Le sujet pourrait donner lieu à bien des orientations, et il convient d'indiquer d'emblée les trois qui ne seront pas choisies. La première serait une tentative de psychobiographie. Pourtant, le roman en offre des éléments. Le petit Boris ressemble beaucoup au petit André : lui aussi s'est retrouvé prématurément orphelin de père, lui aussi a dû affronter un problème d'onanisme infantile, l'École alsacienne qu'il fréquentait ressemblait par certains aspects à la pension Vedel. L'amour sublimé...