En analysant 193 cas de morts volontaires repérés dans la mythologie grecque, il est possible d’en dégager les traits principaux : surreprésentation du nombre d’individus féminins, rôle des sentiments personnels, importance de la précipitation et de la pendaison dans les moyens utilisés. Caractères qui s’opposent à la tradition romaine de la mort volontaire qui s’élabore avant la deuxième guerre punique sans être influencée par le modèle grec.