modalités préventives qui permettront d’éviter dispersion et mélange de ses éléments.