Dans les années 1970-2000, l’évaluation formative des apprentissages des élèves a suscité un formidable élan d’intérêt, tant au sein des communautés scientifiques que dans les politiques éducatives en Suisse romande. Pourtant, aujourd’hui, cela ne semble plus aller autant de soi de parler d’évaluation formative ou, alors, sous d’autres vocables. Comment comprendre cet intérêt puis désintérêt ? À partir de synthèses de la littérature et de bilans produits par des instances, les deux premières...