L’article expose les deux moments de l’histoire où le magnétisme animal est condamné par des instances académiques françaises, en 1784 et en 1837. Il s’attache à comprendre les raisons complexes qui ont motivé la mise à l’écart de ces savoirs dont est pourtant issue l’hypnose (ou somnambulisme magnétique) et propose des hypothèses tant culturelles que politiques et sociales pour éclairer ces occultations.