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La francisation des emprunts à l’anglais d’après l’orthographe rectifiée : son application en français de France et en français québécois

dans Presses universitaires de la Méditerranée


  • Éditeur(s)
  • Date
    • 2021-05-05T02:00:00Z
  • Notes
    • D’après l’orthographe rectifiée, les mots étrangers se coulent le plus possible dans l’orthographe française et, lorsque deux orthographes coexistent, on opte pour la plus francisée. Ces éléments de francisation touchant notamment les emprunts à l’anglais, pour les besoins de notre étude, peuvent être classés en quatre catégories (cf. Biedermann-Pasques & Humbley, 1995). Premièrement, il s’agit de l’emploi du graphème français adéquat pour les lexies de type gg/gu (tagger/taguer) et deuxièmement de la francisation de leur suffixe d’origine anglaise sur le modèle français, type tagger/taggueur et le féminin tagueuse, entraînant d’une part l’adaptation graphique du masculin et du féminin et d’autre part le changement de leur prononciation. Troisièmement, on distingue la francisation par alignement sur des modèles graphiques français d’après le rapprochement de la prononciation, type bug/bogue. Finalement, on ajoute un accent quand nécessaire, type top model/top modèle. L’objectif de cet article est de présenter les quatre catégories de francisation des emprunts à l’anglais sur l’exemple de l’usage du français de France et du français québécois tout en s’appuyant sur les données lexicographiques et des outils de la linguistique de corpus.
  • Langues
    • Français
  • Sujet(s)
  • Droits
    • info:eu-repo/semantics/openAccess .
    • https://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/4.0/
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